Pfiouuuuu j'ai l'impression que c'était hier que j'ai entendu au bout du fil Marion Minuit, ma rédac' chef, me proposer de participer au numéro un de 750g le mag'. A ce moment-là c'est pas un ange qui est passé, c'est juste mon cœur qui a loupé un battement. Tu penses un journal sur du vrai papier, comme si je pouvais même imaginer dire non…
Ce n'était pas hier, c'était il y a déjà un an… Puisque c'est déjà le numéro 7 que vous pouvez trouver dans vos kiosques, un numéro où le Brésil et la street food sont à l'honneur. Où vous pouvez retrouver Hélène Daroze et Sophie dans leur cuisine. Apprendre comment faire une tarte tropézienne, une tomate mozzarella étonnante ou à se servir d'une poche à douille. Découvrir les produits de saison, poivrons, cerises ou fenouil... tout ça et bien d'autres choses !Et pour fêter ce premier anniversaire, et plus régulièrement pour annoncer les nouveaux numéros, vous retrouverez par ici une recette d'il y a déjà an et peut-être les petites histoires qui vont avec… comme d'habitude quoi ! Panna cotta à la rhubarbeIngrédients pour 4 : 40cl de crème liquide entière – 10g de sucre en poudre – 3 feuilles de gélatine – 20cl de gelée de rhubarbe - 4 quartiers de pamplemousse rose Mettez les feuilles de gélatine à ramollir dans un bol d'eau froide.Portez le lait et le sucre mélangés à ébullition dans une casserole. Retirez du feu, égouttez les feuilles de gélatine et ajoutez-les dans la casserole. Remuez jusqu'à ce que la gélatine fonde complètement.Versez ce mélange dans 4 verres ou verrines et laissez prendre au frais pendant environ deux heures.Sortez vos verres du frais et faites tiédir la gelée de rhubarbe dans un bol au micro-onde juste assez pour la rendre plus liquide. Attention ne la faite pas trop chauffer sinon elle ferait fondre la panna cotta quand vous allez la verser dessus.Répartissez délicatement la gelée dans les quatre verres, puis remettez au frais environ une heure, le temps que la gelée rendurcisse.Terminez en posant un quartier de pamplemousse sur chaque verre et dégustez sans attendre.
Mais pourquoi, bon et si je finissais de m'occuper du numéro huit… est-ce que je vous raconte ça…