Peut-être y a-t-il des choses que tu ne voudrais pas dire
pour ne pas les épuiser, pour les trouver encore
une fois dans cette lumière et dans cette fraîcheur,
t’exclamant : « Comment pourrais-je avec des mots
rivaliser avec ces arbres, ces tuiles, ces pierres,
les gestes de cette main ? » – tu préfères
rester sur ta faim, tu préfères garder l’amour
intact et toujours un peu souffrant.