Le Martien me ressemble : quand il veut une soupe bien chaude et qu’il tire sa flemme, il ouvre une brique. Comme le Martien est, selon la tradition, vert, sa soupe l’est aussi. Le Martien a des goûts légèrement différent des miens : il apprécie les saveurs soufrées et les couleurs franches dans son assiette. Le Martien est un vrai capitaliste : il a délocalisé les productions qui le dérangent loin de chez lui, c’est vrai qu’au prix des voyages spatiaux, ça serait dommage de se priver.
Photos prises le vendredi 16 mai 2008, en se bouchant le nez.