Certains trouvent naturellement leur compte dans cette caractéristique dépensière. À commencer par les grandes centrales syndicales, présentes dans tous les domaines étatisés.
Leurs succès antérieurs expliquent bien des déficits et l’endettement actuel du Québec. À 72,4 % du PIB, la dette du secteur public québécois atteindra cette année 263,2 G$. C’est une augmentation de 40 G$ en quatre ans.--- Michel Hébert