Pourquoi faut-il voter aux Elections Européennes !

La France avance, notre pays change et se modernise. Qu’en est-il en Guadeloupe ! Voici ce que l'Europe apporte à notre Département !

Cette longue liste d'actions positives devrait vous inciter Samedi 24 mai 2014 à voter !

Des investissements massifs dans un pôle de compétitivité

Au niveau national, l’Etat a accordé 1,5 milliard d’euros aux 71 pôles de compétitivité pour la période 2009-2011.

En Guadeloupe, le pôle de compétitivité Synergîle, labellisé en octobre 2007, est adossé au pôle Capenergies basé en PACA.

Synergîle est spécialisé dans les énergies renouvelables et les matériaux appliqués aux spécificités du contexte tropical. Le pôle a déjà labellisé plusieurs projets innovants. Par exemple le projet SEL (Soleil Ecologie Lumière) pour le développement du solaire pour l’éclairage public de la zone caribéenne, confrontée à l’instabilité du réseau électrique, ainsi que le projet Rebecca pour mettre en place une filière de production d’électricité à partir de biomasse (telle que la canne à sucre) cultivée spécifiquement pour cet usage (objectif : construction de centrales électriques de 8 à 10 MW traitant une biomasse cultivée sur environ 1 000 ha).

Plus d’un million d’euros de soutien de l’Etat pour 2 pôles d’excellence rurale

Les pôles d'excellence rurale sont des projets favorisant le développement des territoires ruraux qui reçoivent à ce titre un financement de la part de l'État.

Il en existe 2 dans le département :

• A Sainte-Rose, un pôle représentant une dizaine d’opérations (production, transformation, formation, recherche, valorisation, présentation, commercialisation ...) autour de produits agro-alimentaires tels que l’ananas, la vanille et le miel
• Un projet PILOTE (programme d’investissements locaux pour une offre touristique élaborée au nord Grande-Terre) pour dynamiser les communes d’Anse Bertrand, Petit Canal et Port Louis (création de l’espace multimédia d’Anse Bertrand, de la maison du tourisme de Nord Grande Terre, rénovation de Beauport et équipement de l’Anse du Souffleur…)

161,1 millions d'euros injectés par le Plan de Relance en Outre-mer pour les infrastructures et le logement (Fonds exceptionnel d’investissement Outre-mer)

Au plus fort de la crise, Nicolas Sarkozy a décidé de relancer fortement l’investissement public afin de soutenir des secteurs majeurs de l’économie, limiter la récession et préserver l’emploi.

161,1 millions d'euros ont été engagés en Outre-mer pour réaliser de nombreux travaux au plus près de chez vous, parmi lesquels :

• La restauration de la Cathédrale de Basse-Terre
• 875 000 euros pour la rénovation du marché couvert en spirale de Saint-François
• 650 000 euros pour la rénovation de la Poste de Basse-Terre et du Gosier
• 700 000 euros pour accélérer les travaux de la halle des sports du Gosier
• 3,5 millions d’euros pour reconstruire le Centre de secours de Basse-Terre
• 7,5 millions d’euros pour la restructuration de l’ancien hôpital du camp Jacob en campus universitaire
• 739 000 euros pour la création d’une maison d’accueil spécialisée pour les personnes âgées dépendantes à Gourbeyre
• 200 000 euros pour la création d’un établissement pour personnes âgées dépendantes à Vieux Fort
• 2,3 millions d’euros pour moderniser le port de Pointe-à-Pitre

Les exemples sont encore nombreux près de chez vous et dans tout le pays

945 millions d'euros engagés pour la rénovation urbaine

Le Plan National de Rénovation Urbaine (PNRU), c’est 12 milliards d’euros de subventions sur 10 ans pour améliorer le lieu de vie de 4 millions d’habitants dans 500 quartiers populaires. Il mobilise 45 000 emplois dans les travaux publics sur ses chantiers. D’ores et déjà, les résultats sont visibles.

En Guadeloupe, 945 millions d’euros sont mobilisés pour la rénovation urbaine : 454 millions d’euros pour les quartiers de Pointe-à-Pitre et 491 millions d’euros pour les quartiers du Raizet et Grand Camp aux Abymes.

