Chaque récit est un petit mouvement qui fait bouger l'histoire. Une histoire qui n'est pas tout à fait la même que la nôtre depuis que Rome dirige le monde. En effet, figurez-vous qu'Elizabeth Ie a été assassinée et que l'Invincible Armada n'a pas sombré. Ce qui a permis au Vatican de s'imposer (d'ailleurs, toutes les villes portent des noms latins). Il empêche les progrès techniques (le béton, l’électricité) et menace d'excommunication les contrevenants. L'idée est de contenir l'homme, de ne pas le laisser prendre trop d'indépendance. Cela passe par l'Inquisition. Par des règlements. Des interdits. Porté par une belle écriture, ce roman se lit avec grand plaisir.
Merci au Livre de Poche pour ce roman de Keith Roberts !
Pavane est une étonnante uchronie constituée de plusieurs histoires qui se succèdent. A priori sans rapport entre elles, toutes se rassemblent pour dessiner l'histoire d'une Angle-Terre qui change, lentement, comme la danse qui donne son titre au livre.
Nous sommes en 1968, Jesse Strange gère une entreprise de transport de marchandises. A bord de la Lady Margaret, une locomotive puissante, il dessert les châteaux, les forteresses et les villes en biens divers. Puis nous suivons Rafe, un jeune garçon amoureux des sémaphores qui appartient à la guilde des signaleurs, avant de rencontrer Becky, une fillette qui vit en bord de mer et rêve de bateaux blancs. Puis vient le frère Jean, un moine qui dessine divinement. Enfin, nous clôturons cette histoire avec Margaret, Eléanor et John.
Chaque récit est un petit mouvement qui fait bouger l'histoire. Une histoire qui n'est pas tout à fait la même que la nôtre depuis que Rome dirige le monde. En effet, figurez-vous qu'Elizabeth Ie a été assassinée et que l'Invincible Armada n'a pas sombré. Ce qui a permis au Vatican de s'imposer (d'ailleurs, toutes les villes portent des noms latins). Il empêche les progrès techniques (le béton, l’électricité) et menace d'excommunication les contrevenants. L'idée est de contenir l'homme, de ne pas le laisser prendre trop d'indépendance. Cela passe par l'Inquisition. Par des règlements. Des interdits. Porté par une belle écriture, ce roman se lit avec grand plaisir.
Chaque récit est un petit mouvement qui fait bouger l'histoire. Une histoire qui n'est pas tout à fait la même que la nôtre depuis que Rome dirige le monde. En effet, figurez-vous qu'Elizabeth Ie a été assassinée et que l'Invincible Armada n'a pas sombré. Ce qui a permis au Vatican de s'imposer (d'ailleurs, toutes les villes portent des noms latins). Il empêche les progrès techniques (le béton, l’électricité) et menace d'excommunication les contrevenants. L'idée est de contenir l'homme, de ne pas le laisser prendre trop d'indépendance. Cela passe par l'Inquisition. Par des règlements. Des interdits. Porté par une belle écriture, ce roman se lit avec grand plaisir.