Du 17 au 24 avril se sont tenus, à Lyon, les FEI World CUP Finals. Nous avons pu assister à cet événement majeur du monde hippique et découvrir un univers particulier et passionnant.
La point d’orgue de ces finals étaient bien évidemment les Finales du Jumping et du Dressage.
Nous avons commencé par le FEI REEM ACCRA WORLD CUP™ DRESSAGE FINAL.
Quel discipline fascinante ! Grâce à la création de la Coupe du Monde, le dressage a pu s’exprimer sur un modèle accessible au grand public, la reprise libre en musique (Grand Prix Freestyle) : moments d’émotions que de voir piaffer, passager, pirouetter ou changer de pied au galop ces athlètes en harmonie sur des compositions musicales spécialement adaptées à leur cadence. L’incroyable maitrise des montures par les cavaliers impose le respect, la concentration est le maître mot. Et c’est dans des arènes pleines mais au public silencieux et tendu que les candidats aux titres entament des véritables chorégraphie équestres. Le spectacle est de toute beauté, la précision des gestes, la grâce des couples, tout est là pour susciter l’émotion. La gagnante Charlotte Dujardin a ravi le public avec une prestation exceptionnelle de beauté.
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Finale du LONGINES FEI WORLD CUP JUMPING FINAL
La Coupe du monde représente sans doute le plus beau titre à remporter car il s’inscrit dans la durée d’une saison entière. Se qualifier pour la finale de Lyon est pour les cavaliers, le fruit d’un long parcours qui a commencé il y a quelques semaines en Norvège et qui, au fil de onze étapes pour l’Europe et dans les autres ligues à travers la planète, ne gardera que les plus performants, les plus réguliers.
Nous découvrions pour la première fois ce typé d’épreuves et ce qui nous marque avant tout c’est l’engagement, la concentration des cavaliers mais aussi et surtout le spectacle. Tout est possible, le suspens est là jusqu’au dernier instant. Il suffit d’une barre qui tombe et c’est la dégringolade dans le classement.
Ils étaient 40 à s’élancer dans l’arène du parc d’exposition de Lyon. Après de longues minutes de stress et de rebondissement c’est l’incroyable Daniel Deusser qui reporta le titre.
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Dans ce cadre nous avons interviewé Walter Von Kaenel, président de Longines.
- PI : Comment est né l’engagement de Longines pour les sports équestres ?
- WVK : La compagnie existe sous la forme de comptoir depuis 1832, en 1867 nous avons construit notre première usine dans le Jura Suisse. La région dans lequel nous étions était très agricole et ces paysans utilisaient les chevaux. Très tôt, nous nous sommes engagés dans le chronométrage sportif, nous étions présent en 1896 aux premiers Jeux Olympiques d’Athènes. Nous avons créé notre premier chronographe en 1878. Progressivement nous avons chronométrés des activités équestres aux Etats Unis puis partout dans le monde depuis les années 1880.
- PI : Quels sont vos liens avec la FEI ?
-WVK : La Princesse est une grande amatrice de chevaux, elle a elle même couru dans des compétitions. C’est devenu donc naturel pour nous de s’associer à la Princesse Haya et la FEI d’une part sur le saut mais aussi sur les courses. Nous couvrons 130 manifestations équestres dans l’année. Ce qui nous amène à beaucoup voyager. Nous sommes ravis de ce partenariat extrêmement fort.
- PI : Vous présentez sur ce salon la Conquest World Classic dédiée aux sports équestres. Comment est née cette sous marque ?
- WVK : Nous avons quatre pilier chez Longines : l’élégance, la tradition horlogère, le sport et l’héritage. Et dans la tradition horlogère, nous avons créé la Conquest Classic. Cette ligne crée en 1964 est une ligne sportive mais aussi élégante. Elle est d’une forme arrondie et plait énormément au cavalier qui la porte lorsqu’ils courent.
