Peintre figuratif, je crée plusieurs styles successifs : « l’angulaire furtif », « l’ondulation libre », puis « La courbe pour le courbe » dont l’aboutissement est le « tafanarisme » (art fessier) du provençal « tafanari » .
Ces recherches s’inscrivent dans le concept général élaboré dès le départ « d’hyper-folklorisme » dont l’objet est de transcender les clichés sur les représentations culturelles.