Une partie de tout homme la force manipule, d’un rien il suffit pour que l’être bascule
Star wars est au cinéma ce que l’Odyssée est à la littérature : un concentré. De l’aventure, des gentils et des méchants, des sentiments, des choix cornéliens, du mythe et une quête de soi. Je ne vous ferai pas l’insulte de narrer l’histoire de la guerre des étoiles, le nombre d’épisodes, les trois derniers créés en 1977 par George Lucas, les trois premiers en 1999 par le même.
Les sabres lasers, je suis ton père, jedi tu seras si la force tu maîtrises, C3PO, chewbacca, Luke Skywalker et princesse Leïa, l’empire du côté obscur… Que la personne qui ne comprend pas de quoi je parle et qui n’exulte pas à leur seule évocation sorte sur le champ. Profitez-en pour passer par une dvdthèque, inculte d’extraterrestre.
Un ksar (ksour au pluriel) est un village sur les hauteur en plein désert, où les berbères protégeaient les greniers à céréales, les jarres d’huile et le bétail des pillards.
Ceux qui restent comprennent donc combien nous (nous étant essentiellement mon frère et moi) étions curieux voir content (l’euphémisme, c’est mon dada) de visiter le Ksar-Hedada.
On y accède à partir de la ville de Tataouine. Tataouine, comme Tatooine, la planète sur laquelle Anakin Skywalker, futur Dark Vador fait la course qui changera son destin et celui de l’Empire. George Lucas a repris et transformé les véritables noms des endroits où il tourne, ce qui ajoute à l’intérêt de la saga. Vous pourrez évidemment essayer de reconnaître la planète Tatooine et même…
Julie-belle-soeur-Vador… Ne vois-tu pas ce qu’est la force obscure ?
la menace fantôme, trailer