Essai

Par Basicinstinct82

Les plus recherchés "Quel est l’impact des politiques publiques comme substrat dans la régulation d’une action publique, gage de l’état à la vie nationale : Ces lignes qui précèdent, proviennent du tableau d’affiche, de mes statistiques, autrement le nombre de visites, la localisation géographique des visites, la détection des navigateurs et systèmes d’exploitation, en gros les sources de connexions utilisées, pour accéder à mon espace, parallèlement à l’illustration d’un autre tableau indicatif des articles phares, des plus recherchés aux plus vus. Ainsi ces lignes ci-dessus, figurent parmi les articles plus recherchés, d’après le tableau indicatif, sauf que je n’ai jamais abordé, une telle thématique, telle que déclinée, quoi qu’à l’évidence, j’aborde en long et en large, tous les aspects, auxquels, le thème fait référence et que je me ferai, un plaisir décent d’en élaborer les contours et concepts, en d’autres termes, soit ressasser mes piges antérieures, d’un surplus de cogitation à l’appoint d’une évaluation et réévaluation continues, des prévisions esquissées en amont, pour mieux étoffer, en aval, les procédés d’action pérenne de lutte contre la pauvreté, son éradication progressive, ainsi que la promotion des valeurs concourantes, à l’émergence d’un ordre qui nous prémunisse contre les dérives irrémédiables, tout en nous dotant d’une faculté d’anticipation, de réactivité et de rétrécissement des perspectives, à l’afflux d’un boom économique, et un sursaut politique au service de la stabilité sociale. En effet, ce thème pose clairement l’acuité d’une question irréductible de par sa largesse, ses influences certaines, sur le mode d’organisation des sociétés modernes, y compris, le fait qu’il doit constituer le substrat des nouvelles approches, consistant aussi bien à mieux appréhender, schématiser et conceptualiser l’action publique, que ressortir la fonction de régulation des politiques publiques qui s’y rattachent. De ce point de vue, une plénitude d’études viennent s’y consacrer, en fonction des contraintes auxquelles chaque mode d’organisation politique, économique et sociale, se heurte, ainsi que le seuil d’imbrication des domaines d’intervention, les implications, et le renouveau du marketing qui ne legs plus, ses tentacules et procédés qu’aux organisations à caractère privé, mais bien plus, encore, les concepts en gestation à propos, nous plongeant autant dans les formes d’organisation centralisée des états en désuétude, qu’aux normes de gestion en verve, relatives, aux politiques publiques. D’où les mutations viennent nourrir, les transformations opérées sous l’effet, des disjonctions, des échecs, une transposition des politiques publiques, qui se traduit par l’inefficacité, et la stérilité de l’action publique, quand on sait que la conception de l’état, se ramène et s’adjoint peu à peu, de façon discontinue, à la promotion des normes libérales, il en résulte d’ailleurs, un marketing qui s’applique spécifiquement aux politiques et actions publiques. De ce qui précède, il est d’un impératif absolu, ainsi qu’une méthodologie applicable, à la nouvelle donne qui résulte, des grands bouleversements politiques, des besoins d’extension et des domaines d’intervention des états, autrement les prérogatives, doublés de la gestation des formes d’organisation respectivement nécessitée, à la fois par la transmutation des concepts du leadership politique et la gouvernance auréolée, de la double exigence d’une corrélation entre les domaines d’intervention, et l’efficacité de l’action publique,  et l’approche qui structure l’état, transcrit son fonctionnement, y compris, participe à annihiler considérablement les distorsions qui élaguent l’intervention étatique, de son cadre conceptuel, conformément au type de régime politique, les objectifs à atteindre, de surcroît, définissant et retranscrivant les grands équilibres et principes, devant prévaloir, dans la nécessaire cooptation de normes et vertus, en concordance avec l’action gouvernementale, soit le levier explicatif à bien des seuils, de l’échec de certaines politiques publiques, la déstructuration des pans entiers de schémas directeurs, l’impertinence des choix budgétaires, y compris la dérégulation de la chaîne de décision. D’entrée et avant de me lancer dans les ébauches servant d’encrage pédagogique, puis que conventionnellement requises par l’ensemble des disciplines, se donnant pour objet d’étude, cette fameuse thématique, dont l’impact s’est révélé capital, dans la tentative d’appréhension et de conception, des politiques publiques comme substrat dans la régulation de l’action publique, il importe de se persuader, qu’aussi bien la sociologie politique que l’action publique, dans leur finalité, contribuent à mettre en évidence, la corrélation supposée entre les politiques et l’action publique, à ce titre d’ailleurs, je commencerai, par poser distinctement, les terminologies qui composent la thématique, pour mieux me saisir de ses artefacts, et les perspectives toutes nouvelles, qui la font émerger au nombre des critères d’optimisation des politiques publiques, conformément aux actions qui en émanent. Que signifie politique publique: D’après Wikipédia: Les politiques publiques se définissent comme un ensemble d’actions coordonnées, mises en œuvre avec pour objectif d’obtenir une modification ou une évolution d’une situation donnée. Les politiques publiques sont mises en œuvre par les institutions publiques et les administrations publiques. . Quand au site scribd, il dispose ce qui suit:

I- Qu’est-ce qu’une politique publique ? Le terme de « politique publique » est assez récent. Il a été introduit dans le langage des sciences politiques et administratives européennes dans les années 70 comme traduction littérale du terme « public policy ». Ce dernier s’oppose au terme « la politique » («politics »), qui désigne les activités et les luttes des acteurs politiques traditionnels (notamment partis politiques, groupes d’intérêts, syndicats ou nouveaux mouvements sociaux) visant la conquête du pouvoir législatif ou gouvernemental dans le respect des règles constitutionnelles et institutionnelles (ce que recouvre le terme de « polity »).Il existe une multitude de définitions de la notion de politique publique. Dans son introduction à l’analyse des politiques publiques, Thoenig en relevait au moins quarante dans les années 1980. Sans revenir sur cette diversité, on peut rappeler quelques-unes de ces définitions.

