Elles frappent et frapperont les pétroleuses. Elles préparent leur coup. Elles augmentent le litre d’essence progressivement. Il est ce matin à 1,53 $ à Montréal. Personne ne peut rien y faire. Pas même Barack Obama, président de la plus grande puissance mondiale. