Après la bourrache voilà l'asperge sauvage une nouvelle venue dans cette série Ça se bouffe mais seulement en images… consacrée à mes petites rencontres dans le domaine de ce qui se bouffe, illustrée juste par une image, pour vous permettre, à vous aussi, de voir vraiment de quoi il s'agit !Quand j'attrape un bouquet de ces jolies petites choses je me pose toujours deux questions presque existentielles avant de les passer à la casserole…L'asperge sauvage est-elle vraiment sauvage ? Et je parle là de celles qu'on achète sur les étals, pas celles que l'on la chance de trouver parfois du côté du sud du sud dans les garrigues parfumées… Et puis d'abord c'est vraiment une asperge ? Des fois je me demande si je ne me pose pas trop de questions…Quoi qu'il en soit mes chers vendeurs à part me regarder d'un drôle d'air, un peu avec dans les yeux un j'vous jure si on pouvait l'attacher sur un iceberg et te le mettre à dériver celui-là ça nous f'rait quand même des vacances ! à part ça je n'ai donc pas vraiment de réponse.Tant pis que je me dis alors parce que j'aime le goût délicat de ces asperges sauvages et qu'elles prennent souvent une jolie place dans mes salades composées.Enfin voilà donc ces asperges sauvages, qui me posent quelques questions et me donnent aussi bien du plaisir dans l'assiette en image et si vous la rencontrez n'hésitez pas à la découvrir ! Et surtout surtout n'oubliez pas que l'asperge qu'elle soit sauvage ou pas d'ailleurs, n'aime pas les longues cuissons, deux ou trois minutes à peine pour ces sauvages-là, et qu'elle n'est jamais, en tout cas à mon goût, meilleure qu'encore croquante.
Mais pourquoi, bon et maintenant si je leur demandais si la roquette s'envoie vraiment en l'air… ou peut-être pas d'ailleurs… est-ce que je vous raconte ça…