La dernière fois, je vous avais parlé de ma maison en bois et de mon parquet en bambou. Aujourd’hui, je vais vous parler de ma seconde maison décorer, acheter pour la location saisonnière. Devant le vif succès de mon parquet auprès de mes voisins, j’ai naturellement propos mon mari d’en poser dans l’autre maison. Mais, ma grande surprise, il na pas saut de joie, a a d le fatiguer apparemment !!! Il ma donc demandé de trouver une autre ide, plus rapide et moins coûteuse !
Des recherches fructueuses
Après avoir fait mon tour de marché, j’ai découvert l’existence de revêtements non seulement naturels mais aussi super sympas et je suis maintenant à même de choisir ce qui me convient : coco, jonc de mer, jute, sisal… Ce n’est qu’une question de goût !
Première remarque importante : toutes ces matières proviennent de plantes, donc aussitôt cueillies, elles repoussent. Pas de déforestation, pas d’appauvrissement des sols. Ouf !
Çà me plat : c’est facile trouver
Second point non négligeable : ces revêtements sont tous trouvables dans toutes les enseignes de bricolage, sensiblement au même prix, vendus comme de la moquette à la longueur souhaitée (seule la largeur est fixe : 4m). Donc pas besoin de chercher LA boutique, je vais où je veux. La pose en est aussi simplifiée (j’en connais un qui va être content
Çà me plat : c’est facile entretenir
Ok, mais quand on a à la maison « le kit du parfait petit souillon », à savoir, des enfants et un chien à poils longs, on fait comment pour les tâches ? Pas de souci : on intervient avant qu’elle nesèche. On imbibe un chiffon propre, sec et blanc (très important) de produit nettoyant, on le passe sur la tâche de l’intérieur vers l’extérieur, sans frotter surtout ! Ensuite on sèche au sèche cheveux, mais cette fois-ci de l’extérieur vers l’intérieur pour éviter les auréoles. Vous voyez, c’est simple.
Ça me plat parce que c’est malin
Après, ce n’est qu’une histoire de choix : je mets quoi o ?
Le jute est une fibre souple et brillante : son séchage au soleil lui donne une variété de teintes naturelles. Moins résistant que le sisal, je le mettrai certainement dans les chambres.
Le coco, ah, le coco ! Un matériau plutôt rustique mais qui a un charme indéniable avec son petit côté « ébouriffé ». Bon, il gratte un peu les plantes de pieds, mais sans être désagréable, alors je lui pardonne. Son avantage, c’est son prix : c’est le moins cher des revêtements végétaux, donc je vais pouvoir me permettre un renouvellement fréquent, chouette !
En plus je peux le mettre dans toutes les pièces sans modération, sauf les pièces d’eau car il la boit !
Petit conseil : comme le jonc de mer est une plante aquatique, si la pièce est mal ventilée, il est possible qu’une fine couche de moisissure se forme. Une simple aération suivie d’un passage d’aspirateur suffira alors à lui redonner son éclat.
Insolite
Un dernier revêtement un peu original, trouvé sur internet : le liège. Peu répandu en France, il est très utilisé en Belgique. Pour ceux qui ont la chance d’habiter par là-bas, il vaut le coup d’œil.
Ses avantages : il garde la chaleur ambiante, il absorbe le bruit, il est anti-statique, anti-poussière, difficilement inflammable. Très souple, il est idéal pour les pièces où l’on doit rester longtemps debout (la cuisine par exemple).
Mon petit truc à moi pour ne pas passer des heures dans les rayons à comparer : plus le tissage est plat et plus le revêtement résiste à l’usure, plus la fibre est chinée et moins les tâches se remarqueront !
Que la fibre soit avec vous !