Vous l’aurez compris, quand il pleut, j’aime coudre, tricoter, bijouter. Il me faut des projets, sinon je suis insupportable car débordante d’énergie tandis que monsieur ronronne dans notre tanière. C’est qu’en tant que lorraine, la pluie n’est pas un élément qui m’empêche de vivre et je me verrai volontiers me balader pendant des heures durant avant de rentrer trempée comme une soupe, pour boire un thé brûlant après avoir changé de vêtements. Sauf que me balader en ville, éviter d’être éclaboussée par les voitures qui roulent dans les flaques, m’arrêter à chaque passage piéton, ça ne m’intéresse que moyennement. Dieu seul sait ce que le parc de la Pépinière (Nancy I love you) me manque…
Et puis ça m’a pris comme ça, après la marinière dont le résultat m’a offert une réelle satisfaction, je me suis lancée dans la confection d’une jupe doublée couverte d’un ballet de plumes. Le nom m’a été soufflé par la jolie Victoria... Cheyenne. Je crois que tout vêtement conçu dans ce tissu portera ce nom, il me plaît beaucoup. D’ailleurs, pour une fois ce n’est pas une fin de série, alors je pense aller en rechercher ce week-end. Peut-être pour en faire une jupe salopette, des mini-jupe… mais n’allez pas croire que c’est l’été de la jupe. Je vous réserve d’autres surprises qui prennent un peu de temps à éclore car elles me sont encore très personnelles.
Cheyenne donc, première du nom. Vous la voyez sur moi, une taille au-dessus de ce que je porte habituellement car elle va rejoindre le dressing d’une de mes meilleures amies qui voulait du confort. Il est possible de réaliser encore 4 jupes (pré-commande sur la boutique UBDP dans toutes les tailles possibles) et puis après, j’en ferai autre chose. Suspens !
Bon début de semaine à tout(e)s !
PS : suis-je la seule à m’enrhumer comme il se doit par ici ?