Animali est un groupe français originaire de Lyon, mais que l’on verrait bien sur une affiche entre Tame Imapala, Pond ou Temples. Avec ses ambiances psyché des années 70, Animali nous emmène dans un tourbillon sonore complètement fou, mais surtout rudement bien mené !
The Spark (Richie Was Right) commence avec une intro intergalactique qui s’étire pendant près de 3 minutes, sorte de Ennio Morricone des années 2010. La chanson finit par éclater par un gong qu’on imagine tout autant chez les Flaming Lips avant de partir sur une sorte de rodéo délirant, véritable course poursuite sonore aux guitares menées par une batterie pressée. Le rythme se stabilise pour laisser place à une ambiance très MGMT. La batterie s’arrête, le son semble planer, entre MGMT et Tame Impala avant de reprendre dans une ambiance entendue chez Air. Les synthés mystérieux reprennent pour finir ce morceau incroyable de 10 minutes. Impressionnant !
Animali est un groupe français originaire de Lyon, mais que l’on verrait bien sur une affiche entre Tame Imapala, Pond ou Temples. Avec ses ambiances psyché des années 70, Animali nous emmène dans un tourbillon sonore complètement fou, mais surtout rudement bien mené !
The Spark (Richie Was Right) commence avec une intro intergalactique qui s’étire pendant près de 3 minutes, sorte de Ennio Morricone des années 2010. La chanson finit par éclater par un gong qu’on imagine tout autant chez les Flaming Lips avant de partir sur une sorte de rodéo délirant, véritable course poursuite sonore aux guitares menées par une batterie pressée. Le rythme se stabilise pour laisser place à une ambiance très MGMT. La batterie s’arrête, le son semble planer, entre MGMT et Tame Impala avant de reprendre dans une ambiance entendue chez Air. Les synthés mystérieux reprennent pour finir ce morceau incroyable de 10 minutes. Impressionnant !
The Alchemists est un tube en puissance parfaitement dosé à la production parfaite d’une efficacité redoutable. Who s’inscrit dans cette veine. Cette chanson toute simple en apparence transporte l’auditeur dans diverses ambiances labyrinthiques. Somebody Killed The Pianist commence par une intro de piano qui pourrait faire penser à Que Je T’Aime de Johnny Hallyday (si si, écoutez bien ! Et la chanson de Johnny est sortie en 1969, donc on est en plein dedans !) mais qui heureusement vire plus vers MGMT.
Là où Jagwar Ma arrive à réinventer le Madchester avec brio, Animali réussit à produire un condensé de rock psyché puisant autant chez Frank Zappa, Soft Machine (les solos de guitares en moins) ou Pink Floyd que ses descendants, Tame Impala en tête. Avec un poil de notoriété et de marketing, cet EP serait sans aucun doute acclamé par toute la presse indé qui ferait justement mieux de d’intéresser à Animali qu’aux vains efforts de MGMT. C’est dit !
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