Il paraîtrait....

Publié le 01 juin 2014 par Ericguillotte
dimanche 1 juin 2014

- qu’il existe aujourd'hui environ 10 000 espèces d'oiseaux qui peuplent la Terre. S’ils me lisent, je leur propose de se regrouper, de s’entendre, de désigner un volontaire, et que ce dernier nous apprenne des trucs. Voler, déjà, car ça pourrait être pratique, et plaisant. On pourrait alors se dire, les uns aux autres, Comme l'oiseau bleu survolant la Terre, Vois comme le monde, le monde est beau, et fredonner, L'amour c'est toi, l'amour c'est moi, L'oiseau c'est toi, l'enfant c'est moi. Et puis, ne l’oublions pas, Ça vit d'air pur et d'eau fraîche, un oiseau, D'un peu de chasse et de pêche, un oiseau, Mais jamais rien ne l'empêche, l'oiseau, d'aller plus haut. Ne rêvons pas, ne rêvons plus, projetons-nous, décidons, agissons !
- que le papier-bulles, créé en 1957 par Alfred Fielding et Marc Chavannes, n’a pas assez d’adorateurs dans le monde. Il n’y a même peut-être pas de Journée Internationale du Papier-Bulles, d’association de préservation du Papier-Bulles. Étendons son usage, aux pieds de lit, et nos orteils nous remercieront, aux coins de table, et nos cuisses s’en féliciteront. Entourons-en nos voitures, et on se percutera allègrement. Ceignons nos enfants. Si un jour, je fais ce billet à l’oral, on précisera que j’ai bien utilisé le verbe ceindre. Ceignons nos enfants dans les cours de récréation, quand ils font du roller, du vélo, du skate, du rugby, bref, tous les matins. Enrobez m’en, et je gagnerai en courage, et je sauterai à l’élastique. Ne rêvons pas, ne rêvons plus, projetons-nous, décidons, agissons !
- que suite à l'intensification de la culture du coton en Ouzbékistan et au Kazakhstan à partir des années 1960, la mer d'Aral, qui était deux fois plus étendue que la Belgique à l'époque, a perdu 75% de sa surface, 14m de sa profondeur et 90% de son volume. Donc, je confirme, Papier-Bulles, pour nos culottes et caleçons. On économisera du coton ! Et, car je ne l’avais pas mentionné précédemment, mais là, ça prend tout son sens, on peut percer les bulles pour se détendre. Déshabiller l’homme ou la femme de sa vie, éclater quelques bulles, se sentir léger, zen, bien, mieux que bien, et le ou la rhabiller. Faire l’amour façon troisième millénaire, sans risque de maladie, faire exploser des bulles pour des étincelles de sensations, pour un bien-être incomparable et une sécurité sanitaire totale. Ne rêvons pas, ne rêvons plus, projetons-nous,