Après l’abondant mois d’avril belge, mai a été plus calme, a offert encore des lectures belges mais a réservé quelques surprises… Bref un mois contrasté, sans grand coup de coeur, à part le dernier roman d’Armel Job.
En littérature générale :
Aujourd’hui pour toujours, de Christophe Paviot (bluette sentimentale sans intérêt)
Le bruit de la gifle, d’Emmanuelle Urien (des nouvelles, dont je ne me souviens déjà presque plus, gloups)
Rivière Mékiskan, de Lucie Lachapelle (voyage au Québec chez les Indiens cris)
Dans la gueule de la bête, d’Armel Job (magnifique roman sur Liège sous l’occupation allemande, sur la cache ou la traque des Juifs dans la ville…)
Aux anges, de Francis Dannemark
Le bruit des autres, d’Amy Grace Loyd (visite à Brooklyn et premier roman très réussi)
Les murmures de la terre, de Véronique Biefnot (abandon pour cause de révélation inattendue…)
Secrets de polichinelle, d’Alice Munro (déjà lu 5 nouvelles sur 8, je termine début juin et vous en parle à l’occasion du mois de la nouvelle !)
En BD :
Cet été-là, de Jillian Tamaki et Mariko Tamaki (beau roman graphique, récit d’initiation, récit d’un été…)
La ballade de Magdalena, de Christophe Dubois (billet programmé pour mercredi prochain)
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En ce moment, je suis plongée dans le témoignage de Max Deauville, Jusqu’à L’Yser, dont je vous parlerai en début de semaine prochaine. Dès demain, un petit air anglais soufflera par ici… Le mois anglais commence, et aussi le mois de la nouvelle !
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