ODH Tizi-Ouzou: Les conséquences de l’injustice sociale dans la wilaya de Mascara, effrayent l’opinion publique nationale et autres organisations non-gouvernementales qui milite dans l’exploitation des informations sur la question des droits de l’homme, le tout, amplifié par la situation de crise qui prédomine sérieusement dans presque toutes les régions de l’Algérie profonde, commence à évoluer dans une appréhension des plus choquantes, digne des régimes bananiers .
L’affaire de Mme B .Fatima, une
femme âgée d’environ 54 ans, brisé par le poids de l’âge et autres honteuses harcèlements morales et physiques, qui sont légions dans cette wilaya de la part de certains énergumènes et autres
caporaux de services connu sur la place publique, ou Fatima demeure toujours de marbre et entièrement loyal a sa petite famille. Divorcée et mère de deux filles et d’un garçon, la bonne dame qui
ne pèse pas lourd dans cette société dépravé continu de vivre le calvaire, et ce, depuis les années 2000 a ce jour.
Pour prétendre a un toit décent,
comme le précise la constitution algérienne, il faudrait se celer la face et les oreilles pour appréhender le degré de l’injustice qui subsiste, d’ailleurs, dépassé dans ce genre d’engagement
populiste, qui n’est plus administrée a ces catégories sociales ou les enveloppes sous table demeurent manifestes, et ce, malgré ,parait-il, des enquêtes engagés par la puissance publique dans ce
commerce hautement rentable via des additions et autres soustractions de la corruption des cols blancs intouchables . Un secret de polichinelle !
Ce verrouillage systématique qui
visent ces catégories indiquées ou l’injustice sociale prédominante persiste à grande échelle, ou des milliers ont basculé dans le néant de la déchéance administrative en vogue ces derniers temps
dans la wilaya de Mascara, a fait astiqué beaucoup de choses .
Elle, âgée a peine de 54 années, a
connu plusieurs expulsions, a l’exemple d’un logement en’ sous location’, une spécialité des indus propriétaires qui logent les véritables nécessiteux sans reçu ni quittance ,ni autres
déclarations au service des impôts ,un secret de polichinelle ou a la zone’8’,en 2001,elle sera expulsé par la un huissier ,ou n’ayant ou allé avec ses trois enfants, elle campera devant une
sorte de ravin qui juxtapose le siège de la wilaya.
Le wali de l’époque, épris d’une
fallacieuse justice sociale détestable, a l’exemple des autres commis de l’état qui ont foulés le sol de la wilaya, a carrément délocalisé la tente de fortune , en faisant appel à la force
publique ,ou elle s’est retrouvé juste après ces exactions indigne d’un pays qui respecte, au beau milieu d’un ‘Haouch’ de la honte a Sidi-Bouras ,ou crèche des filles de joie, c’est-à-dire des
femmes de mœurs légères, et ce jusqu'à la fin 2004 .
Ayant frappé a toutes les portes
dans la wilaya de Mascara, elle décide de se déplacer a Alger, précisément a la maison de la presse ‘Tahar Djaout’, ou Mme B .Fatima, sera dirigé vers certains nouveaux medias lourds dits
‘privés’, qui n’ont que de noms, ou malheureusement, l’infortuné Fatima a été débouté pour des considérations régionalistes honteuses.
Désespérée, complètement démunis et
vivant de la modique somme de 3120,00 dinars par mois du fameux dispositif ‘filet social’, n’ayant pas de famille ni ou aller, Mme B. Fatima s’exprima en ces termes : « Je n’ai pas d’autre moyen
pour sauver ma vie et celle de mes trois enfants, que de vendre mon rein pour me prémunir d’une expulsion imminente de la maison dont je paye le loyer depuis 2005 a ce jour. »
Selon les déclarations de notre
interlocutrice, il s’avère qu’elle occupe cet appartement F3, sise a Sidi Said, ou elle s’acquitte d’une dîme mensuelle de 15.000 dinars algériens, pour un logement social ,et dont la plupart des
bénéficiaires de la rente de l’état assistance ont optés pour la ‘sous-locations’ des habitations en question .
Actuellement, ces logements sociaux
communément appelées ‘R +1’, se monnayent entre 500 a 700 millions de centimes (actés), ou des courtiers connu sur la place publique les proposent aux divers personnes intéressés par ce commerce
de logements sociaux, devenus très fructueux. L’histoire de cette femme livrée a elle-même n’est pas un cas isolé a Mascara, où plusieurs alertes de ce genre de ventes d’organes est avancée a
plusieurs reprises au niveau de la maison de la presse’Bakhti Benaouda’, ou le problème n’a pas été enrayé par les divers gouvernements qui se sont succédés. On a même été temoin, d’une supposé
vente d’un enfant pour des raisons économiques par sa propre mère qui s’est présenté a la maison de la presse. Cette mère de famille, qui réside au ‘Douar Nouredine’, a quelques encablures du
chef lieu qui dit seulement vouloir ’travailler et un endroit décent pour vivre ‘ .
Nous avons, par la suite
décortiquer le message de cette malheureuse femme qui souffre d’une incapacité a cause des violences qu’elle a subies dans sa vie conjugale.
Pour le cas de Mme B.Fatima,qui
attend son heure d’expulsion cette semaine du mois de Mai prochain , a l’exemple des autres familles qui ont vu une cohorte d’huissiers zélés escortés par une armada de la force publique se
présenter devant le gite des citoyens algériens ,qui ont basculés dans la case des ‘apatrides’ dans leur propre pays.
En algerie, il est pratiquement
impossible de faire un prélèvement d’organe suivi d’une transplantation sans que les autorités compétentes ne soient au courant, simplement le trafic d’organes dans la perspective d’un éventuel
prélèvement sont monnaies courantes chez nous via des labyrinthes et autres combinaisons pour ne pas tomber sous le coup de la loi.
« Je sacrifie n’importe quel partie
de mon corps a qui peut le payer, et je fais cela parce que je suis tout simplement dans la misère la plus totale avec mes trois enfants », s’insurgea Mme B.Fatima .Une déclaration
terrifiante.
De Mascara, Manseur SI MOHAMED pour l'ODH Tizi-Ouzou