- que certaines personnes vivent de remords ou de regrets, ressassent les mauvais souvenirs, un épisode traumatisant, un sale moment, une vilaine plaie, un passé qui s’est mal passé, en ayant du mal à penser à l’avenir à venir. Des chercheurs de l'Institut Beckman de l'université d'Illinois ont trouvé le remède. Pour chasser les mauvais souvenirs sans pour autant les refouler, il faut plutôt se concentrer sur le contexte, les à-côtés de l'événement, n'importe quoi de non-émotionnel qui faisait partie de ce souvenir, ce qui permet à l’esprit de se détacher de toutes les émotions non désirées associées à ce souvenir. Par exemple, un examen raté, on ne se rappelle que la météo radieuse ; s’il pleuvait, que sa coupe parfaite ce matin-là ; si on n’avait pas réussi à se coiffer, que la fluidité dans les transports ; si le métro était bondé…Pfff !!! On n’a qu’à faire pareil, ou décider de faire autrement, ou le strict contraire chaque mardi vert de mois bleu les années mauves.
- que, mardi, l’Assemblée votait concernant le plan d’économie de 50 Mds€. A titre consultatif. C’était dire l’importance symbolique de la chose, quand, on l’imagine aisément, il n’y a rien de plus urgent a voté ou décidé. 265 voix pour, 232 contre et 67 abstentions dont 41 députés socialistes frondeurs. Donc ? La droite, qui était plutôt pour, a voté contre par principes, devoirs, habitudes, trois mots qui laissent pantois tant la priorité des français semble être le mieux-vivre quand celle des députés est le encore-élu. Pour le reste, parfaite rengaine politicienne, lui a dit ça, l’autre a dit le contraire, les uns se sont félicités, les autres ont crié à l’échec. Bref, ça n’avance guère et ça ne change pas. Le refrain de la ritournelle rabâchée. On n’a qu’à faire pareil, ou décider de faire autrement, ou le strict contraire chaque mardi vert de mois bleu les années mauves.
- qu’un certain nombre de personnes croient aux miracles. Ce chiffre se situe exactement entre 0 et 100%. Je sais, cet excès d’exactitude peut vous paraître excessivement excessif, mais j’aime la précision précise. La majorité des personnes qui croient avoir bénéficié d’un miracle, guérie par le truchement de qui ils savent, croient encore plus qu’ils ne croyaient avant. Mais c’est une majorité. Une minorité croient vachement plus, une faible part croient grave plus, alors que le reste des personnes non interrogées par mes soins croient, mais d’une force. L’Eglise, plutôt que d’en apporter la preuve, a une technique pour contrer les infamants incroyants, elle demande à la science de les rendre inexplicables. On n’a qu’à faire pareil, ou décider de faire autrement, ou le strict contraire chaque mardi vert de mois bleu les années mauves.