Nous annoncions ici le retour dans les bacs d’Astonvilla pour fêter les 20 ans de carrière du groupe. Et bien ça y est, l’album Joy Machine est dans les bacs depuis quelques jours.
Avec ces 10 titres inédits, le trio nous invite à un voyage musical, qu’on peut s’imaginer faire dans la voiture volante de la pochette, et nous propose toute une palette de son savoir faire.
Le titre d’ouverture Roule vite annonce la couleur d’un album plutôt rock avec les guitares et basses saturées très présentes, puis viennent Tant de choses avec le mélange électrique et acoustique et Badminton, un titre très à la mélodie très hypnotisante.
Manhattan est une première surprise avec un texte uniquement parlé, des mots également mis très en avant avec les plus posés Je cultive et Good Bye. Ensuite, la batterie nous plonge dans un rock un peu plus sombre avec Le baiser avant d’être transporter dans un univers Rock a Billy avec Cortex.
La seconde surprise est l’apparition du piano sur Waiting, également le seul texte en anglais de l’opus. Le résultat donne un morceau dans la pure tradition de la pop anglaise. Puis vient déjà le moment de se faire déposer avec Projet Y, un titre joyeux qu’on imagine aisément mettant le feu à la salle et qui laisse un souvenir final très rock à nos oreilles.
Astonvilla nous a fait attendre mais le retour est à la hauteur et nous ne pouvons que vous encourager à découvrir et apprécier cette Joy Machine.