 II- DÉFINITIONS   « Une politique publique est ce que les gouvernements choisissent de faire ou de ne pas faire ».   « Une politique publique est le produit de l’activité d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale ». « Une politique publique est un programme d’actions propre à une ou plusieurs autorités publiques ou gouvernementales dans un secteur de la société ou dans un espace donné ».   « Une politique publique est faite d’activités orientées vers la solution de problèmes publics dans l’environnement, et ce par des acteurs politiques dont les relations sont structurées, le tout évoluant dans le temps ». −   « Une décision ‘faite corps’ qui se caractérise par des comportements cohérents et répétitifs de la part de ceux qui la font ainsi que de la part de ceux qui sont concernés par elle ». −   « Il y a politique publique lors qu’une autorité politique locale ou nationale tente, au moyen d’un programme d’action coordonné, de modifier l’environnement culturel, social ou économique d’acteurs sociaux saisis en général dans une logique sectorielle » .Quoi que ces définitions soient très diverses, elles tendent à mettre l’accent soit sur les acteurs investis de pouvoirs publics, soit sur les problèmes collectifs à résoudre, soit sur les actions étatiques apportées. En fin de compte, les spécialistes des politiques publiques s’accordent pour dire qu’une définition « opérationnelle » est nécessaire pour qualifier l’objet et le champ d’étude retenus" De cette plénitude de définitions s’attelant toutes à ressortir la définition aussi concise, qu’englobant l’ensemble des aspects, pouvant revêtir les politiques publiques, il peut en émerger, une autre définition, que je propose, en corrélation avec les nouveaux champs d’action qui leurs sont dévolus, les nouvelles formes d’action évolutive qu’elles sont censées engrangées à savoir, à mon sens, que "Les politiques publiques, constituent l’ensemble de la politique intersectorielle, mise en place, par un gouvernement, un état, afin d’apporter des correctifs, l’évaluation et la réévaluation de sa gestion des institutions publiques, l’optimisation des ressources publiques, la coordination et la planification de l’action gouvernementale, aux fins d’une lutte et intervention efficaces, dans le pilotage des politiques sectorielles" Ceci étant, il importe de consentir le vocable politique publique, selon les facteurs de son évolution dans le temps, ainsi que l’acception qui en est faite, par l’action gouvernementale, car les politiques publiques, viennent prouver à suffisance que son cadre conceptuel, reste non seulement désuet, mais aussi et surtout, les procédés esquissés jusque là, pour la subjuguer, à la confluence de l’efficacité de l’action gouvernementale avec la nouvelle approche qui fait d’elles, non plus, une plate forme de gestion centralisée de l’état, mais plutôt, un concept qui s’applique en fonction des situations spécifiques, en sachant dorénavant, que la typologie des états, leur processus d’évolution, les caractérisent en tenant compte des mutations qu’ils ont connus, y compris la propension dans laquelle s’inscrit leur aspiration à forger et entrevoir leur devenir conformément aux agrégats locaux. Avant de continuer à explorer les champs d’exploration thématique, scientifique, politique économique et sociale, disons les disciplines, qui s’adjoignent pour former un nœud, un boucle autour du concept politique, soit dans le but de mieux stimuler la synergie, soit du fait de leur reflues sur les théories, la méthodologie qui me semble appropriée, revient à esquisser les dites disciplines de leur acception originelle, à celle qui les rend inéluctablement, incluses dans les aspects évolutifs que n’a cessé de connaître, la science politique, au point qu’elle intègre, ces disciplines, à part entière. C’est ainsi qu’on assiste à la naissance des disciplines, telles que la sociologie politique, pour avoir acquise son autonomie à l’égard de la sociologie générale, laquelle englobait à l’origine, l’étude de tous les phénomènes sociaux, politiques, culturels et comportement humain. D’où, la politique, autant que le droit et tant d’autres disciplines, se rebiffent et se requinquent, sous l’apport de l’étude des phénomènes sociaux, afin que soit étoffé leur objet d’étude, de sorte à engranger les ressources intellectuelles et scientifiques, à l’aplomb de l’innovation. Ainsi la science politique, selon, l’office Québécois de la langue Française, signifie ce qui suit: "Science du gouvernement des États, de la Cité au sens étymologique. Suivant les écoles, on parle de science politique soit en termes philosophiques ((théorie politique, histoire des idées)), soit en termes institutionnels (la science politique est alors la science de l’État), soit en termes de pouvoir et de systèmes politiques (partis, rapports de force, processus de décision, comportements, etc.)" Plus loin, une autre  définition synthétique d’universalis, propose ce qui suit: "On dira qu’elle est la connaissance descriptive, explicative et prospective des phénomènes concernant l’État et les sociétés de même ordre qui le précèdent, le remplacent, l’accompagnent ou le dépassent." De ces définitions préalablement comblées, des aspects descriptifs du champ d’application originellement thématique de la science politique, il en ressort une observance logique, se démarquant de l’acception de la science politique en tant telle, du moment qu’entre, l’étude des phénomènes sociaux, politiques, économiques et sociaux, chantre échu et dévolu à la sociologie générale, et l’étude descriptive, prospective du pouvoir et du fonctionnement de l’état et les institutions publiques, il ne saurait surgir qu’un rapport, une corrélation et une liaison intime, entre ces deux disciplines, au point qu’elles en sont venues, du côté de la science politique, à la cooptation de la sociologie, car les phénomènes sociaux tels que déclinés et liés à la gestion de l’état et ses institutions, en référence aux différentes formes d’organisation aussi bien administrative, territoriale, que sociale, ne peuvent que constituer le suppôt, la substance, et l’essence de toute organisation humaine La sociologie politique: une discipline initialement ignorée, du moins intimement rattachée à la sociologie de par son objet, au point qu’il aurait fallu l’évolution de la science politique pour qu’on s’aperçoive, de la pertinence des analyses consistant à mieux se saisir des aspects et phénomènes sociaux, dans l’approche et la conception du fait politique, raison pour laquelle, elle est une variante qui finit par s’accommoder avec l’extension des procédés de l’administration territoriale, de l’approche du pouvoir politique, de l’état dans ses présupposés, ainsi que les contingences et la facticité de la politique, de s’en approprier les vertus, du moment que la méthode empirique, les références faites à l’évolution sociétale, aux faits historiques, aux avancées et reculs observés, permettent d’opérer une purge, une épuration de l’objet d’étude de la science politique, de ses entraves et aspects non conformes, à la finalité recherchée par la sociologie politique. Par ailleurs, la récurrence suscitée par le débat autour de ce sujet, éminemment remis au goût du jour, par la multiplication des contraintes, des régimes politiques d’obédiences diverses avec des interprétations naturellement divergentes du concept, y compris l’utilité de cerner le champ des politiques publiques à travers ses aspects manifestes, l’action publique, la réinvention du politique au prorata, des théories qui accablent les concepts du leadership désuet, ce débat qui trouve tout au plus, son créneau naturel, incrusté dans la primeur d’une exigence fastidieuse, consistant à formaliser et conceptualiser la corrélation s’établissant entre d’une part, la nouvelle gouvernance prônée avec les contradictions, nées d’une spécification ardente, et supposée orienter l’action publique vers le domaine d’intervention ciblée et de l’autre, le besoin d’optimisation, d’efficience et de rationalisation  par le biais aussi bien des ressources en tous genres, que l’encrage, ainsi que la transcription de la problématique de l’efficacité de l’action publique, se traduisant à tout bout de champ, par l’acquisition d’un niveau optimum entre l’utilisation faite des ressources publiques, les résultats générés et le niveau de stratification des objectifs qui concourent à l’émergence d’une plate forme non pas destinée à l’unisson à la résolution des difficultés quotidiennes, mais portée par l’effectivité empoignante et le saisissement pénétrant d’en venir à concocter, une grille de lecture, pouvant rendre compréhensible la gouvernance, les visées des politiques publiques avec des instruments qui vont du droit, au management public, vient se dessiner un large champ de conception, d’évaluation et de réévaluation des théories politiques en verves . Ce qui nous amène nécessairement à faire une dissection faisant trait au management public, en rapport avec le management privé, puis qu’on constate, dorénavant que les fonctions de régulation des politiques publiques et l’action publique, ont parmi leurs substrats désormais, une certaine capacité managériale à inculquer aux politiques publiques, une tradition déjà existante dans la conception Anglos saxon de la gestion publique, en sachant d’ailleurs, que cette tradition découle de l’orientation vers l’économie de marché de la plupart de ces pays, d’où le fameux dilemme des régimes hybrides, les voyant, pris de court, dans leur retard à homologuer l’action publique, avec les processus de désamorçage de l’endettement, juguler la courbe des déficits publics qui croissent à un rythme alarmant, s’évertuer à contenir le désengagement progressif des états du processus de production industrielle, la vague de privatisation amorcée à l’afflux d’un brassage des concepts et étoffer leur mode d’organisation, alors même que ces pays qui ont opté pour un régime hybride, s’offraient la plénitude d’une synthèse des genres, suffisamment à l’appoint des imprévisions, du moins dans une proportion minimaliste. En conséquence, esquissons un temps soit peu, la terminologie substrat, afin qu’on puisse rendre encore plus cohérent et intelligible l’affirmation à l’origine, de cette vaste dissertation, à savoir que substrat peut signifier, selon le dictionnaire Français: "Ce qui est à la base d’un phénomène, d’une activité, d’une structure." En ce sens, comprendrons-nous aisément et avec subtilité, que l’essence de toute lutte efficace, contre les dysfonctionnements structurels, la déstructuration, la mal gouvernance, l’inconsistance de l’action publique, les réajustements qui reviennent dans le sillage des politiques publiques et l’inadéquation des choix stratégiques avec le mode de régulation, qui varient selon qu’il soit conventionnel, institué ou collectif, réside dans la capacité de ciblage des compétences, la répartition des rôles, y compris l’allocation des moyens, quoi que, cette dernière variante, détermine le levier d’action qui permet de moduler les moyens sur les besoins. En outre, pour l’atteinte d’un seuil d’efficacité minimaliste, dans le management, il importe de toujours, assouplir les mécanismes de gestion éprouvant des entraves dues à leur rigidité, c’est d’ailleurs, à juste raison, qu’il faille veiller à une structuration conséquente et répondant fidèlement à la logique d’harmonisation des procédés.

LE MANAGEMENT DES POLITIQUES PUBLIQUES, COMME INSTRUMENT DE LA RÉGULATION DE L’ACTION PUBLIQUE:

