"je vais te tuer l'an prochain, sois prêt"
On fait quoi à partir de maintenant? On attend la mort? On attend l'agression qui compromettra la carrière à jamais?
"Do it to the other guy first, 'cause if you don't, he'll do it to you" fait dire Woody Allen à son personnage de Tina Vitale dans Broadway Danny Rose, Tina, personnage expliquant sa philosophie de vie de veuve de mafieux.
Est-ce que Dale Weise et Alexei Emelin des Canadiens devraient attendre pour voir à quelle heure arrive "l'an prochain"? Si j'étais eux, je réagirais ne premier. Je n'attendrais pas la mort.
Toutefois, nous étions en hiver et je ne travaillais pas encore de nuit, j'ai découvert au petit matin, après une neige tombée dans la nuit, des traces de pas de la rue menant à ma porte. C'était à peu près 10 jours après la missive juvénile. Je me suis posé quelques questions...Jusqu'à ce que je découvre un pamphlet au bas des marches pour offrir ses services comme déneigeur. L'homme/la femme effectuait sa propre publicité en livraison dans les boîte à malle, de nuit. Mais avant de découvrir le pamphlet tout seul dans ma boîte aux lettres, le hamster courait. J'ai regardé au-dessus de mon épaule pendant au moins une heure. Les yeux toujours dans le rétroviseur.
On sait tous ce que voulait dire le "très" petit joueurs des Bruins. Mais il a utiliser le verbe tuer. On sait que ce club peut s'essayer à le faire. Ils l'on prouvé maintes fois. Ce sont des perdants maintenant chevronnés.
Mais la Ligue fera-t-elle quelque chose?
Faire le signe avec sa main voulant dire "je vais te couper la gorge" vaut une amende automatique et une possible suspension si les gestes suivent la menace. La menace est bien réelle. Le gros pas beau l'a rendue claire et l'a placé sommairement dans le temps. Au minimum à 8 dates précises entre septembre 2014 et avril 2015. Jours des morts potentiels des # 22 et #74 des canadiens. Le premier, coupable d'avoir répondu coup pour coup à l'adversaire qui narguait. Le second, pour faire tout simplement son travail efficacement et PIRE, proprement. En jouant au hockey.
Si j'étais préfêt de discipline, le minus des Bruins écoperait d'un minimum de 20 matchs pour l'an prochain. Le camps d'entraînement + 20 matchs. Tu veux tuer? L'automne est la saison de la chasse, va tuer du gibier. Mais au hockey, on compte des buts, on ne compte pas les morts.
Il y a un trait de caractère commun chez les fans des Bruins de Boston francophones du Québec. Ils sont moins fans des Bruins qu'ils sont "haters" des Canadiens. De l'amour, parfois aveugle, envers le club. De la surexposition du club dans les médias. Ce sont des ABC comme dirait mon fils. Anything But Canadiens.
Et parmi eux se trouvent des gens qui, sincèrement, ce sont intéressés au club, JUSTEMENT, parce que sont des rats. De vils personnages, affreusement laids. Qui traversent la ligue en effrontés en promettant en tout temps et de toutes les manières possible de vous intimider.
Un exemple ignoble pour notre jeunesse. Son contraire en fait..
Et ne pas contaminer ceux qui sont meilleurs.
De plus en plus nombreux avec leurs comportements de perdants, malgré leur premier rang.
Alors pas besoin de l'intimidation au degré zéro.
Couché, Milan.
Et prends tes pilules contre la rage.
Enfin, sois un Homme, pas un gamin.