CURCUMINE et CANCER
PROFESSEUR DAVID SERVAN-SCHREIBER
David Servan-Schreiber dont les propos confortent de nombreuses personnes vers une auto-médication des syndromes inflammatoires chroniques par la curcumine du curcuma.
Comme souvent mon intuition se révèle juste,pour preuve mon dernier bilan sanguin avec les marqueurs inflammatoires revus à la baisse au bout d’un mois seulement de traitement !
Les curcuminoïdes provenant du curcuma dont la curcumine est la plus présente, est l’anti-inflammatoire le plus puissant que l’on connaisse à l’état naturel, sans aucun effet secondaire, qui ne provoquera aucune brûlure d’estomac.
Le CURCUMA : la poudre jaune
Il est la base du CURRY qu’on mange tous les jours en INDE. Il donne sa couleur à la moutarde et teinte nombre de vêtements.
C’est un anti-inflammatoire puissant qui permet de limiter les problèmes d’arthrite mais aussi de développement du cancer, de la maladie d’Alzheimer et aussi du développement des maladies cardio-vasculaires. »
Le CURCUMA est bénéfique pour les personnes qui ont des séquelles du SYNDROME d’APNÉE du SOMMEIL, MALADIE DE HORTON, NODULES (tumeurs bénignes ou malignes), etc…
La Curcumine du CURCUMA et le poivre noir contre les cellules souches du cancer
Après des études de médecine et de psychiatrie, David Servan-Schreiber (www.guerir.fr) s’est tourné vers la recherche fondamentale en neurosciences cognitives. Il est ensuite revenu à la pratique clinique tout en poursuivant ses travaux sur la neurobiologie des émotions. Il a créé et dirigé un centre de médecine intégrée à l’université de PITTSBURGH où il enseigne en qualité de professeur clinique de psychiatrie. Il est l’auteur de GUÉRIR et de ANTICANCER parus aux Editions Robert Laffont et vendus en France à plus de un million six cent mille exemplaires.
Le professeur DAVID SERVAN-SCHREIBER SAIT donc de quoi il parle, ayant fait l’EXPÉRIENCE d’une TUMEUR au CERVEAU ayant mis en garde disant : « le CANCER se nourrit avant tout de SUCRE… » et utilisé pour lui même des protocoles à base de curcuma et concentrés en curcuminoïdes.
Le curcuma fait en effet désormais partie des aliments considérés comme protecteurs contre le cancer. David Servan Schreiber en parle dans son livre et le professeur Béliveau lui dédie un chapitre dans son ouvrage « Les aliments contre le cancer » (écrit avec le Dr Gingras).
Les vertus du curcuma ne s’arrêtent pas là ! Ce rhizome semble en effet être l’épice idéale pour combattre la plupart des pathologies liées à notre mode de vie actuel. Problèmes cardiovasculaires, inflammations, troubles d’ordre digestif, stress, manque d’antioxydants… ne sont qu’une partie des problématiques sur lesquelles le curcuma, à l’aide des curcumines qu’il contient, peut avoir une action édifiante.
Un grand nombre d’études nous parviennent du monde entier, plusieurs milliers, qui nous suggèrent que cette épice orangée devrait être consommée sans hésitation. Les Indiens montrent d’ailleurs l’exemple depuis des millénaires. Ils l’utilisent pratiquement tous les jours, car le curcuma rentre systématiquement dans la composition des différents curries que l’on déguste sur le subcontinent indien.
Pendant très longtemps les scientifiques se sont moqués de ces « remèdes de bonnes femmes », qu’ils estimaient être liés à des croyances sans fondements. Aujourd’hui, preuves scientifiques à l’appui (des milliers d’études ont été dédiées au curcuma), ils constatent qu’une grande partie de ces épices et ces herbes employées depuis la nuits des temps n’ont pas été intégrées dans les préparations culinaires par hasard, mais dans un but de bien-être précis : notre bien-être.
La santé étant un bien précieux, le curcuma est à accueillir comme un des dons que la nature nous a mis à disposition pour la sauvegarder !
L’association à retenir : curcumines et pipérine
Des études en laboratoire ont cependant montré que la curcumine ingérée n’est pas complètement absorbée par l’organisme humain qui tend à en éliminer une partie. On dit que la curcumine possède une faible biodisponibilité. Lorsqu’elle est prise seule, seulement 5 à 60% de curcumine est absorbée par voie intestinale. Mais la nature fournit là encore une solution remarquable…
Pour en augmenter la biodisponibilité, la curcumine doit être associée à une petite quantité de poivre noir (qui contient une substance, la pipérine). L’association avec le poivre permet d’augmenter de façon considérable l’absorption des curcuminoïdes par notre corps pour son profit!
On constate que la sagesse populaire indienne avait devancé la recherche scientifique il y a bien des siècles, en les associant dans la composition du curry, et donc du poivre (pipérine).
En effet la pipérine permet à notre organisme d’augmenter jusqu’à plus de 1000 fois l’absorption de la curcumine. De quoi ne pas nous laisser indifférents d’autant que 1% seulement de poivre noir par rapport à la quantité du curcuma suffit pour que l’alchimie se réalise.
De plus la curcumine étant soluble dans les corps gras, les études ont montré qu’elle est mieux absorbée au niveau intestinal lorsqu’elle est associée à un corps gras.
L’eau pour peu qu’elle soit distillée, et donc morte, sans vie biologique, masque l’information transmise au cerveau lors de l’absorption annulant son effet. Préférez donc une dilution glycérinée.