Que pouvons-nous retenir du management en tant que concept usuel, avant que je m’étende sur les imbrications supposées résulter, de l’émergence dudit concept, au sein du jargon des politiques publiques, quand bien même qu’il est prudent de mettre en exergue, la corrélation entre le management public et privé, ce qui les différencie et comment ils s’intègrent, du point de vue, de l’action de pilotage et de coordination dévolus à l’action publique. Ainsi selon digischool, le management de façon générale signifie: " Le contrôle"v La direction v L’organisation v La planification vLe management est le fait de planifier, d’organiser, de diriger et de contrôler. Ces activités visent à permettre d’atteindre les objectifs de l’entreprise et sont reliées entre elles : Tandis que le management stratégique, signifie: Le management c’est conduire un groupe d’hommes et de femmes dans un contexte spécifique vers l’atteinte des objectifs de la manière la plus efficace et efficiente (coût, temps). Pour cela, l faut des ressources : humaines, matérielles, financières et des informations. Et selon Poter, le management stratégique est le choix d’allocation de ces ressources qui engage l’entreprise dans le long terme et la dote d’un avantage concurrentiel durable, décisif et défendable. En synthétisant, ces deux définitions, on aboutit à une approche plus cohérente et mieux inclusive, des différents aspects et caractéristiques, qui permettent de ressortir, la structuration, ainsi que le contexte de naissance du management public, autrement, celui des organisations publiques, tributaire de l’action publique, dans son spectre multidimensionnel, comme pourrait en attester la définition toujours de digischool, qui suit: "Le management public est la mise en œuvre de méthodes et de techniques visant à développer le pilotage de la décision publique. Il représente un champ d’études, d’expériences et de références pour l’amélioration de la performance des organisations publiques. Il contribue à la modernisation et la relégitimation de ces organisations après plusieurs décennies de remise en question de leur efficacité, voire de leur existence, par les approches néolibérales. " De ces tentatives précédentes, de s’asperger, humecter les domaines limitatifs  de circonscription du management à travers son acception originelle, à savoir son application aux entreprises, corroborée par son émersion en tant qu’instrument de régulation des politiques publiques, l’approche s’y rapportant, nous astreint à y entrevoir, d’un côté, la fonction d’impulsion des politiques publiques, leur pilotage, leur coordination et leur régulation, qui nécessitent une intégration de l’univers du secteur privé, dans leur conception et leur élaboration, tandis que le secteur privé, qui regroupe autant les entreprises privées que celles mixtes, sans omission faite de leur relation avec les institutions publiques, au delà, du schéma organisationnel interne, managérial, l’adjonction et l’opposition de deux concepts, appelés tout de même, à contribuer à l’harmonisation de l’action publique, dans sa propension à ne plus demeurer, dans les artefacts des types d’organisations publiques,   à l’ossature fortement centralisée et basée sur un système de planification des politiques publiques, annihilant les velléités de l’initiative privée, tout au plus, avec la naissance d’une crise récurrente, due à l’inefficacité de l’action publique, son inadéquation avec les objectifs à atteindre, y compris, les distorsions résultant du fonctionnement des institutions publiques, nous contraignent de surcroît, à revoir notre conception de l’état, puis que la modernisation des administrations publiques, ne saurait demeurer une donne nouvelle, à l’image de son incrustation dans la recherche optimale des ébauches de solutions, à l’efficience des instruments de régulation des politiques publiques. Que pouvons-nous retenir de la régulation au sens où elle s’applique, autant aux politiques sectorielles, qu’à celles englobant et intégrant tous les services publics de l’état? Selon la définition que j’admets littéralement, puis que faisant référence et englobant, les domaines auxquels, je souhaite l’accoler, la régulation consiste à ce qui suit: "Mécanisme de contrôle faisant intervenir des rétroactions correctrices à l’intérieur d’un système (physique, biologique, social), et assurant l’équilibre de ce système chaque fois que sa stabilité est momentanément perturbée par des causes internes ou externes" (Thinès-Lemp. 1975)" Et selon Ecossimo, la fonction de régulation de l’état, signifie ce qui suit: La fonction de régulation de l’État consiste à agir sur l’évolution économique de façon à en améliorer les principaux indicateurs (croissance, emploi, équilibre extérieur et stabilité des prix) à Long terme (LT), en orientant l’économie par la régulation structurelle, et à Cour et moyen Terme, par la régulation conjoncturelle. Selon Knowandpol, la régulation se définit ainsi:" “Régulation” est entendue ici au sens de J. D. Reynaud (1988), comme capacité à produire des règles. Règles est employé au sens large et recouvre aussi bien le domaine de la règle juridique à ses différents niveaux (loi, règlement) que de la règle morale, de la norme formelle que de la norme informelle. Rappelons que Raynaud distingue trois grands types de régulation, les “régulations autonomes”, produites par les collectifs de base (par exemple la norme du freinage dans une organisation taylorisée, qui est produite par les opérateurs de base de l’organisation», les “régulations de contrôle”, émises par les supérieurs hiérarchiques et/ou les responsables politiques, les tenants du pouvoir donc, et les “régulations conjointes” : systèmes institutionnalisés, coopératifs, et donc relativement stables, de combinaison des deux premiers types de régulation." De ce qui précède, il devient aisé de s’accommoder de la configuration et la structuration de l’état, pour objectiver l’agencement supposé des institutions publiques, du moment que l’acception de l’adjonction de la gestion de l’état, avec la fonction de régulation, d’impulsion, de coordination et d’orientation des politiques publiques, dont ruissellent le secteur privé et dans lesquelles il parvient à augurer et promouvoir son essor, nous emmènent à nous encrer dans un moule incitatif, de l’appréhension de sa fonction de régulation en tant qu’acteur au sein d’un ensemble composite et hétéroclite. Ceci étant, des instruments des politiques publiques proprement dits, à ceux de sa régulation, telle que prônée à la lumière, des grandes avancées théoriques et doctrinales, concoctées et étalées de nos jours, pour faire valoir, une vision anticipative, il convient d’opérer une approche synthétique, à l’afflux des innovations intemporelles, d’où, une appréhension de la gestion de l’état, dans sa dimension revigorée, mais non ubuesque et caricaturale, au prorata de sa fonction de régulation, laquelle contribue à délocaliser, son champ d’applicabilité pérenne, des visées antérieures, en vue de la doter des prédispositions requises, pour l’étoffer de nouveaux attributs, recadrer son champ d’action et pourquoi pas, cultiver le nouvel encrage de l’action publique. Comment créer un cadre d’analyse de la fonction cognitive des politiques publiques, comme substrats de l’action publique: Là résident, l’essentielles des difficultés qui font ou tout au moins, ont fait naître le débat autour du fameux concept, à l’origine de cette vaste analyse, consistant à ressortir, le niveau d’agrégation pouvant et devant découler de l’impact, autrement l’incidence, des politiques publiques, comme la base, le support, la structure, de la régulation de l’action publique, qu’il faut tout simplement, au juste et au mieux interpréter, en concordance avec le sens de la transcription faite des politiques publiques, au prorata des politiques sectorielles, d’où son caractère multidimensionnel. Ainsi, il ne saurait être une nouveauté, une donne en émergence ou une nouvelle approche faite des politiques publiques, traduisant le décuplement de l’action publique, en ses principaux axes,  conformément à son émanation que sont les grandes orientations, des politiques publiques, du moins, me voyant depuis 2003, comme en témoigne  Guinée quel devenir 1, disséquer le sujet, tenter de lever le coin du voile, sur les turpitudes, les avancées et les échecs, des politiques publiques, aussi bien dans leurs propensions vaines, à créer des structures de gestion adéquate, relancer le débat sur l’emballement, de l’endettement, et prôner un ordre nouveau, lequel j’entrevois d’ailleurs, présider le devenir des nations entières. Ceci étant, aussi urgente que puisse paraître, la sacro-sainte, nécessité de repenser la politique, à la lumière des adjonctions théoriques, doctrinales, épisodiques, environnementales et conjoncturelles qui naissent, des tentatives de structuration, des domaines de compétence des services publics, la délimitation du champ théorique et thématique des institutions publiques, ainsi que la transition opérée en transmutation de formes d’états, jusque là demeurées, dans l’ambivalence, l’ambiguïté et l’impasse, idéologiques, vers des perspectives d’innovation, conférées par la déconcentration structurelle et la décentralisation territoriale, aussi infiniment transigée, reste à admettre l’évolution dans le sens, de la création d’un cadre de réflexion, d’imagination, d’invention, de diligence aux fins, d’apparition, à la naissance, à la conception, l’éclosion, l’émergence et la survenue, d’un climat propice, aux conjectures, intégrant et englobant, le schéma de la gouvernance esquissée, car les schémas des politiques publiques, assez souvent répertoriés selon qu’ils soient imbriqués à un seuil facilitant l’harmonisation de l’action publique, soient ceux, ayant réussis à enrayer le spectre de la stigmatisation bureaucratique, protocolaire, les lourdeurs administratives, etc…., avec à la clé une capacité de réactivité, ainsi que de régulation optimales, optimisables, au gré des fluctuations conjoncturelles, ou qu’ils soient de nature, à ne pouvoir point créer un créneau d’anticipation des dérives, des dysfonctionnements structurels, de surcroît, à l’afflux de distorsions, rendant illisibles, inadéquates, y compris incohérentes, les axes d’intervention des pouvoirs publics, au delà, de leur caractère modulaire, sied à tout point de vue, avec la rationalisation et l’efficience des procédés de gestion, obéissant autant à la méthode empirique, les aspects rétroactifs des points de blocage et d’incompatibilités, découlant des conclusions tirées soient de l’expérimentation, des réformes, soient du constat de leur évaluation, par rapport aux prévisions initiales, qu’à la formulation théorico-doctrinale de la conception de l’état, du politique, du pouvoir, des institutions qui l’incarnent, l’instituent, l’érigent en structures coordonnées, spécifiquement à chaque entité géographique, quoi qu’à, l’évidence et sur la foi, de l’expérience héritée de l’évolution des institutions, à l’échelle planétaire, y compris, l’expertise, qui se déclinent en forme d’une étude comparative de ces mêmes institutions, sans omission faite, de la duplicité, les tentatives d’accommodation et de reprises, ainsi que la transposition théorique dues à la transmission et la diffusion du savoir scientifique, des postulats intellectuels répandus à satiété, font et refont, de la culture politique, un tremplin, un déversoir des concepts et agrégats locaux, un vivier, un réceptacle et un réservoir, ne devant tarir sous aucun prétexte, d’affluences théoriques, permanemment concoctées, pour consolider le socle de l’armature structurelle de l’état, procéder à des réajustements sporadiques, explorer le champ composite des disciplines qui s’y rapportent, voir, vaquer à la création d’un laboratoire d’idées, canalisateur et fédérateur des initiatives, en objectant de passage que ceux qui obèrent la subjectivité de la culture politique,  confondent délibérément, le champ d’application pérenne de la philosophie en tant que legs à la politique, avec la conceptualisation faite des instruments qui permettent la transcription et la transposition de l’idéal, en tant tel. En d’autres termes, j’appelle ça, la création d’un cadre d’analyse de la fonction cognitive des politiques publiques, dans l’optique éprouvée de laisser éclore leur substrat dans la régulation de l’action publique….. La règlementation et l’arsenal juridique, en tant que facteurs de régulation et d’optimisation rationnelle de l’action publique: Dans la conception dogmatique, théorique et interdisciplinaire de l’approche en émergence, systémiquement applicables, , au cadre de réflexion, axé sur des stratégies donnant lieues, à l’ajustement sectoriel, ainsi que structurel, en corrélation avec les instruments de régulation de l’action publique, l’arsenal juridique, règlementaire et institutionnel, doublés des multiples aspects de la désagrégation des politiques publiques, y compris la subtile difficulté, consistant à esquisser, un tableau illustrant in extenso, autant les agrégats locaux, que les innombrables alternatives, parallèlement déployés, par les initiatives disparates, aux fins d’une intégration et une coordination efficaces de l’action publique, par le biais, d’une représentation schématique et graphique des indices, ainsi que les données, permettant, d’élucider les indicateurs de performance économique, ouvrir des brèches d’exploration, tout en laissant présager, l’anticipation des dérives et rehausser le niveau de structuration de l’état, s’enclenche, l’engrenage asymétrique de la régression, la stagnation, ainsi que la fuite en avant, originellement, engendrant les mutations, lesquelles, sans jamais contenir, les incohérences, imperfections et distorsions, des mécanismes de mise en œuvre, des politiques publiques, auront contribué à accentuer la dérégulation, d’avantage, promouvoir, la disjonction des efforts, tout au moins, les ressources réellement investis, puis que nous demeurerons, pour les besoins de la cause, éternellement, sensibles, à la dilapidation des deniers publics, la gabegie, la corruption de sa forme la plus affinée à celle affûtée, amoindrie, et instituée sous l’emprise de quelque vocation que ce soit,  y compris toutes pratiques, préjudiciables, à la sauvegarde des ressources publiques contre les prédateurs, avec les acquis devant être générés pour l’atteinte des objectifs, ayant mobilisé les fonds ou ressources investis.

