J'ai par contre eu beaucoup de mal avec le dessin particulièrement naïf et les couleurs pas folichonnes du tout. Mais on s'y fait assez vite et une fois à l'aise pour reconnaître chaque protagoniste, on se laisse davantage porté par l'histoire que par le graphisme.
Au final, cette chronique familiale douce-amère est un régal de justesse et de drôlerie. Un bonbon sucré à déguster sans modération.
Merci Lunch, c'était un choix parfait pour moi !
La Marie en plastique (toute entière) de Prudhomme et Rabaté. Futuropolis, 2008. 118 pages. 20 euros.