Quai des Orfèvres, l'inspecteur Picasso se voit confier une banale histoire de tableaux volés qui va le conduire vers ces sociétés secrètes liées aux francs-maçons, ainsi qu'à des alchimistes et à un laboratoire pharmaceutique.
Éditions IPANEMA
Fabrice Daimler signe avec Les Larmes de Pierre le premier tome de la trilogie des Souriants, série policière et ésotérique dont la rigueur et l’érudition ne valent que par le rythme et la gourmandise avec lesquels les pages se tournent.
Dans la lignée des romans noirs publiés aux éditions Ipanema, Les Souriants s’illustre également par son accent français. Dans un genre dont l’hégémonie américaine n’est plus à démontrer, l’ouvrage – bien qu’international – construit l’essentiel de sa narration dans l’environnement mystérieux de la franc-maçonnerie hexagonale, invoque les coulisses du Louvre et propose au lecteur un duo d’inspecteurs aussi pittoresque qu’attachant.
Sur la fresque du genre on risquerait presque à situer Fabrice Daimler et sa saga colossale entre Dan Brown, Jean-Christophe Grangé et la Bible.