Quatrième de couverture :Dans ce livre, Martin Page répond aux interrogations d’une jeune écrivaine. Elle s'appelle Daria, elle veut écrire un roman. Au fil de leurs échanges, par lettres et emails, il lui donne des conseils d’écriture, mais surtout il esquisse des moyens de se débrouiller avec le monde, avec le milieu littéraire, avec ses propres névroses et fragilités. C’est d’abord un livre sur la réalité des écrivains d’aujourd’hui : l’envoi d’un manuscrit, les rapports avec les éditeurs, et avec les autres auteurs, l’argent, la maladie, l’emploi du temps, les ateliers d’écriture… Il s’agit de concilier l’exigence d’une pratique artistique et la vie quotidienne. Les deux correspondants discuteront aussi sexualité, politique, morale, féminisme, numérique. Au fil de ce dialogue, Martin Page dessine une sorte d’autoportrait. Entre dépression et exaltation, il nous parle de l’art sauvage de l’écriture, un art encore jeune, riche de possibilités. Sans escamoter la dureté sociale ni la réalité des coups et des blessures, il défend l’imagination comme forme de résistance. Pour lui, la littérature est un sport de combat autant qu'un des grands plaisirs de l'existence.
Magazine Culture
Auteur: Martin Page
Titre Original: Manuel d’écriture et de survie
Date de Parution : 2 mai 2014
Éditeur : Seuil
Prix : 14,00€ 13,30€
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Manuel d'écriture et de survie
Quatrième de couverture :Dans ce livre, Martin Page répond aux interrogations d’une jeune écrivaine. Elle s'appelle Daria, elle veut écrire un roman. Au fil de leurs échanges, par lettres et emails, il lui donne des conseils d’écriture, mais surtout il esquisse des moyens de se débrouiller avec le monde, avec le milieu littéraire, avec ses propres névroses et fragilités. C’est d’abord un livre sur la réalité des écrivains d’aujourd’hui : l’envoi d’un manuscrit, les rapports avec les éditeurs, et avec les autres auteurs, l’argent, la maladie, l’emploi du temps, les ateliers d’écriture… Il s’agit de concilier l’exigence d’une pratique artistique et la vie quotidienne. Les deux correspondants discuteront aussi sexualité, politique, morale, féminisme, numérique. Au fil de ce dialogue, Martin Page dessine une sorte d’autoportrait. Entre dépression et exaltation, il nous parle de l’art sauvage de l’écriture, un art encore jeune, riche de possibilités. Sans escamoter la dureté sociale ni la réalité des coups et des blessures, il défend l’imagination comme forme de résistance. Pour lui, la littérature est un sport de combat autant qu'un des grands plaisirs de l'existence.
Quatrième de couverture :Dans ce livre, Martin Page répond aux interrogations d’une jeune écrivaine. Elle s'appelle Daria, elle veut écrire un roman. Au fil de leurs échanges, par lettres et emails, il lui donne des conseils d’écriture, mais surtout il esquisse des moyens de se débrouiller avec le monde, avec le milieu littéraire, avec ses propres névroses et fragilités. C’est d’abord un livre sur la réalité des écrivains d’aujourd’hui : l’envoi d’un manuscrit, les rapports avec les éditeurs, et avec les autres auteurs, l’argent, la maladie, l’emploi du temps, les ateliers d’écriture… Il s’agit de concilier l’exigence d’une pratique artistique et la vie quotidienne. Les deux correspondants discuteront aussi sexualité, politique, morale, féminisme, numérique. Au fil de ce dialogue, Martin Page dessine une sorte d’autoportrait. Entre dépression et exaltation, il nous parle de l’art sauvage de l’écriture, un art encore jeune, riche de possibilités. Sans escamoter la dureté sociale ni la réalité des coups et des blessures, il défend l’imagination comme forme de résistance. Pour lui, la littérature est un sport de combat autant qu'un des grands plaisirs de l'existence.