25 mai 2014
(No 2014-21)
Sous l’énergique et innovante direction artistique du baryton Marc Boucher, le Festival Classica présente du 28 mai au 1er juin 2014 la quatrième édition de sa grande fête urbaine de musique classique. Le programmation de 2014 comprend plus de 40 concerts en salle et dans les rues de plusieurs villes de la Montérégie.
Le Festival s’ouvre le mercredi 28 mai à 19 h avec la présentation à la Co-Cathédrale Saint-Antoine de Padoue à Longueuil de La Grand-messe de Gilles Vigneault et la Messe du couronnement de Wolfgang Amadeus Mozart . Ces œuvres pour chœur, solistes et orchestre réuniront sur scène plus d’une centaine d’artistes dont l’accompagnement sera de l’Orchestre symphonique de Longueuil sous la direction de son chef chef Marc David. Les solistes seront la soprano Pascale Beaudin, la mezzo-soprano Claudine Ledoux, le ténor Antoine Bélanger et le baryton Marc Boucher.
Trois activités à contenu lyrique et vocal sont prévues pour le vendredi 30 mai 2014. D’abord, à 20 h 30, une concert en plein art sous le thème « Y soy Maria » mettra en vedette la soprano Marie-Josée Lord. Elle sera accompagnée par huit instrumentaistes et interprétera les plus belles mélodies espagnoles, latines et portugaises de Granada à Besame Mucho. De Monteverdi à Monty Python sera le titre du concert donné par Cantabile- The London Quartet et qui mélangera, dans un programme éclectique, humour et harmonies vocales. Ce quatuor vocal est actif depuis plus de 25 ans, a donné plus de 100 concerts et a produit 10 albums. Ce concert aura lieu au Centre multiifonctiuonnel de Saint-Lambert à 21 h 00. Et à 22 h 30, dans le cadre de la première des deux événements Les nuits de l’opéra, une première diffusion sur écran géant d’un grand opéra est prévue et permet de voir une prodction de Carmen de Georges Bizet avec l’heldenténor Jonas Kaufmann et la soprano Anna Caterina Antonacci.
L’un des événements majeurs du Festival Classica 2014 sera sans contredit le concert visant à commémorer les 250e anniversaire de la mort de Jean-Philippe Rameau. Intitulé Les muses d’Orphée, ce concert-hommage aura lieu le samedi 31 mai 2014 à 14 h 00 à l’Église-Unie de Saint-Lambert et verra le retour au festival du chef Jean-Claude Malgoire. Celui-ci dirigera L’Harmonie des Saisons dans des cantates et airs d’opéra de Jean-Philippe Rameau qu’interpréteront le sopranos Andréanne Brisson-Paquin et Samantha Louis-Jean. Des airs d’opéra et de grands classiques de la chanson pop pour le concert « Swing-it-Op » de Natalie Choquette pourront être entendus le même jour à 16 h 30 à la Place Hydro-Québec à Saint-Lambert. Accompagnée de son trio de musiciens, la diva québécoise partagera d’ailleurs la scène avec ses deux filles, Éléonore et Ariane Lagacé et chantera en solo, duo, ou en trio des airs de Puccini à Legrand en passant par Piaf, Delibes et les Andrews Sisters. Et à 21 h, sur cette même Place Hydro-Québec, le Festival Classica rendra un Hommage à Queen. Dans des arrangements musicaux de Peter Brennan, les plus grands succès de ce groupe légendaire groupe rock britannique s’enchaîneront dans une prestation réunissant près de 200 artistes sur scène, avec l’Orchestre symphonique du Conservatoire de la Montérégie (OSCM), en collaboration avec l’Orchestre de chambre de la Montérégie (OCM) et les chœurs du Festival Classica sous la direction de Marc Ouellette, avec avec comme soliste le ténor Jean-Sébastien Lavoie. Les nuits de l’opéra se poursuivront avec la projection à la Place Hydro-Québec à 22 h 30 de La Bohème de Giacomo Puccini avec Rolando Villazon et Anna Netrebko.