LA FONCTION DE RÉGULATION MODULAIRE DE L’ACTION PUBLIQUE:

Après un exposé assez exhaustif, des champs thématiquement dévolus, à la fonction de régulation, comme substrat de l’action publique par le biais des politiques publiques, il devient, un véritable sacerdoce, la démarche méthodologique, consistant à relancer, un débat, qui a déjà, suscité autant d’assertions, que d’analyses, et aussi bien du point de vue d’une approche de la gouvernance que de l’efficacité de l’action publique, à savoir, la conception originelle de la fonction de régulation de l’état, au point qu’il est impératif de repenser la notion même de l’état, la corrélation supposée résulter du partenariat entre les institutions publiques et les organisations non gouvernementales, au delà, créer une spirale de l’interventionnisme public, dont la flexibilité, permette une interaction harmonieuse des axes d’intervention publique. Ainsi, il est opportun et d’une perception assez vivifiés, ranimés, réconfortés et stimulés, de se saisir de la question, de la régulation de l’action publique, dans son aspect scrutateur, susciteur et refluant, disons ressassant, et jouxtant la fonction de régulation de l’état, depuis sa remise en cause par la théorie libérale, avec son champ d’acception économique, à celui désormais, englobant, à la fois, non seulement, la segmentation des axes d’intervention publique, jusque là trop onéreuse, en tant que corollaire de la baisse des déficits publics, par le biais du désengagement progressif de l’état, des activités économiques, mais aussi et surtout, l’ensemble des services publics, car la culture anglo-saxon, a tellement léguée ses conclusions scientifiques, de la gouvernance politique, la gestion optimisée des institutions, due, à son avance observée sur le sujet, si bien que la conception moderne de la gestion de l’état, son rôle d’orientation, d’impulsion, de coordination et de veille, aux fins de prévention de la déstructuration, la dérégulation, le dysfonctionnement des services publics, y compris l’inertie de l’action publique, n’ont fait que revenir, s’apposer, au panthéon de toutes les suppositions imaginées, imaginables et esquissées, afin de rendre l’état autant dynamique, qu’épris des normes, doctrines, et théories perspicaces et pragmatiques, à l’aplomb de la nouvelle délimitation de ses axes d’intervention, redéfinir son rôle, ainsi que le soustraire, de sa conception rétrograde, désuète, non conforme, à un brassage des genres, en attendant, l’éclosion de nouvelles théories, suffisamment étoffées de mécanismes d’action, de régulation, sans exclusion faite de l’imagination de ses nouvelles prérogatives, reposant sur des instruments efficaces de régulation de l’action publique. De là, à concevoir l’état et le comprendre, au regard de l’approche qui en est faite, dans le sillon de notre époque, nous fait objecter, arguer, riposter, alléguer, invoquer et chicaner, les possibles dérives, pouvant émaner, d’une conception de l’état, n’incluant opportunément, les véritables présupposés, conjectures, postulats et présomptions, qui viennent s’énoncer dans la foulée, comme une alternative indépassable, à bien des seuils, dans l’amorce de l’optimisation de la gestion publique, car, la culture politique, axée sur des politiques publiques, surtout la plus usitée, puis que surdimensionnée parallèlement à la situation de contrainte vécue par beaucoup de pays pauvres, anticipative de perspectives de schématisation infructueuse, des paramètres à l’avantage de part et d’autre des pays en quête d’un schéma de développement innovant et de surcroît,  incarnées et transposées par/ et à travers l’action publique, en ses principaux instruments, voyant par extension, les pays développés, eux-mêmes, s’y évertuer, pour mieux étouffer les conséquences désastreuses de la mondialisation des échanges, sur les économies locales, contrer les obstacles, sporadiques, contenir les crises de récession, les distorsions, relevées dans la gestion publique territoriale, les conflits de compétences entre entités administratives, les incompatibilités constatées dans la délégation des services et le transfert des pouvoirs. Comment réguler l’action publique, planifier l’économie, coordonner l’action gouvernementale, impulser l’orientation politique et piloter les politiques publiques concomitamment à la décentralisation territoriale, l’autonomisation financière et la déconcentration structurelle: Après avoir, exposé sommairement, la modularité des substrats de la régulation de l’action publique, par le biais des politiques publiques, il devient de très bonne augure, d’essayer d’entrevoir, dans les instruments de l’action publique, le Dashboard de la planification économique, la coordination de l’action gouvernementale, l’impulsion sou tendant l’orientation politique, le pilotage des grands chantiers des réformes sociales, économiques et politiques, simultanément à la décentralisation territoriale, entamée sur fond d’errance conceptuelle, en contrat avec l’autonomisation financière balbutiante et la déconcentration structurelle non conforme aux concepts devant servir de préalables, comme des supports et le socle de l’harmonisation des politiques publiques, en sachant dorénavant, que l’efficacité de l’action publique, y gagne ses lettres de noblesse, tout comme la consolidation des stratégies avenant à l’optimisation et la rationalisation de la gestion des deniers publics, y trouveraient le terrain d’éclosion, ainsi que d’émergence des perspectives, les plus innovantes. Ceci dit, il importe de distinguer la conception de la représentation théorico-doctrinales, des outils et instruments, concourants à illustrer, le niveau d’imbrication des concepts, procédés, processus et plans des axes d’intervention des politiques publiques, à l’aide de l’action publique, qui trouve son exégète, y compris sa transcription, dans la formulation du régime politique, qu’il contribue à rendre conforme à ses attributs politiques et ses postulats économiques…. La régulation de l’action publique et la planification économique: Bien que la thématique servant à cette perspective d’approche, de structuration systémique, de consolidation, de renouveau, et de scrutation, de l’émergence d’une plate forme d’action publique, suscitée autant par la quintessence, que la démarche méthodologique, privilégiée, car s’assouplissant au gré des fluctuations conjoncturelles, à la nouvelle donne environnementale, dictées aussi bien par les contraintes multiples, en optimisation de la gestion primo financière des structures publiques, laquelle à son tour, vient extirper de son  carcan, les insuffisances et les imperfections de l’approche conceptuelle des théories, doctrines et dogmes philosophiques, y compris politiques, qui affluent sur le terrain de l’imaginaire politique, que par les distorsions imprévisiblement entretenues, du fait de contingences, dénotant réellement, l’échelon de l’évolution idéologique, la maturité politique et les conditions préalablement requises, afin de ne point ou plus, entrevoir en l’action publique, sa prestance providentielle d’antan, à savoir demeurer, dans le sillon de l’assistanat, il va falloir se prémunir d’ailleurs, de préceptes, qui sachent allier les aspects caractéristiques de la transposition idéologique et doctrinale, des schémas de gouvernance, autrement, je reviens dessus, l’héritage culturel de l’administration publique, à la situation de crise du système de régulation du système financier international, ainsi que le nouvel ordre économique, engendrés par la mondialisation croissante des échanges commerciaux et autres, facteurs de l’unification du marché mondial, ceci afin de délocaliser le cadre de circonscription de l’approche uniquement sur les pays pauvres et dénoter son caractère réellement universel. Ce qui revient à dire, ainsi  qu’à admettre logiquement que la conception de l’action publique, découle d’une émanation de celle de l’arsenal des politiques publiques, dont elle n’est qu’un prolongement systémique et structurel, d’où obéissant aux mêmes critères d’évaluation et de réévaluation, une obligation paraissant d’ailleurs, s’inscrire, à l’image de la schématisation, nouvellement imaginée pour agir aux fins, de soutien à la performance des structures de gestion aussi bien administratives, politiques, qu’économiques. Ainsi, il en résulte, un rapport de causalité, l’indexation et la corrélation, des politiques sectorielles sur la politique globale, c’est-à-dire, les intégrer et les harmoniser, dans/et avec l’ensemble des axes d’intervention de l’administration publique, de sorte que la planification, remis au goût des assertions théoriques du moment, par le biais de l’interventionnisme public, lui-même généré par les risques de dérégulation de l’ordre économique et financier mondiales, y compris, l’assèchement des viviers des écoles de pensées économiques libérales et néo, constatés en 2008, trouvent leur terrain d’explication thématique, d’exploration scientifique, ainsi que leur champ d’application sectorielle, leur revenant dans la redéfinition des prérogatives, attributs, règlements et systèmes de codification de la réforme structurelle, qui s’adonnent à l’orientation politique, à laquelle, les institutions républicaines et la vocation de l’état à veiller à l’épanouissement du peuple, conformément à ses aspirations, sied au mieux. Dans la foulée d’un nivellement sectoriel du niveau d’interventionnisme étatique, corroboré par la stratification, la superposition de la base au sommet et inversement, de la pyramide structurelle, à partir de laquelle s’édifie, les objectifs d’action prioritaires, dans la recherche d’un équilibre harmonieux, entre la planification revue à la lumière des postulats et contraintes méthodologiques, qui la font engluer, disons, prendre au piège de la critique de la pensée néolibérale, rien qu’en y pensant même de façon volontariste, car nous savons tous, l’autorégulation du marché par le mécanisme de l’offre et la demande, chère à la théorie libérale à l’opposée de la planification si chère, si ce n’est plus qu’une héritière, des économies centralisées, en plus de celles, que peut-on qualifier d’hybrides, on en vient à ressasser de vertus manifestement revigorantes, la planification, puis qu’étant à l’origine et motivant, la transformation conceptuelle, qui obligent à l’associer au management. A l’évidence, de nos jours, son aspect interdisciplinaire, afin de dynamiser, son rôle de prévision, de prévention, de régulation, de programmation et d’évaluation du processus de production, y compris la mise en œuvre des politiques publiques, j’en passe, étant désuet, au profit du recadrage, disons d’extension de son champ thématique d’application