- PI : Comment est né votre collaboration avec votre égérie Simon Baker ?
- WVK : Simon Baker est une de nos égéries au même titre que Kate Winslet. Nous avons eu différentes égéries : Audrey Hepburn, Humphrey Bogart, Aishwarya Rai, André Agassi puis des égéries locales notamment en Chine. Simon Baker est un homme à la carrure international, il est extrêmement séduisant mais surtout très sympas,bon vivant, loyal.
-PI : Quels sont les modèles phares que vous avez présenté à Bâle ?
- WVK : Nous avons présenté de nombreux modèles de la ligne Elégance Classic, très fine et classe. Nous avons aussi fêté les 60 ans de la ligne Conquest avec des modèles Héritage avec des inspirations militaires et aviation. La Chine est un de nos marché phare.
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- PI : La montre est la quintessence du style chez un gentleman et qui finit un look. Comment éviter un fashion faux pas ?
- WVK : La montre est passé d’un accessoire indiquant uniquement l’heure à un symbole de réussite, surtout pour l’homme qui n’a pas autant d’accessoires que la femme pour se mettre en avant. La montre doit rester un produit qui provoque une émotion mais qui doit rester portable et non démodable. Nous préférons le classicisme à l’obsolescence. Nos montres ne se démodent pas.
Conquest Classic – une collection intemporelle pour le monde des courses
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Partenaires des plus belles courses de plat au monde, Longines a souhaité proposer une collection de garde-temps à arborer dans l’effervescence des ronds de présentation des champs de courses de Chantilly, Hong Kong, Royal Ascot ou Dubai. Dans l’esprit des chronographes produits dès 1881 pour les amateurs de courses et les jockeys de New York, la marque horlogère suisse lance Conquest Classic. Fidèle aux valeurs d’élégance, de tradition et de performance, cette nouvelle collection, dont les modèles sont pourvus exclusivement de calibres automatiques, est à la fois pleinement dans l’air du temps et parfaitement intemporelle.
La marque Conquest a été déposée par Longines à l’OMPI le 25 mai 1954. Depuis lors, ce nom a été porté par de nombreux modèles à succès de Longines à travers les années. Aujourd’hui, Conquest Classic s’inscrit dans la lignée des collections à l’esthétique classique qui ont fait la réputation et le succès de Longines dans le monde entier. Cette nouvelle ligne est dédiée à celles et ceux qui vivent les émotions des courses les plus prestigieuses du calendrier, de Chantilly à Hong Kong, en passant par Dubai et Royal Ascot.
Conquest Classic se décline en trois tailles. Les modèles féminins présentent un diamètre de 29,50 mm. Ces pièces affichent les heures, minutes et secondes ainsi que la date et sont disponibles en acier, or rose ou dans une harmonie d’acier et d’or rose. Le cadran noir ou argenté comporte les chiffres 12, 6 et 9 en applique donnant une touche sportive. Ces différentes versions sont également disponibles dans un diamètre de 40 mm. Des cadrans en nacre sertis de 12 diamants confèrent un caractère particulièrement raffiné à certains des modèles féminins dont la lunette peut également être ornée de 30 diamants. Ces modèles sont équipés de bracelets en alligator noir, en acier ou en acier et or rose, toujours assortis au cadran et disposant d’un fermoir déployant de sécurité.
D’un diamètre de 41 mm, les chronographes sont équipés du mouvement à roue à colonne L688 spécialement développé et réalisé en exclusivité par ETA pour Longines. La boîte est proposée en acier, en acier et or rose ou en or rose. Le cadran, argenté ou noir, indique les heures, les minutes, une petite seconde à 9 heures, la date ainsi que les fonctions du chronographe : secondes centrales, compteur de 30 minutes à 3 heures et compteur de 12 heures à 6 heures. Ces chronographes sont munis de bracelets en alligator noir, en acier ou en acier et or rose avec un fermoir déployant de sécurité.