- que le 1er mai est désigné comme la fête du travail depuis le 24 avril 1941 pour rappeler dans le même tempo ou la même inspiration nasale le joli parfum de l’occupation allemande et du gouvernement du Vichy ainsi que celle du muguet, appelé aussi lys des vallées, aux jolies grappes de clochettes odorantes et toxiques voire mortelles si on en mange le périanthe, et qui a toujours symbolisé le printemps ou 13 ans de mariage mais qui est aussi pour certains un porte-bonheur et représente même un retour du bonheur pour d’autres, et, également, qui peut évoquer la candidose, infection aux levures, champignons qui atteint la peau et/ou les muqueuses. Ou bien, mais il faudrait soumettre l’opinion à un panel représentatif comme on dit, c’est un jour comme un autre dans une année ou une vie. Il en va de ça comme de ceci et de toutes les autres choses, chacun fait comme il le veut s’il le peut.
- que selon Psychologies Magazine, qui a demandé à Ipsos d’effectuer un sondage, 97% des femmes osent davantage exprimer leurs désirs sexuels. L'étude a été réalisée auprès de 1003 femmes, interrogées sur Internet, du 12 au 19 mars. C’est effectivement une semaine où on ose généralement dire ce que l’on pense, même dans les domaines les plus intimes. Ou alors, mais c’est une hypothèse, via internet, c’est plus simple. Qu’en ressort-il ? Est-ce que le fait que les femmes disent qu’elles sont sexuellement plus décomplexées et qu’elles exposent leurs fantasmes, leurs désirs, leurs appétits, leurs aspirations, leurs envies, leurs soifs, nous intéresse plus que le contenu de ces propos ? La réponse est simple : ça dépend, de qui on est, de ce qu’on est, de qu’on a entre les oreilles. Mais le magazine est sûrement en vente et le résumé sûrement quelque part sur la toile. Il en va de ça comme de ceci et de toutes les autres choses, chacun fait comme il le veut s’il le peut.
- qu’on ne dort pas dans la même position seul ou à deux. C’est une étude qui le dit. On ne dort pas non plus dans la même position dans un hamac, sur une branche d’arbre, entre deux chaises, dans un avion pendant 20 heures, contre la fenêtre glacée d’un train, au volant à 140 km/h, ou en pleine réunion, ça c’est moi qui le dis. Mais l’étude nous informe bien plus encore, bien mieux même. Après avoir observé les positions de 1000 dormeurs, les scientifiques ont conclu que plus la distance, entre ces personnes, était grande, plus leur degré d'intimité dans le couple était faible. Alors, là, je vous avoue, humblement s’il le faut, que je tire mon chapeau à ces chercheurs, devant tant de savoirs, de pertinence, de connaissance, d’intelligence, de conclusion perspicace. Je pense personnellement de moi-même et par moi-même leur envoyer une lettre de félicitations. Il en va de ça comme de ceci et de toutes les autres choses, chacun fait comme il le veut s’il le peut.
jeudi 1 mai 2014