Je l’ai aperçue, vue, regardée, admirée, arrachée sans aucun égard du mannequin qui la portait, du haut de son 36 parfait, moi qui fait un 38-40 totalement imparfait, mais c’est parfait;
Je l’ai portée, m’en suis amourrachée, et depuis, je n’ai cesse de penser à elle. Je sais qu’elle est là, quelque part, non loin de moi.
"Il y’a quelque chose de nouveau dans sa vie".
Ceux qui me suivent l’ont lu d’entre les lignes.
Ceux qui m’entendent l’ont entendu à tort (non) et à travers (possible).
Je suis une éternelle sentimentale.
Chaque objet à son histoire, chaque étape est un moment présent qui dure à jamais.
Aujourd’hui, fût le jour de ma première robe Diane Von Furstenberg. Rien à voir avec le fait qu’elle soit une exquise et talentueuse compatriote.
Rien à voir avec le fait que j’ai découvert après coup, que cette robe était une version revisitée par l’influence d’Andy himself, Warhol de son nom, de la robe de ma très chère Béa Ercolini, rédac chef du Elle Belgique, très Elle, très Belge.
Non, ce jour, je l’attends depuis un bail comme un moment décisif qui se savoure. La Wrap Dress, la fameuse, intemporelle et géniale robe portefeuille, celle imaginée, designée, crée par Diane pour magnifier la femme en un tour de ceinture, est entrée officiellement dans ma garde-robe.
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