antérieure, le management s’y griffe au motif inaltérable, de l’atteinte d’un seuil d’organisation des états, mobilisateur non seulement de l’essoufflement des théories fondatrices de l’architecture des organisations contemporaines, mais aussi et surtout, d’un amas d’adjonctions théoriques, doctrinales et dogmatiques, à l’aplomb de la réinvention de la gestion structurelle de l’état, quand par extension, les sociétés humaines, sous la pression de la nécessité, doublée de la rareté croissante des ressources, tellement criardes, à l’échelle planétaire, poussent les courants intellectuels et politiques, à aller tirer au fond des confluences antagoniques scientifiques, sociologiques et politiques liant le leadership, à son incarnation, en tant que norme instituée, par le concours de l’innovation par le biais de nouvelles perspectives, les solutions palliatives, aux crises de croissance, à la récession économique, à la baisse vertigineuse du niveau de vie, la disproportionnalité des axes d’intervention correctifs des directives de politiques publiques, l’inégalité et l’injustice, à tout de point de vue, observées tantôt dans les pays développés comme des entraves à la décence du modèle social, l’inégalité de traitement et de revenus sociaux, tandis qu’au sein des pays pauvres, l’inégalité et l’injustice, sont vues, entre autres, par rapport, tantôt à la mauvaise redistribution des fruits de la croissance, tantôt, l’écart de plus en plus, creux entre les différentes strass sociales… La coordination de l’action gouvernementale, sur fonds d’impulsion de l’orientation politique et le pilotage des politiques publiques: Sur la base d’une définition littérale, de la coordination, selon l’usage fait en Français, "Mise en ordre, agencement calculé des parties d’un tout selon un plan logique et en vue d’une fin déterminée." combinée à celle littérale de la gouvernance, en tant que " l’ensemble des mesures, des règles, des organes de décision, d’information et de surveillance qui permettent d’assurer le bon fonctionnement et le contrôle d’un Etat, d’une institution ou d’une organisation qu’elle soit publique ou privée, régionale, nationale ou internationale.", tandis que le gouvernement ou l’équipe gouvernementale, peut être définit comme: l’ensemble des membres composants un gouvernement, chacun avec des attributs et prérogatives définis en conséquence, on peut effectivement sans tergiverser, laisser éclore, l’impact de la coordination de l’action gouvernementale, sur fonds d’impulsion, au sens où "impulsion désigne purement et simplement, encourager, faciliter" de l’orientation politique, autrement la nature du régime politique, c’est-à-dire, l’ensemble des valeurs, préférences et normes idéologiques, structurant l’ensemble des politiques sectorielles mises en œuvre par un gouvernement pour atteindre ses objectifs, mais aussi permettant d’en caractériser, en fonction des différents modèles existants et répertoriés, à distinguer bien sur, avec l’orientation  politique, du point de vue, d’une organisation politique. De la coordination de l’action gouvernementale à l’impulsion d’une orientation politique, ainsi que le pilotage des grands chantiers des réformes, nécessités par le souci, de l’harmonisation et la régulation des politiques publiques, il est impératif , de situer, la corrélation devant résulter, de l’imbrication de l’action publique, avec les axes d’intervention qui la transcrivent, en tant que l’ensemble des processus, des procédés et procédures, jouxtant, l’efficacité à la coordination effective, des mesures faisant l’objet de recadrage, y compris de réajustement, des politiques publiques, lesquelles politiques, jusqu’alors, imaginées à contrario, du type de régimes politiques, puisque des distorsions et dysfonctionnements, constatés à l’échelle structurelle à l’apparition des contraintes méthodologiques, doctrinales, y compris, théoriques, qui mettent à rude épreuve, les perspectives de modulation de l’action publique, initialement, calquées sur des normes qui vont tantôt de la segmentation sectorielle, des axes d’intervention à la décentralisation territoriale et la déconcentration structurelle, on finit par se persuader, qu’au delà, de l’incidence et l’impact, des mesures de réajustement sectoriel et structurel, souhaitées coercitives, la question d’adéquation des présupposés d’un régime politique, avec la stratégie économique, devant en sou tendre, l’idylle exégète, s’est assez souvent posée de façon récurrente, comme un énigme à résoudre, quoi que, la rigidité de certains régimes, n’a guère permis d’y prendre garde et que les mesures de réajustement s’y sont obstruées, au point qu’on en était arrivé, à un point de confluence, y compris, d’uniformisation de la politique économique avec les impératifs politiques. Ceci état, il serait d’une lucidité accrue et suffisamment étoffée, de concevoir, la décentralisation, ainsi que la déconcentration structurelle, désormais, non plus, au regard des substrats qui les ont institués et sacralisés, comme objection contre la centralisation des procédures de gestion administrative, puisque trop restrictives, élaguées du principe de proximité, tributaires des entraves à l’auto-développement local, enclaves de la lenteur, y compris la lourdeur administratives, précipices à la configuration du schéma de stratégie de réduction de la pauvreté, par le biais de l’implication et la mobilisation des ressources réellement disponibles, à l’échelle locale, sans omission faite, de la spécificité de la majeur partie, des pays largement inspirés, englués, et partagés, entre se subjuguer aux vertus de l’économie de marché, très en verve, intégratrices, ainsi qu’à l’afflux des préceptes du nouvel ordre économique international de par son uni polarisation du marché des échanges, toute fois, une bonne partie de ces pays, ont connus, une transition inopérante de la doctrine marxiste de la politique et de l’économie, vers le pluralisme politique, y compris, l’économie de marché à des proportions et seuils différents, et les substrats d’un conservatisme abrupt des attributs politiques et diplomatiques de la souveraineté, que ces pays, appréhendent, avec la conviction ferme et ultime, mais quelque fois dérisoires d’allier les champs composites de l’indépendance aux contraintes idéologiques. Depuis 1990, il est admis de désormais écrire, le mot règlementation, avec un accent grave, contrairement à l’usage habituel. Tentons, avant tout, de délimiter le champ d’application thématique de l’arsenal juridique et la règlementation, bien que la culture francophone, de la règlementation inclut les lois, au delà, des mesures légales, des règles, des prescriptions, des codes et des indications, en esquissant d’entrée, leurs définitions. Ainsi, selon ma perception, de la question, pourrait-on admettre, comme définition littérale de l’arsenal juridique, comme étant "le catalogue de l’ensemble des textes de lois qui régissent, le fonctionnement de l’état, les institutions publiques,  les politiques publiques, à travers l’action publique, en ses axes d’intervention, ainsi que la délimitation, de leur domaine d’application, leurs champs de compétence, y compris élaguer le secteur public du privé" Tandis que, la règlementation, selon Toupie, s’énonce en ces termes: "La réglementation est l’ensemble des règlements, c’est-à-dire des mesures légales, des règles, des prescriptions, des indications et autres textes juridiques qui régissent une activité sociale ou qui concernent un domaine particulier. Elle est rédigée par les administrations compétentes ou les personnes mandatées." Synonymes : règlement, codification. Toujours, dans la foulée de l’approche consistant à configurer et promouvoir, sous un angle de vue différente, l’arborescence et le diagramme, résultant de l’interaction, entre l’arsenal juridique, la règlementation et la transcription, ainsi que la nouvelle formulation, diligentées par le cadre d’évolution naturelle, à l’aplomb, d’une optimisation et la rationalisation de l’action publique, il importe de se saisir, de la question telle qu’elle vient, circonscrire les concepts les plus usités en la matière, en sachant que de la fonction cognitive, des politiques publiques, comme substrat de l’action publique, on ne saurait amoindrir la fonction de régulation des procédés et concepts, administratifs, mis en verves, en vue de créer un cadre juridique, législatif et réglementaire, concourant à rendre cohérent et harmonieux, les efforts déployés, dans l’optique de stimuler, la réactivité, la synergie et la culture de l’action publique, qui s’y rapportent au mieux, sans omission faite, du souci de prévenir le bigarrement des politiques publiques, du moment que l’harmonisation et l’optimisation de la gestion publique, semblent des armes, on ne peut plus efficaces, pour pallier aux incertitudes, des politiques publiques… La décentralisation territoriale, l’autonomie financière et la déconcentration structurelle : La décentralisation territoriale, la déconcentration structurelle, ainsi que l’autonomie financière des collectivités de base, loin de paraître l’apanage de la fédéralisation, s’énoncent au gré, d’une imbrication, liant la stratégie locale de réduction de la pauvreté avec la restructuration de l’état, conformément à l’orientation de politique générale, la typologie du régime politique et les perspectives nouvelles, instituant, aussi bien le transfert de compétence, la délégation  de pouvoir, tout comme la délégation des service. Ainsi, en parcourant la nouvelle grille de lecture, de la problématique du développement, surtout quasiment dans sa propension , restrictive, annihilant et subjuguant, les tentatives et velléités de remodelisation de la configuration structurelle, se rapportant, non seulement aux spécificités des agrégats locaux, autrement les prédispositions naturelles, que présentent chaque pays, dans sa quête effrénée, discontinue de scruter les stratégies, pouvant lui assurer un devenir à la lumière de ses aspirations, c’est-à-dire, menant au seuil de bien-être décent, mais aussi et surtout,  le doter de plate formes, d’action souple, de procédés de gestion administrative et financière, y compris, de pilotage des politiques publiques, on en vient à s’obstiner devant le choc des mutations, dont le seuil, préfigure la désuétude théorico-doctrinale des modèles de développement, mais pas pour autant qu’il faille, occulter le phénomène de désintégration structurelle et de dérégulation, des mécanismes d’action,  supposés redonner les agrégats conceptuels, une marge de manœuvre et les substrats de l’élaboration des outils servant de correctifs, pour le recadrage, y compris la révision des politiques publiques.

