Vous allez donc placer votre ambition à mettre des drogues que vous connaissez mal dans des corps que vous ne connaissez pas ?
(Voltaire, s’adressant à un étudiant en médecine)
-Vous avez bonne mine.
Sacha Guitry : -Ce n’est pas à la mine que j’ai mal.
À un de ses amis qui buvait pour supporter sa souffrance,
Yves Mirande disait : « Tu noies tes chagrins dans l’alcool ; méfies-toi, ils savent nager. »
Son sommeil était de beaucoup ce qu’elle avait de plus profond !
(S. Guitry)
On a remarqué que de tous les animaux, les femmes, les mouches et les chats sont ceux qui passent le plus de temps à leur toilette.
(Charles Nodier)
Ce qui fait hurler le malade ferait encore plaisir au mort.
(Ronay, poète du XXème siècle)
Que tout tombe, que tout périsse, que tout s’en aille au tonnerre de Dieu, s’il faut endurer indéfiniment cette abominable farce de souffrir pour rien.
(Léon. Bloy)
On a remarqué que de tous les animaux, les femmes, les mouches et les chats sont ceux qui passent le plus de temps à leur toilette.
(Charles Nodier)
On ne peut couper l’atout, sauf certains sirops.
(Pierre Dac)
La morphine est faite pour que les médecins dorment tranquilles. (Sacha Guitry)
Contradiction :
Dieu interdit à Adam de manger la pomme : « Le jour où tu en mangeras, tu mourras. »…et les Anglais prétendent: “An apple a day, keep the doctor away”.
-Bonjour, mon cher. Vous allez bien ?
-Merci. Pas mal, et vous ? Quel temps superbe !
-Oui, mais le fond de l’air est froid.
Qui n’a pas entendu, vingt mille fois ce dialogue ?
Or, dites le moi, s’il vous plait, ce que c’est que le fond de l’air ?
Je connais le fond d’un plat, le fond d’une bouteille, les fonds de culottes, le fond de ma bourse ; mais malgré les efforts désespérés de mon imagination, je ne puis me représenter le fond de l’air. (Maupassant)
Il a si mauvaise haleine, qu’en mangeant du poulet, il croit que c’est de la bécasse !
(Aurélien Scholl)
Si tu as la gueule de bois sans avoir rien bu, c’est que tu as pris de la bouteille !
L’amour, le travail, la famille, la religion, l’art, le patriotisme sont des mots vides de sens pour qui meurt de faim.
(O. Henry – 1862-1910)