En ce 1er mai, fête du travail, le repos imposé intervient comme une compensation de l'effort fourni tout le reste de l'année.
Pourtant, les Français sont plutôt "heureux au travail", comme l'indiquait un sondage Via Voice-Nouvel Observateur paru en octobre 2013 "Les palmarès du bonheur professionnel". 58 % des actifs se déclarent heureux au travail.
Parmi les trois principaux critères pour se sentir heureux au travail, on relève :
- les bonnes relations interprofessionelles, en particulier avec les collègues
- le fait d'exercer un métier qui passionne vraiment
- la reconnaissance des supérieurs hiérarchiques
Ainsi, les plus heureux au travail sont les cadres de la fonction publique : 63% d'entre eux disent être "vraiment reconnus par leurs supérieurs hiérarchiques". Ils sont suivis par les agriculteurs (passionnés par ce qu'ils font) et les enseignants (qui mesurent l'utilité de ce qu'ils font).
Le bonheur au travail, s'il est bénéfique au salarié, l'est aussi à l'entreprise. Selon une étude de l'université de Warwick (Royaume Uni), être heureux au travail augmente la productivité de 12%.
La sophrologie aide aussi à prendre en charge un certain nombre de difficultés qui pourraient naître du travail.
Dans "La sophrologie au travail", j'ai défini 6 axes d'amélioration possibles, en utilisant les outils et méthodes de la sophrologie :
- affronter sereinement une surcharge de travail
- doper son énergie
- se sentir à la hauteur
- créer des relations satisfaisantes
- concilier vie professionnelle et vie privée
- retrouver du sens et de la motivation
La sophrologie au travail, Le Passeur éditeur, 2013