Il y a 40 ans, en avril, c’était la « révolution des œillets ». La page du salazarisme se tournait et les militaires portugais, à l’inverse de ceux du Chili, avaient du goût pour la démocratie.
40 ans plus tard, si les bruits de bottes semblent à jamais éloignés, la crise est là qui impose une autre forme d’oppression douloureuse et la « révolution » semble endeuillée.
Quelques images de Lisbonne, du mois dernier, de cette ville attachante qui sait sourire malgré tout…