De la coordination de l’action gouvernementale à l’impulsion d’une orientation politique, ainsi que le pilotage des grands chantiers des réformes, nécessités par le souci, de l’harmonisation et la régulation des politiques publiques, il est impératif , de situer, la corrélation devant résulter, de l’imbrication de l’action publique, avec les axes d’intervention qui la transcrivent, en tant que l’ensemble des processus, des procédés et procédures, jouxtant, l’efficacité à la coordination effective, des mesures faisant l’objet de recadrage, y compris de réajustement, des politiques publiques, lesquelles politiques, jusqu’alors, imaginées à contrario, du type de régimes politiques, puisque des distorsions et dysfonctionnements, constatés à l’échelle structurelle à l’apparition des contraintes méthodologiques, doctrinales, y compris, théoriques, qui mettent à rude épreuve, les perspectives de modulation de l’action publique, initialement, calquées sur des normes qui vont tantôt de la ségmentation sectorielle, des axes d’interventon à la décentralisation territorielle et la déconcentration structirelle, on finit par se persuader, qu’au delà, de l’incidence et l’impact, des mesures de réajustement sectoriel et structurel, souhaitées coercitives, la question d’adéquation des présupposés d’un régime politique, avec la stratégie économique, devant en soutendre, l’idylle exégète, s’est assez souvent posée de façon récurrente, comme un énigme à résoudre, quoi que, la rigidité de certains régimes, n’a guère permis d’y prendre garde et que les mesures de réajustement s’y soient obstruées, au point qu’on en était arrivé, à un point de confluence, y compris, d’uniformisation de la politique économique avec les impératifs politiques. Ceci état, il serait d’une lucidité accrue et suffisamment étoffée, de concevoir, la décentralisation, ainsi que la déconcentration structurelle, désormais, non plus, au regard des substrats qui les ont institués et sacralisés, comme objection contre la centralisation des procédures de gestion admimnistrative puisque trop restrictives, élaguées du principe de proximité, tributaires des entraves à l’autodéveloppent local, enclaves de la lenteur, y compris la lourdeur administratives, précipices à la configuration du schéma de stratégie de réduction de la pauvreté, par le biais de l’implication et la mobilisation des ressources réellement disponibles, à l’échelle locale, sans omission faite, de la spécificité de la majeur partie, des pays largement inspirés, englués, et partagés, entre se subjuguer aux vertus de l’économie de marché, très en verve, intégratrices, ainsi qu’à l’afflux des préceptes du nouvel ordre économique international de par son unipolarisation du marché des échanges, toute fois, une bonne partie pplde ces pays, ont connus, une transition inopérante de la doctrine marxiste de la politique et de l’économie, vers le pluralisme politique, y compris, l’économie de marché à des proportions et seuils différents, et les substrats d’un conservatisme abrupt des attributs politiques et diplomatiques de la souvéraineté, que ces pays, appréhendent, avec la conviction ferme et ultime, mais quelque fois dérisoires d’allier les champs composites de l’indépendance aux contraintes idéologiques.