A l'occasion du Temps des cerisesComme nous nous fabriquons nous-mêmes le dragon intérieur qui finit par nous dévorer, je me dois de nourrir ce blog qui crève la dalle depuis un moment.Retour à la case Folie en tête devant l'entêtement des hommes à la téter à tue tête. C'est la lecture de "Fie toi à ce signe" de Pierre Michon réédité par Verdier qui m'y a ramené. J'ai retrouvé dans ce texte qui retrace le cheminement de l'âme d'un peintre, la même intersection que je fréquentais à l'époque de la Butte aux cailles. Celle là même où je courrais après la mienne et où elle m'est apparue un jour, se faufilant entre les ordures au coin de la rue la Providence et la rue de l'Espérance.Depuis, je suis guéri de la folie des hommes et lui préfère de loin celle des femmes.
A l'occasion du Temps des cerisesComme nous nous fabriquons nous-mêmes le dragon intérieur qui finit par nous dévorer, je me dois de nourrir ce blog qui crève la dalle depuis un moment.Retour à la case Folie en tête devant l'entêtement des hommes à la téter à tue tête. C'est la lecture de "Fie toi à ce signe" de Pierre Michon réédité par Verdier qui m'y a ramené. J'ai retrouvé dans ce texte qui retrace le cheminement de l'âme d'un peintre, la même intersection que je fréquentais à l'époque de la Butte aux cailles. Celle là même où je courrais après la mienne et où elle m'est apparue un jour, se faufilant entre les ordures au coin de la rue la Providence et la rue de l'Espérance.Depuis, je suis guéri de la folie des hommes et lui préfère de loin celle des femmes.