Je viens de terminer la lecture du best seller de Milan Kundera « l’insoutenable légèreté de l’être. »
Je n’avais jamais lu ce « classique ».
Si j’ai eu du mal à entrer dans l’univers de Kundera et ces allers-retours incessants entre narrateur et acteurs du roman, j’ai fini par me laisser emporter par ce roman iconoclaste et complexe.
L’intrigue qui se déroule à Prague durant le fameux printemps 1968 fascine rapidement. Entre idées et légèreté, ce roman ne manque pas de rythme. Si je me suis un peu perdu dans la définition du kitsch, j’ai trouvé bien des passages fulgurants.
Celui de la mort du chien Karénine est aussi un beau plaidoyer en faveur de l’euthanasie libératrice des douleurs. Ce passage, vous l’imaginez, m’a bouleversé.
Que dire d'autre sur le livre à part le conseiller à ceux qui, comme moi, ne l’ont jamais lu et à relire pour ceux qui en ont oublié la fulgurance…