Le Festival se clôturera par un concert le 1er juin 2014 de Gino Quilico qui interprétera des airs du répertoire lyrique et des chansons françaises. Le baryton québécois sera accompagné par l’Ensemble Triosphère et associera la soprano Audrey-Louise Beauséjour au concert. Ce dernier concert aura lieu à 19 h 30 à la Paroisse catholique de Saint-Lambert Concert de Gino Quilico.
Pour plus d’informations au sujet du Festival Classica et réserver vos places, vous pouvez vous rendre sur son site à l’adresse www.festivalclassica.com ou téléphoner au 514 612-0127 ou 1-888-801-9906.
Un concert-hommage à Verdi par l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières
Dirigé par son chef Jacques Lacombe, l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières (OSTR) présentera un Concert hommage à Verdi mettant à en présence les trois finalistes du 30e Concours de l’OSTR : les sopranos Myriam Leblanc etSamantha Louis Jean et le baryton Jean-Philippe McClish. Ces jeunes artistes lyriques interpréteront des extraits des opéras Nabucco, d’Il Trovatore, de La Traviata, d’Aida et de Macbeth. Des oeuvres de Gaetano Donizetti, Ruggero Leoncavallo, Felix Mendelssohn, Wolfgang Amadeus Mozart, Antonio Vivaldi et du compositeur québécois Denis Gougeon- à qui l’OSTR rend hommage à son tour dans le cadre de la série-hommage de la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ)- seront également au programme. Ce concert aura lieu à la salle J.-Antonio-Thompson de Trois-Rivières le samedi 24 mai 2014 à 20 h.
Les découvertes du Café d’art vocal et le ténor Kevin Myers
Dans le cadre de sa série Les découvertes du Café d’art vocal, le ténor Kevin Myers proposera le dimanche 25 mai 2014 un programme sur le thème « Sérénades ». Accompagné par la pianiste Louise Pelletier, il interprètera des oeuvres d’Henri Duparc, Giacchino Rossini et Richard Strauss. Ce récital aura lieu à 11 h 30 au Café d’art vocal situé au 1 223, rue Amherst à Montréal.
Récemment diplômé de l’Université McGill, le ténor Kevin Myers a marqué la saison d’opéra 2014 de cette maison d’enseignement par ses interprétations du Docteur Miracle dans Les contes d’Hoffmann de Jacques Offenbach et de Lysandre dans Le songe d’une nuit d’été de Benjamin Britten. De cette production, le critique Christophe Huss écrivait : « Mais le sel de ces représentations est la découverte, en situation, de jeunes chanteurs. L’observateur espère toujours le miracle, la révélation, comme ce soir de 2009, où dans un rôle subalterne du Viol de Lucrèce de Britten, était apparu le baryton Philippe Sly. Dans la distribution entendue mercredi ce miracle a lieu. La perle rare s’appelle Kevin Myers, un ténor qui interprète le rôle de Lysander. Ce chanteur, s’il mène bien sa carrière, est un Mark Padmore ou un James Gilchrist (c’est-à-dire la crème des ténors anglais) en puissance. (Le Devoir, 31 janvier 2014)
Ce récital est dédié à la mémoire de Jean-Luc Routhier décédé en avril dernier et qui fut l’une des chevilles ouvrières de la Société musicale André-Turp et de la Société d’art vocal de Montréal qui lui a succédé.
Un hommage au chef de choeur Wayne Riddell
Les choristes de l’Église St. Andrew and St. Paul rendront hommage au grand chef de choeur Wayne Riddell dans un concert qui aura lieu dans cette grande enceinte musicale qu’est devenue cette église le dimanche 25 mai à 15 h 30. Le chef de choeur Jordan de Souza, le titulaire de l’orgue Jonathan Oldengram ont invité deux autres chefs, Jeff Joudrey et Noel Edison, ainsi que deux organistes, John Grew et Scott Bradford, à se joindre à eux pour ce concert hommage. comme nous l’apprend le critique musical Arthur Kaptainis, le programme comprendra des pièces chorales de Gibbons, Howells, Mendelsohn et Willan. Wayne Riddell dirigera d’ailleurs lui-même le choeur dans des pièces de Parry et Brahms. L’entrée est libre.