LA DECENTRALISATION TERRITORIALE :

D’une analyse à finalité théorique à une approche, venant servir de caractéristiques à la typologie des états, par extension des régimes politiques, il est impératif, de circonscrire la décentralisation territoriale, en tentant  d’axer les conditions de son avènement indépendamment, de son encrage académique actuel, celui, consistant à l’étudier aux termes de l’utilisation qui en est faite, les différentes formes qu’elle a finie par revêtir, les influences doctrinales, et dogmatiques des écoles de pensée, qui viennent la  renflouer de nouveaux principes, de processus, procédures et procédés, du moment qu’elles  ont pour vocation, de scruter les perspectives innovantes, et présider  l’élaboration des politiques publiques, mais bien au-delà, de ce cadre, afin de s’en faire une conception idyllique, car, en imaginant une approche inclusivement originelle, on parvient à s’asperger de vertus et normes, dénotant les axes d’intervention publique, au contrario des reflux négatifs de la transcription des directives gouvernementales, constatés ça et là, si bien qu’on aboutit à une sorte de binôme, dont le premier monôme établit les causes explicatives de l’inefficacité de l’action publique, quand le second laisse éclore, les solutions probables et les leviers d’action, pour venir à bout des difficultés jalonnant, le processus de transfert des compétences, au sein des pays pauvres, ,  lequel naquit impromptement teinté de la transposition pure et simple de modèles, souvent qualifiés de classiques, donc basiques et de faible teneur,  puis que nonobstant, les préalables et pré requis, sans lesquels, lesdits modèles, n’auront jamais connus, un tel seuil de distorsions structurelles, en tout cas, une proportion telle, qu’ils en sont à demeurer l’épicentre, de la problématique de la décentralisation territoriale, du développement autocentré, lorsque l’impuissance des pays au seuil de développement revigoré, de contrer l’incompatibilité des mesures d’adéquation de la gestion publique territoriale, trouve son terrain d’explication, sa paraphrase, sa justification et son éclaircissement, dans la nécessité à un moment donné de sortir, du cadre exigu, des concepts de l’état unitaire, de sorte à les étoffer de procédés, du, à un besoin d’accompagnement du développement, par la création des outils et instruments de gestion adéquats.

LE PARADIGME DE LA DECENTRALISATION TERRITORIALE

Le paradigme découlant de la représentation que nous devons nous faire, de la conception de la décentralisation territoriale, au regard des perspectives et contraintes, liées à la spécificité des modèles politiques et économiques, que nous contraint à construire l’héritage culturel, de l’administration publique, au-delà, du constat qui se dégage de l’expérimentation des programmes de développement, observée ces 30 dernières années, traduit pertinemment la nécessité d’en venir à une approche qui module, les axes et volets d’intervention de la décentralisation territoriale, dans sa propension à conforter et consolider, la réforme territoriale, partout ailleurs, car, pour autant que la décentralisation territoriale, s’offre à une prise en compte effective du concept de développement autocentré, voir un concept inclusif du savoir et agrégats locaux, pour infinis seront une accommodation du transfert des compétences, la déconcentration structurelle, le désengagement progressif de l’état des secteurs productifs, la vague de privatisation amorcée et la réforme territoriale avec l’autonomie de gestion, même si à l’évidence, une innovation s’y imprime, comme une caution irrécusable, à savoir, le pilotage, ainsi que les mesures d’accompagnement, qui reviennent à l’état pour des fins de recadrage; sans jamais omettre la nouvelle approche de gestion administrative couplée à celle financière, à inventer ou imaginer, jusqu’à la stabilisation, à l’optimum. Ceci paraît, à la confluence, d’un souci récurrent de pouvoir sécuriser les chaînes des dépenses et des recettes, du trésor public, puis qu’à défaut de faire disparaître, les liquidités au profit des titres de paiement ou encore informatiser le circuit monétaire et financier, par ailleurs, la trésorerie publique, avec une modélisation et une architecture informatique, accroissant la lisibilité des données, il va falloir inscrire l’évaluation et la réévaluation, de la gestion de façon pérenne.

Ainsi le paradigme, s’impose comme une démarche à adopter dans la panoplie de solutions innovantes, comme susmentionnée, en sachant que la réforme territoriale, comporte, tout en requérant en elle-même, des volets et axes, dont l’harmonisation, participent à favoriser l’éclosion de l’attrait de la spécialisation des services déconcentrés, de sorte à délimiter convenablement leurs domaines d’intervention, mais aussi et surtout, la spécification de leurs prérogatives et attributions, dans l’optique de renforcer les capacités structurelles de l’état et l’efficacité de l’action publique.

LA DÉCONCENTRATION STRUCTURELLE ET L’AUTONOMIE DE GESTION, EN TANT QUE AXES ET VOLETS DE LA DÉCENTRALISATION TERRITORIALE

LE VOLET DE LA DÉCONCENTRATION STRUCTURELLE

En partant de ce qui précède, concevons la déconcentration structurelle, au prorata de la décentralisation territoriale, comme un tout disséqué, compartimenté, sectionné, voyant les errances de la centralisation administrative et financière, tout aussi à l’origine de l’inefficacité, que d’un modèle de gouvernance, concentrant au sommet de la pyramide structurelle de l’état, les leviers d’action pérenne, à l’afflux de l’action publique, inclusive, au contrario, d’une approche paradoxale, mettant à rude épreuve, certaines réformes initiées, puis qu’on peut pas, souscrire à l’élaboration d’une stratégie locale de réduction de la pauvreté en prônant l’exclusion d’une approche locale, soit celle reposant sur l’interaction du schéma structurel de l’état, imaginant la prise des décisions, centrée au sommet de l’état, tandis que l’exécution ipso facto imposée à la base, alors que les informations, les objectifs de développement locaux, les agrégats et ressources mobilisables et disponibles, doivent, les nourrir à défaut d’un cadre de concertation, du moins la déconcentration des services, prévalant à leur application.

Ceci étant, l’administration territoriale, la dotation infrastructurelle et l’autonomie de la gestion financière des collectivités de base, s’avèrent être un nœud, une boucle à former, pour l’optimisation des politiques publiques, par extension, l’action publique, en même temps des objectifs devant présider la réforme territoriale. D’où, il ne peut y avoir de déconcentration structurelle, sans primo la dotation infrastructurelle, la réhabilitation de certaines infrastructures, ou tout au moins l’affectation de celles existantes à ces fins, par le biais de l’élaboration d’une base de données, regroupant toutes les statistiques publiques.

Pour ce faire, il importe de bien délimiter les domaines de compétence des services déconcentrés de l’exécutif, avec les collectivités de base et les municipalités, même si dans certains pays, appliquant un régime présidentiel, toutes les collectivités de base, relèvent des services déconcentrés de l’exécutif, du moment que le mélange des genres, en matière de développement, fait tellement tituber, les pays en mal véritable de leadership et de gouvernance, qu’on finit par se demander, quelle est la véritable orientation politique esquissée.

Ainsi, de l’échelon national de l’action publique, à savoir, la conception, l’élaboration et la définition des politiques publiques, à travers la coordination de l’action gouvernementale, y compris les départements de tutelle, aux régions et départements, j’en passe, une contrainte demeure récurrente, consistant à imaginer une plate forme de mise en application des politiques publiques, en tenant exclusivement compte, de la nécessité de restructurer l’état, en fonction des prérogatives conférées par l’orientation politique, autrement la typologie du régime politique. Raison pour laquelle, s’il revient au ministère de tutelle, de l’administration territoriale, de travailler à l’aménagement du territoire, veiller au contrôle de la régularité et la conformité, des actes posés par des collectivités, telles que les municipalités ou tout organismes territorialement au domaine de compétence, semi indépendant, puis que l’élection se faisant au suffrage universel, il est aussi d’un impératif absolu, que ces collectivités, s’astreignent à une conception de leur propre stratégie de développement, de sorte à créer une adéquation entre les ressources disponibles et les agrégats.

LA DOTATION INFRASTRUCTURELLE

Dans la perspective, d’une amplification des efforts consacrés à rendre dynamiques, innovants et très modulables, aux fluctuations conjoncturelles, aux conjectures nouvelles et l’anticipation des dérives, se dressant en forme d’obstacles, ainsi que de défis, dans l’atteinte des objectifs précités, ou tout au moins, ceux concourant à leur réalisation, notamment ceux découlant d’un amas d’adjonctions des efforts, eux-mêmes confortés, par l’émergence de postulats et assertions, dont la pertinence sied, à la circonvolution, au circuit, disons, la spire, des pré requis, préalables et somme de confluences théoriques et doctrinales, aussi disparates que concis, aux fins d’une évolution dans un cadre institutionnel, un créneau anticipateur, y compris, un leadership requis par l’idéal démocratique, il conviendrait de ressortir, la place revenant à la dotation infrastructurelle, dans la décentralisation territoriale, en tant qu’un volet non imputable, de la politique sectorielle, advenant à l’administration et l’aménagement territoriales efficaces, imaginés et entrevus, non plus à la lumière de la conception originelle qui en était faite, à savoir par exemple, les aversions théoriques de la collectivisation, héritées de la mise en œuvre des politiques marxistes et la planification autoritaire, puis qu’incluant autant que l’autonomie de gestion, des aspects concomitants, dans l’optique de l’atteinte des objectifs primo définis, pour en venir à une scrutation incessante des dérives subséquentes, à l’inadaptabilité, des réformes avec le cadre structurel et institutionnel, appelé à se muer au rythme de la réforme globale, de la politique de l’état,  lequel ne devant d’ailleurs, échapper sous aucun prétexte, à l’analyse des outils et instruments, sinon à exclure du sillon des politiques publiques, tout au plus à réajuster à la préservation de la cohérence nécessitée par l’action publique, dans sa globalité, transcendantale des élucubrations obsolètes et dérisoires.

