genre: science fiction
Année: 1999
Durée: 1h30
l'histoire: Malgré les performances des moyens de transport intergalactiques terriens, il faut environ huit mois pour atteindre la planète Mars. Un équipage est donc plongé dans un sommeil artificiel pour effectuer le trajet. Mais, au cours du voyage, deux occupants du vaisseau sont réveillés : ils découvrent que le système de navigation a subi des dommages qui entraînent une perte totale de contrôle de la navette. S'agit-il d'un hasard malheureux ou d'une manoeuvre intentionnelle ? L'heure n'est plus à la réflexion, car une substance chimique distille son poison mortel dans tout l'appareil, menaçant l'avenir de l'humanité.
La critique d'Alice In Oliver:
Comme nous l'avons souligné à maintes reprise sur ce blog, Alien: le huitième passager, de Ridley Scott, a inspiré de nombreux avatars, ersatz et/ou copies avariées. C'est par exemple le cas d'Alien Cargo, réalisé par Mark Haber en 1999.
Seule différence et pas des moindres, il n'est pas vraiment question d'alien ou de monstre dans ce navet de science fiction, mais d'une énorme citerne de fer blanc qui se met à luire dés qu’une créature vivante s’en approche. Toutefois, l'intrigue reste peu ou prou la même.
Attention, SPOILERS ! Malgré les performances des moyens de transport intergalactiques terriens, il faut environ huit mois pour atteindre la planète Mars. Un équipage est donc plongé dans un sommeil artificiel pour effectuer le trajet.
Mais, au cours du voyage, deux occupants du vaisseau sont réveillés : ils découvrent que le système de navigation a subi des dommages qui entraînent une perte totale de contrôle de la navette. S'agit-il d'un hasard malheureux ou d'une manoeuvre intentionnelle ?
L'heure n'est plus à la réflexion, car une substance chimique distille son poison mortel dans tout l'appareil, menaçant l'avenir de l'humanité. Souvenez-vous, dans le premier Alien, l'accroche du film était: "Dans l'espace, personne ne vous entendra crier".
Dans Alien Cargo, l'accroche pourrait être: "Dans l'espace, personne ne pourra vous entendre vous faire suer. Vous l'avez donc compris: Alien Cargo fait partie de ces gros navets laborieux et terriblement ennuyeux. En vérité, il ne se passe pas grand chose dans le film.
Soyons même honnête: il ne se passe strictement rien ! Mais alors, rien du tout ! Vous vouliez de l'action ? Et bien, que dalle ! Vous auriez aimer voir un alien ou un extraterrestre moisi ? Que dalle également ! Les acteurs sont donc ici condamnés à bavarder longuement, très longuement...
Certes, Alien Cargo ne s'étale que sur une durée d'une heure et demie de bobine. Mais croyez-moi sur parole, ce téléfilm est une vraie plaie à regarder. Je défie n'importe qui de regarder ce film entièrement sans zapper ou faire une pause à un moment donné.
Alien Cargo est donc un téléfilm particulièrement pénible à regarder. Pas étonnant que les acteurs soient aussi méconnus. Par ailleurs, on retrouve Jason London, Missy Crider, Simon Westaway, Elizabeth Alexander, Alan Dale et Warwick Young.
Vous ne les connaissez pas ? Rassurez-vous, c'est normal ! Certes, dans son genre, et à condition d'aimer les blondes, Missy Crider est très belle. Néanmoins, elle est aussi jolie que mauvaise actrice (c'est dire à quel point elle est médiocre !). Et au cas où vous ne l'auriez pas compris, j'ai tenté de faire durer un peu la chronique, qui ne parle strictement de rien et qui sent bon le remplissage, tout comme le film par ailleurs ! C'est promis, j'arrête maintenant !
note: 0/20
note naveteuse: 18/20