Le résumé
Au fond d’un vieux garage hongkongais, elle est là. Elle l’attend.
La machine.
Il suffit de taper. Et tout s’écrira, dans la réalité.
Très vite, l’écrivain William Sagnier comprend qu’il tient là l’instrument de sa vengeance. La femme qui l’a trompé. L’homme qui lui a volé son livre. Tous ceux qui l’ont humilié, utilisé, détruit seront punis à leur tour.
La vie, la mort, la toute-puissance au bout des doigts, là où se mélange le sang et l’encre.
Mon avis
Heureusement, pour moi, ce livre était très court. Mais revenons en au début. William Sagnier est un professeur de physique a écrit un livre. Livre que son amante l’éditrice Cassandra lui a volé pour en attribué la paternité à Jack Malcombe, écrivain vedette de la maison d’édition. Depuis, William n’a qu’une idée en tête : se venger. Il vient donc en Chine, à Hong Kong ou est installé Jack Malcombe et l’éditrice, maison qui devrait être celle de William. En se baladant dans la ville, il trouve et achète une machine a écrire à une personne qui lui dira en gros "j’espère que vous êtes bon". Il semblerait que cette machine à écrire soit la solution magique à tous les problèmes de William car, ce qu’il écrit se produit réellement, avec un léger décalage.
William en use et abuse pour se venger des deux traîtres mais on se doute bien que cela va se retourner contre lui. Cette machine n’est pas à mettre entre de mauvaises mains.
Une histoire qui parait donc très intéressante. Seulement, je n’ai pas mais alors pas du tout accroché. Ce roman se lit pourtant très vite et heureusement pour moi car je n’étais pas dedans. Je n’ai pas accroché avec le personnage de William et je me suis perdu dans les méandres de l’histoire. Plus on avançait dans l’histoire plus je mélangeais les personnages entre William, la momie, Jack, bref c’était compliqué pour moi de ne pas perdre le fil.
Malgré tout, je pense que cette histoire n’est ennuyeuse du tout, il y a un peu de suspense quant au futur plus ou moins proche de William, on se pose pas mal de questions sur la machine à écrire, le pourquoi du comment de son pouvoir.
Ce petit roman n’est pas du tout dans la lignée des différents Franck Thilliez, je suppose donc qu’on y retrouve plutôt la "trace" de Laurent Scalese.