La première fois que j'ai rencontré la coriandre, c'était à un âge ou à peu près ma seule préoccupation était de collectionner les râteaux dans ma réserve à rendez-vous ratés… enfin ce n'était pas vraiment le but mais souvent le résultat…Et pendant cette période de mon adolescence autant dire que ce qui se mange n'était pas du tout du tout ma préoccupation première, ni seconde d'ailleurs, ni… N'empêche que ce jour-là avec un autre chasseur de râteaux nous avions décidé de tenter le petit chinois du bout de ma rue histoire de nous remplir le ventre avant de partir en chasse.La carte du restaurant m'avait paru tellement étrange, pleine d'aliments inconnus et de préparations dont je ne savais rien que je m'étais accroché aux avis de mon camarade d'aventure gastronomique. Le garçon ayant quelques origines asiatiques et répétant sans arrêt ça mes parents y'z'adorent…s'ils adoraient peut-être que j'aimerais que je m'étais dit.Et c'est comme ça que j'avais choisi en entrée un potage qui devait porter le nom d'une ville chinoise sans vraiment en dire plus sur ça composition. Et quand j'ai vu arriver mon bol de soupe fumante couverte d'un monticule vert, j'ai commencé à me dire qu'ils avaient de bien drôles de goûts ses parents. Les seules herbes que je connaissais alors étaient celles des terrains de football sur lesquels nous faisions semblant d'être des grands joueurs de l'époque, des Rocheteau et des Revelli et des Van de Kerkhof… Alors de l'herbe dans une soupe, et de l'herbe qui sentait… foutument fort ! C'est vite devenu très compliqué pour moi. Je l'ai consciencieusement écartée pour atteindre le bouillon mais je me suis vite rendu compte que le dedans avait le même goût que l'odeur du dehors ! Je pense que je n'ai jamais mangé si peu de chose à la table d'un restaurant…Depuis ça va mieux, la coriandre et moi sommes même devenu des amis et mes plats sont souvent parfumés de ces jolies graines et de ces belles feuilles qui, je le sais maintenant, ne poussent pas sur les terrains de football !Si je vous ai raconté cette histoire c'est parce que je vais vous proposer maintenant de raconter la vôtre. En effet pour fêter ses 125 ans de McCormick (dont Ducros fait partie depuis 2000)vous propose un joli jeu…On participe comment ?
Tout simplement vous laissez un commentaire à la suite de ce message où vous avez juste à me raconter un de vos souvenirs autour d'une saveur comme je l'ai fait ici, ne vous sentez pas obligé de faire si long ni de parler de la coriandre...Vous avez jusqu'au 18 juin à minuit pour participer ! Nous choisirons, mon cher hamster et moi, le plus touchant, le plus drôle, le plus savoureux… celui qui nous touchera le plus tout simplement. Et cerise sur le gâteau, chacun de vos commentaires vont aussi avoir d'autres effets…Pour chaque histoire partagée, Ducros et McCormick feront un don de 1 dollar à United Way et ses associations partenaires. En France, Ducros soutiendra le Secours populaire. Chaque commentaire sera ici comptabilisé. Plus il y aura d’histoires et mieux ce sera pour le programme solidaire et l’association. Du coup n'hésitez pas à écrire plusieurs commentaires si vous le souhaitez.On gagne quoi ? - Une sélection d’épices Ducros- Le livre de recettes des 50 ans de Ducros- Un coffret offrant un dîner gastronomique d’exception pour 2 - tables étoilées d'une valeur de 370 eurosAlors, à vos claviers, et bonne chance !
Et en attendant une petite recette de Financiers rentrant dans les 5 grandes tendances de saveurs identifiées par la marque et qui vont sans doute influencer vos habitudes alimentaires dans les années à venir.Financiers au thé et à la coriandre pour les écureuils !Ingrédients : 150g de beurre - 90g de poudre d'amande – 180g de sucre glace – 60g de farine – 150g de blanc d'œuf – ¼ de càc de thé noir fumé moulu- 2càs de sirop d'érable – 1càc de graines de coriandre - 60g de noisettes grossièrement concasséesMettez le beurre dans une poêle et faites-le grésiller à feu assez vif jusqu'à ce qu'il devienne noisette. Attention noisette pas noir, sinon on recommence ! Ensuite filtrez-le. Mettez dans un saladier le sucre glace, la poudre d'amande et la farine et mélangez bien le tout.Ajoutez les blancs d'œufs et mélangez, ne fouettez pas, mélangez. Ajoutez le beurre, le thé et mélangez de nouveau. Laissez reposer une demi-heure au moins.Beurrez généreusement vos moules s'ils sont en tôle comme les miens, sinon ça colle à tous les coups. Versez la pâte dans les moules puis répartissez un peu de noisette sur chaque financier.Enfournez dans un four préchauffé à 180° pendant une douzaine de minutes. Le temps dépendant comme toujours du four et du moule vérifiez après votre première fournée.Recommencez autant de fois que nécessaire. Pendant ce temps faites chauffer dans une petite casserole, le sirop d'érable et les graines de coriandre et laissez blobloter pendant 3 minutes puis laissez refroidir.Quand les financiers sont prêts et froids, arrosez-les de quelques gouttes de sirop de coriandre.Produits offerts
Vous pouvez aussi retrouver la marque et ce concours sur sa page Facebook : Père Ducros
Mais pourquoi, et dire que ses parents aimaient aussi le porridge… est-ce que je vous raconte ça…