Un concert Verdi par l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières
Dirigé par son chef Jacques Lacombe, l’Orchestre symphonique de Trois-Rivières (OSTR) présentera un Concert-hommage à Verdi mettant à en présence les trois finalistes du 30e Concours de l’OSTR : les sopranos Myriam Leblanc et Samantha Louis Jean et le baryton Jean-Philippe McClish. Ces jeunes artistes lyriques interpréteront des extraits des opéras Nabucco, d’Il Trovatore, de La Traviata, d’Aida et de Macbeth. Des oeuvres de Gaetano Donizetti, Ruggero Leoncavallo, Felix Mendelssohn, Wolfgang Amadeus Mozart, Antonio Vivaldi et du compositeur québécois Denis Gougeon- à qui l’OSTR rend hommage à son tour dans le cadre de la série-hommage de la Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ)- seront également au programme. Ce concert aura lieu à la salle J.-Antonio-Thompson de Trois-Rivières le samedi 24 mai 2014 à 20 h.
Trois grandes oeuvre sacrées à l’Orchestre symphonique de Québec
Dirigés par leur chef Fabien Gabel Le mercredi 28 mai à 20 h au Grand Théâtre de Québec, l’Orchestre symphonique de Québec interpréteront trois œuvres sacrées d’envergure : le Magnificat de Johann Sebastian Bach, le Stabat Mater de Giuseppe Verdi et le Te Deum d’Anton Brückner. Le chef Gabel a choisi comme solistes les sopranos Kimy McLaren et Leslie Ann Bradley, la mezzo-soprano Allyson McHardy, le ténor Thomas Cooley et le baryton-basse Stephen Hegedus. Le choeur de l’OSQ aura été préparé par . Ce dernier concert de la saison 2013-2014 de l’OSQ aura lieu à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec le mercredi 28 mai 2014 à 20 h.
Célébrons l’opéra ! au Parc olympique de Montréal
Pour clôturer sa 30e saison, l’Atelier lyrique de l’Opéra de Montréal présenter un mini-gala à l’occasion duquel les opéraphiles entendront r les airs les plus populaires depuis 400 ans et assisteront à mille prouesses vocales. L’événement se déroulera sur l’Esplanade du Parc olympique de Montréal le jeudi 29 mai 2014 à 19 h 30.
Un récital de Dmitri Hvorotovsky et MacBeth à l’Opéra de Québec
Mon collaborateur Justin Bernard a assisté au récital donné par le baryton russe Dmitri Hvorotovsky
ainsi qu’à la production de MacBeth de Giuseppe à l’Opéra de Québec. Il livre ici ses impressions:
Dmitri Hvorotovsky :
Le dernier récital sur la scène montréalaise remontait à 2007. C’était à la salle Wilfrid-Pelletier, dans un programme de chants populaires russes. Dmitri Hvorostovsky a fait son grand retour dans la métropole québécoise le vendredi 16 mai 2014 cette fois-ci à la Maison symphonique de Montréal. Il était accompagné par son fidèle partenaire de scène, le pianiste estonien Ivari Ilja.
On connaît les lieders allemands de Franz Schubert, les mélodies françaises de Gabriel Fauré, peut-être moins les romances russes de Piotr Iliych Tchaikovsky, de Nikolaï Medtner et de Sergei Rachmaninov. Hvorostovsky a déjà consacré, depuis 2009, quatre enregistrements à ce répertoire. C’est donc en pleine maîtrise des textes de Pushkin et de Tolstoï que le baryton aux cheveux d’argent s’est présenté devant le public nombreux de la Maison symphonique.
De longs applaudissements ont retenti dès son entrée en scène. Prématuré, dites-vous? Pas tant que cela. Hvorostovsky a été pleinement à la hauteur des attentes. Sa voix de baryton, que l’on a pu admirer plusieurs fois en direct du Met ou sur ses albums, a encore fait des merveilles. Son timbre d’une rare richesse, reconnaissable entre tous, a offert une large palette de couleurs dans l’interprétation de toutes ces romances. L’émotion exprimée était aussi très bien servie par une véritable aisance sur scène et des gestes assurés. Nous étions loin des récitals figés.
