Hausse de la violence, crachats, sévices et tentatives de meurtre dans les centres jeunesse: La DPJ en chute libre!
Source: TVA nouvelles et le Journal de Vérité Justice
Il semble que la pétition provinciale à laquelle nous voulons participer à sa mise sur pieds à sa raison d’aide et nous espérons que des bénévoles situés au quatres coin du Québec se manifesteront car la possibilité qu’une enquête publique sur la DPJ et une révision de la Loi sur la protection de la jeunesse semble nécessaires alors que depuis son dernier amendement, les résultats sont de plus en plus catastrophique.
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Selon un article de TVA nouvelles en date de ce jour,il semble qu’il n’est pas facile de travailler dans les centres jeunesse du Québec. Alors que les travailleurs constatent une importante augmentation des actes de violence de la part des jeunes, ils réclament un moratoire pour mettre fin au sous-financement.
Représentant plus de 10 000 employés œuvrant dans les centres jeunesse de la province, Line Beaulieu, vice-présidente de la Fédération de santé et des services sociaux (FSSS-CSN), constate une augmentation «très, très importante» du nombre d’incidents violents dans les établissements.
«On n’a pas de statistiques officielles, mais c’est clair que les intervenants sont de plus en plus exposés à la violence», a-t-elle soutenu en entrevue au journal 24 h.
Source: TVA nouvelles
Si nos jeunes se révoltent, il est de notre devoir d’intervenir!
Et si la violence de nos enfants serait un énorme cris du coeur suite au nombreux abus. négligences,comportement des intervenants alors que le nombre d’agression sexuelle sur nos enfants par des employés de la DPJ ne cessent lui aussi de grandir ?
Et si nos enfants seraient tannés des nombreuses tentatives ou même malheureux suicides de nos enfants confiés aux soins des Centres jeunesses ?
Qui sait, il se peut que nos enfants soient révoltés des jugements de complaisances rendus en Chambre de la jeunesse ou des pseudo avocats supposés protéger leurs droits fondamentaux si souvent bafoués.
Il faut donné à César ce qui revient à César alors que la DPJ semble être en accord avec les affirmations précédentes:
«Ce n’est pas parce que les enfants sont méchants, ils sont tout simplement blessés»,
Sylvie Théorêt: Présidente du Syndicat des travailleuses et travailleurs du Centre jeunesse de Montréal, 30 avril 2014
Cette dernière affirme que les menaces, les crachats, les coups de pieds, les sévices et les tentatives de meurtre sont «monnaie courante» dans plusieurs établissements montréalais.
De l’autre côté, nos enfants nous affirmes être tanné de l’isoloir et du confinement pendant des heures.
Toujours selon Mme Théorêt :
«Quand tu es pris à remplir de la paperasse 75% du temps, tu ne peux pas donner toute l’intensité nécessaire pour effectuer une intervention de qualité. Cela a clairement un impact sur les jeunes», dit-elle en ajoutant que près de 14 millions $ ont été coupés pour les services à Montréal depuis quatre ans.
En plus des quelque 150 postes qui ont été supprimés durant cette période, Mme Beaulieu affirme qu’il y a un problème de rétention de personnel qui, selon elle, serait partiellement imputable aux incidents violents.
«Un intervenant sur trois quitte les centres jeunesse dès la première année d’embauche. C’est énorme»
Selon le Journal de Vérité Justice
Je crois effectivement que l’initiative d’une pétition provinciale à effectivement sa raison d’être alors qu’il semble évident que la DPJ est en chute libre et que nos enfants en paient le prix!
Impliquez-vous pour nos enfants, vos enfants et votre futur!
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