In The Valley Below
Nous avons recontré le duo qui nous raconte la sortie de son premier album, The Belt.
Duo à la vie à la chanson, In The Valley Below faisait escale à Paris avant la sortie de son premier album. Nous les avons rencontré et ils nous expliquent leur parcours et la période qui a précédé la sortie de ce premier album.
Votre chanson Peaches a été un très grand succès, comment se présente la sortie de The Belt ?
Nous sommes très heureux que l’album voit enfin le jour, nous avons beaucoup travaillé dessus et nous en sommes très fiers. On espère que le public aimera toutes les chansons autant que Peaches.
Vous avez énormément tourné avec l’EP Peaches, comment avez vous vécu cette expérience ?
Le public était super, et c’était génial de découvrir toutes ces villes où nous n’étions jamais allé, c’est ce dont on a toujours rêvé et c’est en train d’arriver.
Quels sont vos meilleurs souvenirs de live ?
Le Trianon avec les White Lies était un très bon souvenir. La foule était géniale, le lieu était superbe et l’énergie était folle. C’était notre meilleur concert.
Et le pire ?
On a commencé la tournée aux Pays Bas et les gens étaient très réservés. Normalement tu sens une énergie quand tu joues, un feeling, mais là, quelque chose ne se faisait pas entre le public et nous.
Vous avez joué dans d’énormes festivals comme Leeds, Reading ou encore Rock en Seine, comment s’est faite la transition entre les petites scènes et les très grosses de festivals ?
C’était difficile, nous étions assez nerveux, quand tu joues tes propres chansons en extérieur, mais c’était vraiment super. Les lieux étaient magnifiques et on pouvait jouer très fort.
Pouvez vous décrire The Belt ?
En fait, en faisant cet album, nous ne voulions pas que toutes les chansons se ressemblent et que l’album soit une playlist. On voulait que les sentiments soient mélangés au sein de l’album, qu’il y ait de la joie, de la peine et de l’espoir.
C’est un peu un voyage, avec des hauts et des bas, je n’aime pas les albums qui n’ont qu’un seul son, je perds vite patience.
Comment s’est passée votre collaboration avec Air France Music ?
C’était super, nous avons voyagé sur cette compagnie et on est tombé sur notre chanson. C’était très flatteur d’être sur une playlist dans un avion.
Quand tu es dans un avion tu n’as pas énormément de choses à faire donc c’est une très bonne opportunité de capter l’audience.
Et comment abordez vous la relation marque et artiste ?
Je pense que ça dépend de la manière dont la marque voit cette relation. Certaines comme Red Bull ou Air France aiment réellement la musique et tentent de faire ressortir quelque chose de cette relation. Elles ne se servent pas juste d’une chanson pour illustrer leurs campagnes. En tant qu’artiste, je pense qu’avoir une marque que nous aimons de notre côté est une bonne chose. C’est une opportunité pour que les gens écoutent notre musique.
Il y a de nombreuses marques avec lesquelles nous ne sommes pas en accord, et l’argent ne vaut pas ce désaccord, mais il y a tellement de marques qui veulent du bien à la musique comme Heineken ou encore une fois Air France, qu’il faut les laisser aider les artistes
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