S’il fallait faire la fine bouche (ou plutôt l’oreille!), nous dirions que la voix semblait parfois pesante dans le grave. N’est-ce pas là l’école russe? Et puis, il y a cette fâcheuse propension à vouloir étirer la ligne vocale jusqu’à ce que le pianiste ait fini sa phrase, au risque de faire chanceler la voix. Mais au delà de toutes ces considérations, c’est avant tout le plaisir d’être là et de chanter que l’on retient de Hvorostovsky. S’il y a une marque des grands chanteurs, c’est bien le « entendez-moi, comme je chante! ». N’y voyez pas de sarcasme. La note tenue dans l’aigu à la fin de la troisième mélodie de Medtner Nochnaja pesn strannika sur un texte de Goethe était d’un autre monde. Les Sonnets de Pétrarque de Liszt, exceptions italiennes parmi les œuvres russes, ont mis en valeur Hvorostovsky dans un registre proche du bel canto, dans des lignes mélodiques pendant lesquelles le temps paraît suspendu.
Pour le plus grand bonheur des auditeurs déjà comblés, Hvorostovsky a chanté non pas un, mais deux rappels : une autre romance de Tchaïkovski (La chanson de Zemfira, sans doute) et l’air Credo in un Dio crudel d’Otello de Giuseppe Verdi.
Le Macbeth de l’Opéra de Québec : une simplicité et une modernité exemplaires
Après la belle production de Madame Butterfly en octobre 2013, qui avait été une grande réussite sur le plan visuel, le public de l’Opéra de Québec pouvait s’attendre à en avoir encore plein les yeux au soir de la première de Macbeth de Giuseppe Verdi. La compagnie lyrique de la Capitale nationale présentait , le 17 mai 2014, son dernier opéra de la saison 2013-2014 au Grand Théâtre de Québec. Elle empruntait ses décors au Pacific Opera Victoria qui avait monté, en 2012, cette grande œuvre shakespearienne de Verdi.
On retrouvait dans cette production la simplicité d’une scénographie épurée, semblable à celle de Madame Butterfly à l’automne dernier. Cette fois-ci, par contre, la modernité était clairement au rendez-vous avec des décors abstraits et des accessoires réduits à l’essentiel. La beauté de l’ensemble ne fait aucun doute, grâce notamment aux éclairages raffinés. On peut davantage s’interroger, en revanche, sur son sens recherché.
Parmi les décors, deux longues barres verticales conjointes descendaient sur scène et remontaient en coulisses. Que représentaient-elles? Une question qui est longtemps restée sans réponse, jusqu’à ce qu’elles se croisent en angle droit, à la toute fin, avec des barres transversales pour révéler, par la magie de l’éclairage et des couleurs, un tartan écossais. Pourquoi ce morceau d’étoffe? Oui, Macbeth se passe en Écosse, un fait plutôt anecdotique. Le récit de Shakespeare ne transcende-t-il pas les frontières et les époques? Il s’imprègne des grands thèmes de la tragédie grecque tels que le Destin et la tournure inéluctable des choses qui mène à sa chute le personnage principal, après son ascension.
L’évocation du Destin était pressentie, mais elle n’a jamais vraiment été réalisée en images. Outre les barres perpendiculaires sur la scène, plusieurs bandes de couleurs blanche et rouge défilaient de temps en temps sur un grand écran, sous forme de vidéo-projections. Ce qui nous vient à l’esprit, c’est le mythe des trois divinités gréco-romaines qui déroulent le fil de l’existence et le coupent, décidant ainsi du sort de chacun. Rien de tout cela. Pas de rupture, mais de la continuité dans ces lignes.
Certaines vidéo-projections nous laissent donc sur notre faim, mais d’autres, au contraire, ont donné de beaux effets, transformant la scène en un tableau magnifique. Le potentiel esthétique qu’elles renferment est indéniable. Dans l’air de Banquo, « Come dal ciel precipita », des ombres de branches traversant le grand écran nous plongeaient dans une forêt menaçante où le personnage vit ses derniers instants. Quand Macduff chantait « Ah, la paterna mano » ou Macbeth, « Pietà, rispetto, amore », cet écran derrière eux n’offrait malheureusement à voir que sa toile grise. Dommage puisqu’il s’agit de deux grands moments lyriques devenus des classiques du répertoire verdien.
