C’est de cette façon que j’ai toujours voulu terminer ma vie. Assassiné et toujours actif dans ce qui me passionne.
Cancer du pancréas
Voilà que j’écoute le témoignage d’Albert Ladouceur à l’émission de Denis Lévesque. Il nous parle de son cancer du pancréas. Un cancer qui ne pardonne pas.
Sans savoir combien de jours ou d’années qu’il lui reste à vivre, Albert Ladouceur vit une journée à la fois. Il en profite pour rencontrer ses amis, sa famille et vivre ses derniers jours en relation avec son entourage. Il a même écrit un livre, Déjoué par le cancer.
Une nouvelle façon de vivre sa mort
Finalement, Albert Ladouceur a peut-être réussi à me faire idéaliser un autre type de décès. Vivre ma vie jusqu’au bout, en incluant une période de maladie et en profiter pour vivre mon deuil en relation avec le deuil que mon entourage aura à faire.
Merci M. Ladouceur de m’avoir présenté une autre finalité à notre fin de vie. Je ne sais pas comment la mienne finira mais je grâce à vous, je peux maintenant l’envisager avec plus de possibilités.
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