En outre, l’autonomie de gestion, telle que nous pouvons chercher à la circonscrire, la conceptualiser et la remettre au goût du jour, des plus sceptiques et nostalgiques, de la centralisation administrative et la concentration structurelle, à l’opposé de l’approche hybride, qui résulte, d’une combinaison des aspects positifs, avec ceux négatifs, hérités des différents régimes successifs, aux critères souvent divergents, contradictoires et même disjoints, et cela, pour autant que l’on sache, s’initier à la nouvelle donne politique et économique, érigeant les axes d’intervention de l’état, conformément au gouffre, ouvert par les distorsions et dysfonctionnements de ces mêmes régimes antérieurs, paraît à l’aplomb de solutions, à envisager pour désamorcer les approches du leadership politique, celles demeurant encore sous l’emprise, de la pseudo conviction idéologique, y compris logées dans les entrailles d’une conception de la gouvernance, mêlant la culture de la souveraineté laquelle, s’acquiert au fil des avancées constatées, parce que porteuses, de valeurs ajoutées à tout point de vue et s’accompagne logiquement d’une marge de manœuvre, que seules, l’optimisation de la gestion économique, facteur de prospérité et d’accroissement de la capacité d’auto financement de l’état, peuvent procurer, avec le nationalisme aveugle, la culture absolue de l’exclusivité, au lieue de pourvoir, disons, à l’éclosion d’une architecture ouverte, creuset des paramètres d’adaptation évolutive aux reflux théoriques et doctrinaux, venant incessamment renflouer nos visions de la gestion des finances publiques, de nouvelles perspectives, comparable à la modélisation en informatique tout au plus, en conciliant le leadership étroitement avec la capacité managériale de l’état, par extension sa capacité à pouvoir trouver un mode d’organisation, suffisamment innovant, pourfendeur de la structuration des outils de gestion, assujettis aux procédés déjà existants et réductionnistes, de la politique économique, à une situation politique désuète, régressive, rétrograde, doublée d’une typologie du régime politique non conforme, à une panoplie de mesures, à mettre en œuvre, de surcroît que j’imagine non à l’image, d’une perception appelée à s’adapter au contexte organisationnel nécessité à ces fins.
Par ailleurs, l’une des difficultés venant souvent obstruer, l’arborescence, le diagramme, le graphique, devant servir de socle, à une nouvelle plate forme de gestion à l’échelle territoriale, autrement comment pouvoir concéder l’autonomie de gestion et pourvoir à l’émergence, d’une chaîne de contrôle de la gestion des collectivités territoriales, s’adonnant au nouveau concept, et devant guider, la démarche méthodologique et d’approche, afin que nous parvenions, à définitivement enrayer la spirale des incohérences et disjonctions qui élaguent assez souvent les discours politiques, de leur transcription, ainsi que les créneaux d’anticipation des dérives, qu’ils sont censés explorer, de sorte à canaliser et inciter les réflexions à propos, à défaut d’en révéler les grandes orientations, qui les consacrent en tant que normes instituant, l’homologation des procédés techniques, de gestion administrative et économique.
Ceci dit, quoi qu’il paraisse d’une évidence absolue, une nécessité du moment et un impératif de premier ordre, de conférer une autre ossature technique et administrative, à l’état, dans la quête du renouveau, y compris le changement, la tangibilité, l’authenticité, le véridique et l’indubitable, guidant les perspectives d’avènement, d’une gestion souple, redimensionnée et réfléchie, de l’état, nous font jaser, pour que du flux des investissements mobilisés à la faveur d’une normalisation du cadre institutionnel, ainsi que le retour à la légalité constitutionnelle, ne soit torpillé, sabordé, étouffé, escamoté, sapé et mettre en sommeil, par un manque grave désagréable, criard, et discordant de réflexion, au profit des actes tape-à-l’œil et rouspéteurs, qui nous feront au mieux projeter dans le futur, sans jamais songer, à nous prémunir contre la dépravation psychomoteur, l’éclatement de la bulle des projets et la désertion de la morale publique, pour des terrains d’exploration inaptes à fédérer les ardeurs, parce qu’on aura construit une architecture, qu’on peut qualifier, de château de cartes, autrement un géant aux pieds d’argile.
N’est-ce pas, que toutes les revendications et protestations politiques, antérieurement mises sur sellettes, pour fustiger les gestions antérieures du patrimoine collectif, se sont soldées soit, par un regain d’intérêt pour ces mêmes modèles, mis en cause, soit se sont encastrées, emboitées et insérées, alors même que d’une conception interdisciplinaire, à celle englobant et intégrant la flottille de mesures circonscrites, pour booster hors de son état de stagnation le pays, nous somment à un changement d’envergure, non colmater les brèches.
De la dérégulation systémique, à la mutation théorico-doctrinale -
Inconvénients et avantages de la typologie des régimes politiques, comme corollaire de la décentralisation territoriale, ainsi que la déconcentration structurelle :
à suivre…..