Un mot justement sur la distribution de chanteurs qui ont brillamment interprété tous ces airs d’opéras. Gregory Dahl en Macbeth a révélé une belle voix de baryton qui convient bien aux rôles de Verdi. Lyne Fortin a incarné une Lady Macbeth avide du pouvoir avec grande autorité. Luc Robert et Éric Thériault ont formé un très bon duo de ténors aux voix puissantes. Alain Coulombe (Banquo) s’est, quant à lui, distingué tant dans son rôle chanté que dans son rôle de fantôme errant, un rôle muet très bien conçu par le metteur en scène Morris Panych. Enfin, soulignons le bel équilibre sonore qui régnait entre les chanteurs sur scène et l’orchestre, sous la direction énergique de Timothy Vernon.
Le rêve de Grégoire de Pierre Michaud ou le défi de la lisibilité lyrique
À suivre dans quelques heures…
À l’Opéra de Montréal, une Turandot où brille la Liu d’Hiromi Humora
À suivre également très bientôt…
À l’émission L’opéra…. le dimanche aussi ! du dimanche 25 mai 2014 et pour souligner la tenue de la quatrième édition du Festival Classica, mon co-animateur Justin Bernard et moi-même recevrons en studio son directeur artistique Marc Boucher. Il sera accompagné de la soprano Andréanne Paquin qui participera au festval dans le cadre de l’événement Les muses d’Orphée. La deuxième partie de l’émission sera consacrée. Je vous rappelle que vous pouvez syntoniser l’émission « en ondes radio » de 13 h à 15 h à Montréal (91,3 FM), Rimouski (104,1 FM), Sherbrooke (100,3 FM), Trois-rivières (89,9 FM) et Victoriaville (89,3 FM). Elle peut être également écoutée en direct sur le site électronique de Radio Ville-Marie à l’adresse http://www.radiovm.com.
À l’émission Place à l’opéra 2.0, Sylvia L’Écuyer poursuit son « Printemps royal » en présentent l’opéra L’incoronazione di Dario d’Antonio Vivaldi dans une production du Festival international d’opéra baroque de Beaune, en France, en 2013. La distribution comprend Anders Dahlin, ténor (Dario), Kristine Hammarstrtöm, mezzo-soprano (Statira), Delphine Galou, contralto (Argène), Riccardo Novaro, baryton (Niceno), Roberta Mameli, soprano (Alinda), Franco Fagioli, contreténor (Oronte), David DQ Lee, contreténor (Arpago) et Giusepppina Bridelli, mezzo-soprano (Flora). L’ensemble Accademia Bizantina est placé sous la direction d’Otavio Dantone. Au premier entracte, l’animatrice s’entretiendra avec la directrice et fondatrice du festival, Anne Blanchard. Pour plus d’informations sur l’émission, vous pouvez cliquer ici. Je vous rappelle que l’émission n’est diffusée que sur l’internet (www.espace.mu) le samedi de 13 h à 17 h et qu’elle est rediffusée sur Espace musique le dimanche de 19 h à 23 h.
À son émission Saturday Afternoon at the Opera de CBC-Radio 2, l’animateur présentera MacBeth de Giuseppe Verdi dans une production de l’English National Opera. La distribution comprend Ben Johnson, ténor, Gwyn Hughes Jones, baryton, Simon Keenlyside, baryton, Elizabeht Llewellyn, soprano et Latinai Moore, soprano. L’English National Opera Orchestra and Chorus sont sous la direction d’Edward Gardner. La radiodiffusion sera suivie de l’émission Backstage with Ben Heppner. Je vous rappelle que ces émissions sont diffusées en « ondes radio » de 13 h à 17 h. L’émission Backstage with Ben Heppner sera reprise le dimanche 25 mai 2014 de 10 h à 11 h.
Bonne semaine lyrique!