En tout état de cause, de la dotation budgétaire sectorielle supposant d’entrée, un investissement massif de l’état, pour combler les attentes ou tout au plus, consolider la décentralisation territoriale, de sorte qu’elle soit à l’afflux de valeurs ajoutées, pouvant résulter du transfert de compétence, la déconcentration structurelle, ainsi que l’autonomie de gestion, en sachant que l’objectif à long terme, est de permettre aux collectivités de non seulement s’auto gérer, s’autofinancer, tout en acquérant leur autonomie de gestion effective, par le biais de la justesse de leur choix budgétaires, l’orientation de leurs dépenses, y compris éventuellement la mise en valeur des ressources de leur ressort géographique, tant que la segmentation de la fiscalité permet d’affecter les impôts et taxes locaux sur la base d’une redéfinition de la politique budgétaire, c’est à juste raison, qu’il importerait d’indexer les choix budgétaires de l’état, avec les objectifs assignés à l’équipe gouvernementale, du moment que la propension et la latitude, des partenaires au développement et institutions spécialisés en la matière, sont concédées aux pays respectifs, conformément aux ressources dont ils disposent, de pourvoir à la conception de leur stratégie de développement local, constatant l’échec des différentes approches expérimentées, y compris la majeur partie des programmes d’ajustement structurels et sectoriels, concoctés, imaginés, conceptualisés, théorisés à l’époque, sans qu’aucune précaution n’ait été envisagé, pour la transcription des schémas de développement délocalisés de leur contexte et les aspects spécifiques de leur invention, de sorte à amoindrir les frasques des désertions doctrinales, théoriques, voire dogmatiques, car, l’Afrique en singulier et les pays du tiers-monde en général, n’ont eus de cesse, de subir les inadéquations des programmes de développement, imaginées à leur insu de sorte, comme le pensait beaucoup d’analystes, à assurer primo la sécurisation  des structures de perception de la manne financière des pays, aux fins d’un remboursement des dettes contractées, mais non souscrire à la mise en place d’un cadre de gestion structurelle, institutionnelle, financière et économique, générateur des jalons à poser dans la logique d’un concept de développement suffisamment étoffé et à l’appoint aussi bien du désendettement efficace que la prospérité, le bien-être, y compris le développement, au point que de nos jours, le fameux programme de l’OMD, s’est fait une idylle exégète, de ce paramètre central, de la problématique du développement, pour esquisser une nouvelle approche théorique du développement, en y incluant les aspects jusque là, demeurés dans l’antichambre des concepts émis à propos.

De là à promouvoir simultanément, la dotation infrastructurelle des collectivités, en tant que substitut réel de la déconcentration structurelle, bien qu’ayant évidemment à l’idée, qu’elle consacre, la schématisation, et sou tend la règlementation, par extension institue les normes, ainsi que l’autonomie de gestion reposant sur l’exploration du champ composite de la fiscalité locale, qui viendrait à se distinguer du pôle de la fiscalité, autrement l’assiette fiscale des grandes entreprises et sociétés, partant du postulat selon lequel, le transfert des compétences est progressif, non brusque, toute démarche tendant à conforter, rythmer la dotation infrastructurelle, sur les autres volets de la réforme, laissent éclore, l’équation consistant à déduire, ausculter, les outils et instruments, à l’origine de la performance de l’action publique à l’échelle de chaque collectivité, par rapport à un domaine ou secteur spécifiques, à valoriser, valorisables, ses avancées, y compris, les insuffisances constatées lors des phases d’évaluation et de réévaluation du seuil d’applicabilité, et d’encrage des politiques publiques.

Par ailleurs, les axes d’intervention de l’état, étant définis en fonction du recadrage des prérogatives des services publics, lui même largement tributaire, de l’orientation politique, puis que définissant et érigeant l’état à travers, ses équilibres fondamentaux, au prorata, de la typologie du régime politique institué, et dont la conception, ainsi que l’acception varient au gré des terminologies et la nomenclature institutionnels, en plus d’un mélange assez récurrent des genres, à la faveur des changements majeurs, de la mise en application des politiques publiques, que d’aucuns récusent assez aisément, au profit de la lettre de politique générale, qui n’en est qu’une résultante, nous imposent d’adjoindre non plus exclusivement, les dépenses aux difficultés de gestion, mais bien plus, encore, à savoir, l’élaboration d’un budget reflétant le niveau de coordination de l’action publique, la capacité à mettre en place un mécanisme de contrôle de gestion requis, par l’esprit du modèle politique, économique et social, à bâtir, car la politique, nourrie des contingences sociales, des aspects culturels et civilisationnels, dans ce contexte d’approche, esquisse les grandes orientations, quand l’économique s’y rattache en résultante absolue de la théorie avenante, d’où, on aura énormément de mal à pouvoir concilier la planification autoritaire vigoureuse consciemment ou inconsciemment appliquée, avec le principe d’autorégulation du marché, à fortiori, quand la rigidité des institutions politiques, ne s’y substitue point. Néanmoins, il restera une théorie tout à fait, d’actualité, dans la reconversion des courants de pensée, des théories et écoles économiques, au regard des mutations politiques, elles-mêmes génératrices, de transformations qualitatives et quantitatives de grands ensembles d’architectures politiques et économiques, substrats à l’origine des grands bouleversements sociaux et économiques du siècle.

L’AUTONOMIE DE GESTION

S’il y’a un impératif qui sied au mieux, à la décentralisation territoriale, à la déconcentration structurelle, l’optimisation et la rationalisation de l’action publique, de surcroît, devant servir, de substrat, à la nouvelle conception que nous devons nous faire de l’état, de sorte à consolider ses bases, la rendre dynamique, tout en la réajustant, constamment à ses visées, c’est bien évidemment, autant, la dotation infrastructurelle, que l’autonomie de gestion financière, qui doivent accompagner, la réforme territoriale, en tant que principaux volets, de la réforme territoriale, volets sans lesquels, la décentralisation territoriale, s’étiole, s’érode et mène à des objectifs à forte concentration idéologique, doctrinale, théorique et rend ostensiblement opaque, compacte et asynchrone, la formulation conceptuelle de la transcription, ainsi que la transposition des politiques publiques, lesquelles, se transmettent relayées par les services déconcentrés, dont le seuil de réactivité face aux difficultés épisodiques garantissent non seulement l’efficacité de l’action publique, mais surtout la justesse des choix et la stratification des programmes d’actions prioritaires.

De là, à revoir, toute l’architecture de la gestion financière et économique de l’état, tant le circuit des dépenses, que celles des recettes, y compris les moduler et les indexer, sur et au profit d’une diversification des sources, s’énoncent dans la foulée, comme un pari à gagner, un défi à relever, un passage obligé, ainsi qu’une redimension, de la gestion des finances publiques.

Partant, d’une conception de la gestion relativement à ses instruments dont les rudiments, laissent clairement manifester la désuétude de ses approches, même thématiques, à celle typiquement vouée à corriger, ses imperfections, ses accointances académiques, et relever le niveau de ses appréhensions théoriques et doctrinales, on s’aperçoit qu’il devient d’un bond en avant, l’obligation de s’en saisir, en ayant à l’idée, que même la conjoncture économique issue de l’environnement international, doublée des nouvelles conjectures, qui tentent aussi vainement qu’avec un relatif succès, de mener un combat à haute échelle, contre une mauvaise utilisation des ressources publiques, les détournements, le gaspillage et la dilapidation des deniers publics, s’y adonnent, pour peu et mieux qu’ils deviennent un sacerdoce, en prévision à la rareté des ressources.

Autrement, l’autonomie de gestion, implique par delà, son aspect de dotation budgétaire conséquente des collectivités territoriales, par l’état, laquelle, n’a d’ailleurs, jamais été une quête effrénée, la capacité concédée à ces mêmes collectivités de s’initier à la gestion collective, en partant du postulat selon lequel, non seulement, l’ensemble des politiques sectorielles s’y assujettissent, en pensant aux programmes d’ajustements sectoriels, découlant de celui structurel, lui-même, attribut de la politique globale de l’état, mais aussi et surtout elle participe, à responsabiliser, développer une nouvelle grille de lecture, rationaliser et optimiser la gestion de la nation dans sa globalité, si et seulement si, les pays parvenaient à s’octroyer, les outils de gestion innovante, inspirés des contraintes spécifiques à chaque pays.

Quoi qu’il en soit, elle serait indéniablement inscrite, à la première loge de toutes les préoccupations, ne seraient-ce que celles, sommairement répandues, dans les différentes brèches ouvertes, pour canaliser d’une part, la problématique du développement et de l’autre, stimuler, pourquoi pas, catalyser des solutions imprescriptibles à long terme, à savoir que le terme imprescriptible, fait sien, dans ce contexte, des préalables, allant dans le sens des efforts, concourant à renforcer la régularité des dépenses, leur conformité, ainsi que leur sécurisation , simultanément aux recettes, lesquelles, gisent autant, sous l’abjecte abstraction faite des niches fiscales, que sans recours réels contre, les entraves, à la libre exploration de ses champs composites, puis que faisant de la fiscalité, une des perspectives majeures, autour desquelles l’avenir des nations, devrait s’accommoder et se bâtir.

