Merci à Franck Terreaux pour cet extrait
Douglas Harding fait faire ce petit exercice - c'est drôle et tout a fait précieux : il donne aux gens un carton blanc percé d'un trou ayant à peu près la taille de leur visage. Sur ce carton est collé un petit bout de miroir, ils regardent donc ce visage auquel ils s’identifient. Puis il dit : « Maintenant, je veux vous mettiez l’immortalité. » Il les fait reculer et amener doucement ce morceau de carton devant leur visage ; et ils se disent : « Bon sang, il n’y a rien ici ! » Il n’y a rien… Mais il y a tout. Il dit : « vous devenez l’espace où les choses peuvent se produire. » Vous devenez la mer et non pas le poisson. La mer qui est disponible pour tout. La mer qui est ouverte à tout. La mer qui n’a besoin de rien. Il n’y a rien ici pouvant avoir besoin de quelque chose."