Quatrième de couverture :Juan Manuel de Prada est un romancier exceptionnel par sa puissance narrative, son obsession pour les thèmes tels que la faute et le mal, et son écriture qui fait appel à toute la richesse de la langue castillane. Ce roman-ci est un roman d’aventures qui embrasse une période allant de 1942 aux années soixante. Le personnage central, Antonio Exposito, un malfrat madrilène, mi vendeur ambulant mi maquereau, endosse le meurtre commis par sa complice et bien-aimée Carmen. Pour échapper à la police, Antonio s'engage dans la Division Azul. Envoyé sur le front russe, il est fait prisonnier par l’Armée soviétique où il usurpera l’identité d’un homme qui lui ressemble comme son jumeau, Gabriel Mendoza. Libéré en 1954, c’est sous ce nom qu’il rentrera en Espagne et apprendra qu’il a hérité du père du vrai Mendoza une fortune secrète. Et pour qu'on ne découvre pas sa véritable identité, il sombrera dans le crime. Ce résumé succinct ne saurait rendre compte de la force de ce roman d’aventures (en particulier la partie se déroulant dans les camps de concentration soviétiques), roman de la trahison de l’amitié et de l’amour. Prada peint, dans une langue d’une stupéfiante richesse, le mal pur, le mal qui contamine tous les personnages, mus par des forces qui les dépassent et ne trouvent rien en eux de suffisamment solide pour se soustraire à la mécanique de leur destin. Dans Une imposture les personnages sont des faibles, mais leur faiblesse et leur inconsistance, au lieu de les sauver, les voue au mal et à la trahison.
Magazine Culture
Auteur: Juan Manuel de
Prada
Titre Original: Une imposture
Date de Parution : 3 avril 2014
Éditeur : Seuil
Nombre de pages : 508
Prix : 23,50€ 22,33€
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Une imposture
Quatrième de couverture :Juan Manuel de Prada est un romancier exceptionnel par sa puissance narrative, son obsession pour les thèmes tels que la faute et le mal, et son écriture qui fait appel à toute la richesse de la langue castillane. Ce roman-ci est un roman d’aventures qui embrasse une période allant de 1942 aux années soixante. Le personnage central, Antonio Exposito, un malfrat madrilène, mi vendeur ambulant mi maquereau, endosse le meurtre commis par sa complice et bien-aimée Carmen. Pour échapper à la police, Antonio s'engage dans la Division Azul. Envoyé sur le front russe, il est fait prisonnier par l’Armée soviétique où il usurpera l’identité d’un homme qui lui ressemble comme son jumeau, Gabriel Mendoza. Libéré en 1954, c’est sous ce nom qu’il rentrera en Espagne et apprendra qu’il a hérité du père du vrai Mendoza une fortune secrète. Et pour qu'on ne découvre pas sa véritable identité, il sombrera dans le crime. Ce résumé succinct ne saurait rendre compte de la force de ce roman d’aventures (en particulier la partie se déroulant dans les camps de concentration soviétiques), roman de la trahison de l’amitié et de l’amour. Prada peint, dans une langue d’une stupéfiante richesse, le mal pur, le mal qui contamine tous les personnages, mus par des forces qui les dépassent et ne trouvent rien en eux de suffisamment solide pour se soustraire à la mécanique de leur destin. Dans Une imposture les personnages sont des faibles, mais leur faiblesse et leur inconsistance, au lieu de les sauver, les voue au mal et à la trahison.
Quatrième de couverture :Juan Manuel de Prada est un romancier exceptionnel par sa puissance narrative, son obsession pour les thèmes tels que la faute et le mal, et son écriture qui fait appel à toute la richesse de la langue castillane. Ce roman-ci est un roman d’aventures qui embrasse une période allant de 1942 aux années soixante. Le personnage central, Antonio Exposito, un malfrat madrilène, mi vendeur ambulant mi maquereau, endosse le meurtre commis par sa complice et bien-aimée Carmen. Pour échapper à la police, Antonio s'engage dans la Division Azul. Envoyé sur le front russe, il est fait prisonnier par l’Armée soviétique où il usurpera l’identité d’un homme qui lui ressemble comme son jumeau, Gabriel Mendoza. Libéré en 1954, c’est sous ce nom qu’il rentrera en Espagne et apprendra qu’il a hérité du père du vrai Mendoza une fortune secrète. Et pour qu'on ne découvre pas sa véritable identité, il sombrera dans le crime. Ce résumé succinct ne saurait rendre compte de la force de ce roman d’aventures (en particulier la partie se déroulant dans les camps de concentration soviétiques), roman de la trahison de l’amitié et de l’amour. Prada peint, dans une langue d’une stupéfiante richesse, le mal pur, le mal qui contamine tous les personnages, mus par des forces qui les dépassent et ne trouvent rien en eux de suffisamment solide pour se soustraire à la mécanique de leur destin. Dans Une imposture les personnages sont des faibles, mais leur faiblesse et leur inconsistance, au lieu de les sauver, les voue au mal et à la trahison.