Et si s’était le votre que feriez-vous ? Mais si cela était votre histoire, aimeriez-vous que justice soit rendue afin de retrouver la paix dans votre âme ?
La maltraitance et les crimes commis envers les enfants est un fléau qui malheureusement fait parti de la société mais il reste que le plus malheureux dans ce genre d’histoire sont les séquelles persistantes de ces victimes quand le bourreau n’est pas condamné et qu’il s’en tire de par sa notoriété, sa situation sociale et/ou sa richesse personnelle.
Le cas récent de Marie-Renée Baillargeon dont un avocat de renom n’a jamais été arrêté alors qu’il aurait agressé la jeune femme lorsqu’elle avait 15 ans et ou en juin 2009, elle avait déposé une plainte criminelle contre son agresseur.
Durant les deux enquêtes menées par les policiers, une dizaine de témoins, dont une autre jeune victime, ont été rencontrés. Ils ont tous corroboré les faits mais le Directeur criminel et pénal du Québec (DPCP) a refusé de porter sa cause devant les tribunaux.
«J’ai eu des maladresses. Je ne le nie pas, j’ai fait des affaires que je n’aurais pas dû faire, mais jamais avec de mauvaises intentions. J’ai été maladroit. Toutefois, je n’ai jamais voulu être malveillant» L’agresseur présumé
Es-ce sa notoriété, le fait qu’il soit connu justifie que le DPCP ne porta aucunes accusations ?
SYLVIA RIBEYRO: l’épouvantable histoire d’horreur d’une victime d’un bourreau d’enfant, également victime de notre système judiciaire insensé.Sylvia a été secouée à sa naissance en 1966 avec arrêt respiratoire et ensuite battue toute son enfance par son bourreau, qui l’a handicapée physiquement à vie.
À l’âge de 9 ans, elle a aussi vu sa mère se faire frapper en sang sous ses yeux.
À ses 15 ans, le criminel a également failli tuer sa grande sœur encore sous ses yeux.
Dès l’âge de 20 ans, Sylvia a fait des tentatives de suicide pendant plus de 15 années.
Âgée de 35 ans, n’en pouvant plus de vivre sous la loi du silence imposée par son bourreau, elle a trouvé le courage de dénoncer son agresseur.
En 2002, la victime est une enseignante qui habite une petite région rurale et son bourreau est un homme d’affaire millionnaire bien connu.
Étant consciente de ce rapport de force inégal, le 2 février 2002, Sylvia a enregistré les aveux de son bourreau lors d’une conversation téléphonique pouvant être utilisée légalement. Le 25 juin 2002, elle a fait appel aux policiers de la SQ Papineau.
2014: Elle souffre encore en silence attendant que les autorités effectuent leur travail, leur mission de protection alors qu’aucunes accusations n’est à ce jour porté contre son bourreau, son père!
La seule libération, à ce jour, de Sylvia Ribeyro est l’utilisation de l’Internet alors que son site Web est dédié à la cause des enfants maltraités au Québec.
De plus, elle à mise en ligne au mois de février 2014 une pétition demandant au gouvernement Canadien et du Québec justice pour les enfants agressés et assassinés.
Vous pouvez peut-être contribué en signant sa pétition en cliquant ici : justice pour les enfants agressés et assassinés
Parlons en du Gouvernement
Malgré que le sénateur Boisvenu aie signé la pétition de Mme Ribeyro pouvons nous espérer que notre gouvernement portera son attention sur les enfants, ces citoyens pas encore en âge de se faire exploiter comme la majorité des citoyens dès qu’il intègrent le marché du travail ?
À titre d’exemple, lors de la dernière campagne électorale de 2014, Mme Pauline Marois ex première ministre du Québec à surement voulu lancé une blague à la population alors qu’elle prétendait que son Gouvernement avait aidé les parents aux prises avec la DPJ alors que les faits et l’histoire démontre que depuis plus de 15 ans une enquête publique sur l’organisme est demandée.
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Nous connaissons la suite, le parti Québécois sera tenu au silence pour une partie des 4 prochaines années et les parents devront maintenant se diriger vers Mme Stéphanie Vallée nouvelle ministre libérale de la justice connaissant très bien le rouage de la DPJ
Espérons qu’elle sera plus à l’écoute que Véronique Hivon qui avait profité d’une soudaine popularité lors de son témoignage en pleine crise étudiante pour se faufiler vers la dignité à mourir.
Le hic tout les gouvernements et ce peut importe le parti semblent oublier qu’avant de devenir étudiant, payeurs de taxes pour peut-être un jour mourir dans la dignité qu’il étaient avant tout enfant!