Dans les années 80/90, les créatifs semblaient portés par sur les drogues.
Et certains annonceurs n’y voyaient rien à redire.
Laissant libre court à la création ou alors ne comprenant pas les allusions extrêmement claires diffusées le soir avant le film du dimanche ou du mardi soir sur TF1 (oui oui, il y avait encore des grands rendez-vous cinématographiques sur les chaines hertziennes).
C’était notamment le cas chez LU! Et pourtant pour ceux qui ont bossé avec le groupe Danone, vous vous dites que cela n’est pas possible tellement ils peuvent parfois se prendre la tête sur un mot de leur plateforme de marque et faire des dizaines de réunions pour savoir si ton concept colle bien avec la bible de la marque.
Mais souvenez vous bien… MIKADO. MIKADO, la petite faiblesse qui vous perdra. Maintenant que nous avons passé l’âge d’être innocent, nous voyions tous qu’il s’agit pas d’un MIKADO que l’on respire, mais bien d’un rail de coke!?
Maintenant, le sexe trash a remplacé le porno chic. Le créatif n’a plus peur de toujours allé plus loin, plus fort, plus gore. Nous remarquons que le fist fucking ne fait plus peur, même chez nos amis américains de Mondelez / Kraft qui ont racheter LU ou nos amis allemands de chez Opel!
Ou même à l’époque de la GRANDE agence dagobert!