Déjà 106,4 millions d'euros d'investissements d'avenir en Outre-mer

Pour que la France puisse sortir plus forte de la crise, Nicolas Sarkozy a lancé en 2009 un grand programme d’investissements d’avenir. Doté de 35 milliards d’euros au niveau national, ce programme permet de financer les projets qui créeront la croissance et les emplois de demain.

Dans les Outre-mer, 106,4 millions d'euros ont déjà été engagés pour les investissements d’avenir.

A Pointe-à-Pitre, le projet CORAIL, qui améliore la recherche sur les écosystèmes coralliens dans la perspective de leur gestion durable, bénéficie de 6,5 millions d’euros. Le projet GEODENERGIES de recherche en technologies du sous-sol pour des applications dans le domaine des énergies décarbonées et de la lutte contre le changement climatique a reçu 15,9 millions d’euros.

Plus de 24 300 entreprises créées en Guadeloupe depuis 2007

Dans le seul département de la Guadeloupe, plus de 24 300 entreprises ont été créées depuis 2007.

5 511 entreprises ont été créées en 2010, alors que 3 320 entreprises seulement étaient créées chaque année en moyenne entre 1997 et 2002. Ces bons résultats s'expliquent notamment par le succès du statut de l'autoentrepreneur, créé par Nicolas Sarkozy et qui offre un cadre social et fiscal avantageux à ceux qui choisissent d'entreprendre. 6 039 autoentreprises ont ainsi été créées en Guadeloupe en 3 ans.

La loi pour le développement économique des Outre-mer (LODEOM)

La loi pour l’Outre-mer du 27 mai 2009 (LODEOM) a proposé aux Outre-mer un nouveau modèle de développement économique qui, dans une logique de développement endogène, parie sur les atouts et talents de nos territoires.  Au service de la production et des emplois locaux, la LODEOM a notamment créé des zones franches d’activité, permettant à 40 000 entreprises ultramarines de regagner en compétitivité.

En Guadeloupe, la LODEOM a notamment permis d’exonérer de charges le versement d’un bonus allant jusqu’à 1 500 euros par an pour les salariés guadeloupéens.

L’Etat a également introduit le RSTA (revenu supplémentaire temporaire d’activité de 100 euros par mois versé aux salariés jusqu’à 1,4 SMIC) puis le RSA (Revenu de solidarité active). La prime de 200 euros mensuels pour les salariés gagnant jusqu’à 1,4 SMIC, a donc été en grande partie financée par l’Etat.

Notre bilan en Guadeloupe, c'est aussi…

• 22 714 bénéficiaires du minimum vieillesse et 8 157 bénéficiaires de l'allocation adulte handicapé qui auront vu leurs prestations revalorisées de 25% en 5 ans
• 10 guichets uniques Pôle Emploi, issus de la fusion entre l'ANPE et les Assedic, qui accompagnent et indemnisent plus efficacement les demandeurs d'emploi
• 2 écoles de la deuxième chance (E2C) à Baie-Mahault et à Basse-Terre. Avec le soutien de l’Etat, elles donnent une seconde chance aux jeunes sortis du système scolaire sans aucun diplôme
• Le doublement du service militaire adapté (SMA) annoncé par Nicolas Sarkozy dans tous les Outre-mer, qui concernera près de 500 jeunes supplémentaires en Guadeloupe. Les jeunes du SMA de Guadeloupe ont par ailleurs ouvert le défilé militaire du 14 juillet 2011 sur les Champs-Elysées, dans le cadre du cinquantenaire du SMA et de l’année des Outre-mer.
• La baisse de la délinquance générale de près de 10 % depuis 2004, baisse qui se confirme en 2011 avec une régression des atteintes aux personnes de 7 %.
• Dans le domaine de la lutte contre le narcotrafic aux Antilles, le démantèlement de dizaines d’organisations criminelles, l’arrestation de centaines de trafiquants et la saisie de plus de 20 tonnes de cocaïne initialement destinées à l’Europe de l’Ouest
• La reconstruction du CHU de Pointe-à-Pitre, décidée fin 2011 et prise en charge par l’Etat à 100 % (590 millions d’euros financés par le Plan Hôpital 2012)
• 63 millions d’euros pour le plan chlordécone afin de soutenir la recherche et aider l’agriculture

Le 24 mai 2014 VOTEZ !