Quatrième de couverture :En 2009, Céline Curiol se trouve confrontée à l’étrange sensation d’avoir perdu le goût de vivre, celui de penser, d’imaginer. De ne plus pouvoir réagir. Agir sur son propre corps, le maîtriser. Quelques années plus tard, elle tente de dire et de comprendre comment s’est insinuée en elle cette extrême fragilité physique et psychologique dont elle revisite les strates, désireuse de circonscrire les symptômes de cette maladie appelée dépression, en parler, la nommer ; tant la solitude et le déni qui à l’époque l’entouraient jusqu’à la submerger auraient pu la tuer.
Magazine Culture
Auteur: Céline Curiol
Titre Original: Un quinze août à Paris
Date de Parution : 7 mai 2014
Éditeur : Actes Sud
Nombre de pages : 218
Prix : 20,00€ 19,00€
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Quatrième de couverture :En 2009, Céline Curiol se trouve confrontée à l’étrange sensation d’avoir perdu le goût de vivre, celui de penser, d’imaginer. De ne plus pouvoir réagir. Agir sur son propre corps, le maîtriser. Quelques années plus tard, elle tente de dire et de comprendre comment s’est insinuée en elle cette extrême fragilité physique et psychologique dont elle revisite les strates, désireuse de circonscrire les symptômes de cette maladie appelée dépression, en parler, la nommer ; tant la solitude et le déni qui à l’époque l’entouraient jusqu’à la submerger auraient pu la tuer.
Quatrième de couverture :En 2009, Céline Curiol se trouve confrontée à l’étrange sensation d’avoir perdu le goût de vivre, celui de penser, d’imaginer. De ne plus pouvoir réagir. Agir sur son propre corps, le maîtriser. Quelques années plus tard, elle tente de dire et de comprendre comment s’est insinuée en elle cette extrême fragilité physique et psychologique dont elle revisite les strates, désireuse de circonscrire les symptômes de cette maladie appelée dépression, en parler, la nommer ; tant la solitude et le déni qui à l’époque l’entouraient jusqu’à la submerger auraient pu la tuer.