En outre, l’autonomie de gestion, telle que nous pouvons chercher à la circonscrire, la conceptualiser et la remettre au goût du jour, des plus sceptiques et nostalgiques, de la centralisation administrative et la concentration structurelle, à l’opposée, de l’approche hybride, qui résulte, d’une combinaison des aspects positifs, avec ceux négatifs, hérités des différents régimes successifs, aux critères souvent divergents, contradictoires et même disjoints, et cela, pour autant que l’on sache, s’initier à la nouvelle donne politique et économique, érigeant les axes d’intervention de l’état, conformément au gouffre, ouvert par les distorsions et dysfonctionnements de ces mêmes régimes antérieurs, paraissent à l’aplomb de solutions, à envisager pour désamorcer les approches du leadership politique, celles demeurant encore sous l’emprise, de la pseudo conviction idéologique, y compris logées dans les entrailles d’une conception de la gouvernance, mêlant la culture de la souveraineté laquelle, s’acquiert au fil des avancées constatées, parce que porteuses, de valeurs ajoutées à tout point de vue et s’accompagne logiquement d’une marge de manœuvre, que seules, l’optimisation de la gestion économique, facteur de prospérité et d’accroissement de la capacité d’auto financement de l’état, peuvent procurer, avec  le nationalisme aveugle, la culture absolue de l’exclusivité, au lieue de pourvoir, disons, à l’éclosion d’une architecture ouverte, creuset des paramètres d’adaptation évolutive aux reflux théoriques et doctrinaux, venant incessamment renflouer nos visions de la gestion des finances publiques, de nouvelles perspectives, comparables à la modélisation en informatique tout au plus, en conciliant le leadership étroitement avec la capacité managériale de l’état, par extension sa capacité à pouvoir trouver un mode d’organisation, suffisamment innovant, pourfendeur de la structuration des outils de gestion, assujettis aux  procédés déjà existants et réductionnistes, de la politique économique, à une situation politique désuète, régressive, rétrograde,  doublée d’une typologie du régime politique non conforme, à une panoplie de mesures, à mettre en œuvre, de surcroît que j’imagine non à l’image, d’une perception appelée à s’adapter au contexte organisationnel nécessité à ces fins.

Par ailleurs, l’une des difficultés venant souvent obstruer, l’arborescence, le diagramme, le graphique, devant servir de socle, à une nouvelle plate forme de gestion à l’échelle territoriale, autrement comment pouvoir concéder l’autonomie de gestion et pourvoir à l’émergence, d’une chaîne de contrôle de la gestion des collectivités territoriales, s’adonnant au nouveau concept, et devant guider, la démarche méthodologique et d’approche, afin que nous parvenions, à définitivement enrayer la spirale des incohérences et disjonctions qui élaguent assez souvent les discours politiques, de leur transcription, ainsi que les créneaux d’anticipation des dérives, qu’ils sont censés explorer, de sorte à canaliser et inciter les réflexions à propos, à défaut d’en révéler les grandes orientations, qui les consacrent en tant que normes instituant, l’homologation des procédés techniques, de gestion administrative et économique.

Ceci dit, quoi qu’il paraisse d’une évidence absolue, une nécessité du moment et un impératif de premier ordre, de conférer une autre ossature technique et administrative, à l’état, dans la quête du renouveau, y compris le changement, la tangibilité, l’authenticité, le véridique et l’indubitable, guidant les perspectives d’avènement, d’une gestion souple, redimensionnée et réfléchie, de l’état,  nous font jaser, pour que du flux des investissements mobilisés à la faveur d’une normalisation du cadre institutionnel, ainsi que le retour à la légalité constitutionnelle, ne soient torpillés, sabordés, étouffés, escamotés, sapés et mis en sommeil, par un manque grave, désagréable, criard, et discordant de réflexion, au profit des actes tape-à-l’œil et rouspéteurs, qui nous feront au mieux projeter dans le futur, sans jamais songer, à nous prémunir contre la dépravation psychomoteur, l’éclatement de la bulle des projets et la désertion de la morale publique, pour des terrains d’exploration inaptes à fédérer les ardeurs, parce qu’on aura construit une architecture, qu’on peut qualifier, de château de cartes, autrement un géant aux pieds d’argile.

N’est-ce pas, que toutes les revendications et protestations politiques, antérieurement mises sur sellettes, pour fustiger les gestions antérieures du patrimoine collectif, se sont soldées soit, par un regain d’intérêt pour ces mêmes modèles, mis en cause, soit se sont encastrées, emboîtées et insérées, alors même que d’une conception interdisciplinaire, à celle englobant et intégrant la flottille de mesures circonscrites, pour booster hors de son état de stagnation, le pays, nous somment à un changement d’envergure, non colmater les brèches.

De la dérégulation systémique, à la mutation théorico-doctrinale -

Toutes les approches, ainsi explorées, déclinées et instituées comme substrat des politiques publiques, dans la régulation de l’action publique, nous permettent d’envisager une étude synthétique, caractéristique, analytique et conceptuelle, de ces concepts précités, dans leur propension quasi réelle, à forger un créneau anticipateur de la dérégulation systémique, et systématique, des politiques publiques, dans l’objectif bien évidemment de la régulation de l’action publique, en ses paramètres principaux, ses outils et instruments.

Ceci étant, la régulation de l’action publique, sur la base des directives émanant des politiques publiques, se ramenant au seuil d’imbrication supposé ressortir, l’impact des politiques publiques, sur le processus de développement économique, amorcé aux fins d’une optimisation et stratification de la gestion aussi sectorielle qu’intersectorielle de l’état, paraissent on ne peut plus, à la confluence des procédés sans lesquels, parvenir au seuil optimal d’harmonisation et de coordination des politiques publiques, s’avère hypothétique, de surcroît au lieu de contribuer à l’émergence d’une plate forme de politiques publiques, subséquentes à l’exploration faite des dérives antérieures, les abstractions théoriques, doctrinales, les avancées et régressions observées à l’échelle des valeurs, concourant à illustrer les vertus censées stimuler un mouvement d’ensemble de leviers et instruments,  elle peut se révéler, comme une sérieuse entrave à la circonvolution des axes prioritaires d’intervention de l’état, puis que, la rareté, disons l’exiguïté des ressources disponibles, la faible capacité  de mobilisation de ses ressources, doublées des difficultés récurrentes à résoudre, soit au rythme des ajustements et réajustements, en d’autres termes, l’inventaire, l’appréciation, l’approximation du niveau de mise en application des politiques publiques et leur alignement, nous plongent dans une spirale inachevée, de cooptation de la culture politique, de l’administration publique en ses présupposés refluant, de la typologie du régime politique, qui la fonde, tout en l’érigeant en substrat consécutif à l’extension de la gestion des ressources publiques.

En conséquence,  il ne saurait être question d’une quelconque démarche méthodologique, faisant abstraction, de la nécessité indissoluble de rallier, uniformiser ainsi qu’harmoniser, les programmes de développement successifs avec la nouvelle donne politique esquissée, car de la corrélation qui résulte de l’adéquation des politiques publiques avec les axes d’intervention de l’action publique, on ne peut pas s’astreindre aux aléas mettant à rude un modèle, tout en se voulant à l’orée des perspectives innovantes.

Inconvénients et avantages de la typologie des régimes politiques, comme corollaire de la décentralisation territoriale, ainsi que la déconcentration structurelle :

De la typologie des régimes politiques, il nous est de toute évidence, imposé d’en élucider, les principes fondamentaux, les théories et doctrines, afin de conforter l’échelon, voir le standing et le niveau de corrélation avec les outils et instruments de l’action publique.

Ainsi, sans jamais vouloir, nous replonger dans les querelles théoriques, doctrinales et dogmatiques, il convient d’admettre et entrevoir en la typologie des régimes politiques, la transcription ipso facto, de l’approche globale faite d’un régime politique, tant dans ses visées scientifiques, que les élucubrations qui l’enclenchent, y compris, les objectifs qu’elle tente de subjuguer relativement à ses préconisations, les procédés et démarches méthodologiques, qui la font émerger en contrepoids, en compensation, en équilibre, en correctif ou neutralisant,  l’ordre désuet, tout au moins, celui qu’elle entend remettre en cause.

De là, à laisser comprendre, que les facteurs de la dérégulation systémique, à l’origine des crises récurrentes, de l’action publique, se trouvent être aussi factuelles, qu’enclaver au creux de la désertion théorique, doctrinale, des instruments et outils de l’action publique, lesquels instruments et outils, sont gavés, imprégnés, engraissés et appâtés, des aspects qui vont du cadre juridique, règlementaire, à la planification d’ensemble de l’économie, où encore la décentralisation territoriale, la spécification des prérogatives et attributions relatives à chaque domaine de compétence, les axes d’intervention étatique pour accompagner les mutations adjugées obligatoires, pour une transition maîtrisée, ne seraient plus que le vaste champ thématique et d’exploration, convenant on ne dira jamais mieux, à l’élucidation de la mutation engendrée, constatée et guidant l’esprit et la philosophie des actes qui font de la mutation un aspect irréductible de la transformation de la superstructure politique, laquelle entraîne logiquement l’affectation appropriée et seyante des moyens d’action, y compris les infrastructures.

LA TYPOLOGIE DES RÉGIMES POLITIQUES

INCONVÉNIENTS ET AVANTAGES

En tout état de cause, il ne saurait s’agir, d’une quelconque approche qui ne se donne pour vocation de jauger, évaluer, apprécier, juger et contenir, la propension quasi idéale, que la typologie d’un régime politique peut et doit refluer, sur la conception de la culture politique avenante, la théorie économique sur laquelle, elle repose jadis, ainsi que le champ composite de la réactivité sociale pérenne, dont elle dote les institutions sociales en vue de l’éclosion des grands équilibres conformes à l’idéologie qui la fonde et l’institue, en rempart absolu, soit contre une situation de régression, soit par le biais d’une interaction des facteurs endogènes et exogènes d’une situation donnée, soit grâce à la combinaison de facteurs émanant d’une situation de conjoncture, nécessitant le recours à une extension des procédés, à une remise en cause des modèle existant ou un bond en avant, favorisé par l’évolution sociétale.

APPROCHE SYNTHETIQUE DE LA REGULATION

à suivre