Voilà une bonne nouvelle pour nos libertés fondamentales.Tous les idiots qui étalent leur vie privée sur internet et qui le moment venu de la sagesse, l’avancement en âge ou leur situation personnelle ou professionnelle aidant, le regrettent, pourront dorénavant prétendre au droit à l’oubli, simplement en saisissant le moteur de recherche incriminé :
"les moteurs de recherche sont responsables du traitement des données personnelles qui apparaissent sur leurs pages et ont le devoir, dans certains cas, de les supprimer, à la demande des particuliers."
Google nous prend vraiment pour des cons : il crie à la censure, face à la récente décision de la Cour de Justice européenne qui a débouté le moteur de recherche dans une affaire de droit à l’oubli numérique, à laquelle nous devons cette avancée démocratique… Peut être que pour vous, ça ne veut pas dire grand chose, mais pour moi, ça veut dire beaucoup : une avancée démocratique, assurément.