Enquête sur la DPJ: Vraiment ?

Considérant la guerre comme une réalité inévitable, Sun Zi ( l’art de la guerre) démontre cependant que le but ultime d’une guerre n’est pas de remporter de coûteuses victoires, mais de préparer le rétablissement de la paix.

Depuis quelques semaines nous pouvons apercevoir le présent logo se propager sur Facebook par de nombreux parents étant aux prises avec des procédures pendantes et/ou perdantes devant la chambre de la jeunesse mais pour monsieur et madame tout le monde, la vie continue!

En bref quelles sont les revendications de ces parents ? Que demandent t’ils alors que malgré plusieurs recherches sur le sujet je n’aie rien trouvé…

Admettons  qu’un des buts serait de faire la lumière sur les nombreux cas d’abus sexuel sur des enfants par des intervenants de la DPJ depuis 2006, je dirais oui immédiatement.

Admettons qu’un des buts serait aussi de mieux encadrer les intervenants de la DPJ alors que nos enfants se suicident entre les murs des Centres jeunesses, je dirais oui encore une fois.

Admettons que la DPJ devrait avoir un obligation plus stricte que la simple prépondérance de preuve ( 50 + 1 ) pour démontrer qu’ils ont raison et que la preuve deviendrait aussi complexe que hors de tout doutes raisonnables, je serai triplement partant car trop nombreuses sont les erreurs de jugement d’un intervenant désirant satisfaire son employeur au détriment de la vérité.

Admettons que la DPJ perdrait son immunité lors des nombreuses lésions de droits de nos enfants, je serait énormément partant car les parents auraient maintenant le droit de faire valoir leurs droits ainsi que ceux de leurs enfants en Chambre supérieure.

Admettons que l’avocat qui est supposé défendre les droits fondamentaux serait confronté à une règle de conduite garantissant le respect des droits de l’enfant, je serais hyper partant car trop souvent l’avocat ne voit même pas son jeune client pour se pencher, en son nom, aux demandent de la DPJ.

Admettons seulement que la DPJ à aujourd’hui trop de pouvoir sous la simple prétention d’un doute, ce doute qui fait que si l’intervenant de la DPJ ne vous aime pas le portrait qu’il devient une compromission, cette même compromission qui détruit des familles, cause des dépressions et des suicident.

Admettons que les bureaux d’avocats ne seraient plus acceptés dans le même édifice que celui des juges que cela limiterait les dîners ou les rencontres de complaisances, je serais partant.

Bref j’ai beau chercher et je n’aie encore pas trouvé une seule des demandent que je viens d’énumérer mais que des insultes, menaces, publications douteuses et autres paroles en l’air que Facebook en est rempli.

Quelques exemples

- De nombreux rassemblement sont organisés pour finir avec 5, 10 ou 30 personnes de présentent lors de l’événement.

- Des marches Montréal- Québec sont organisées mais au premier kilomètre, l’organisateur est seul.

- Des grèves sont organisées devant le Parlement, le gréviste fini avec la grippe et aucune écoute de nos dirigeants.

- Des groupes, des tonnes de groupes, dénoncent la DPJ mais chaque groupe comporte les mêmes membres, les même colères et les mêmes déceptions.

Et si concrètement ?

Et si les parents de la DPJ décidaient demain de sensibiliser le citoyens, celui qui n’est pas aux prises avec la DPJ ?

Et si les nombreux membres des groupes Facebook se rallieraient vraiment et se mettaient à frapper aux portes avec 1 seule et unique pétition qui serait écrite sans insultes ou insinuations farfelues. Une pétition sérieuse ?

Imaginez un vrai texte, une vraie représentation de la cause ?

Imaginez un seul instant les possibilités…….

Toc toc toc

Parents ou bénévoles :  " Bonjour monsieur, si je vous disais que je suis un employé de la DPJ et que nous avons reçu une plainte à l’effet que vous avez battu votre enfant et que mon seul doute me donne la permission de partir avec ce dernier "

On s’entends tu que l’interlocuteur frapperait son Jéronimo sur le coup ?

Ensuite le parent ou le bénévole expliquerait que cela est un des droits de la DPJ pour montrer sa belle pétition, montée par des professionnels, afin de sensibiliser le citoyen.

Ne croyez-vous pas que cela franchirait le virtuel d’un réseau sociaux ? ( Facebook )

Emportez-moi du concret, des idées et des propositions concrète et je suis partant!

Facile non ?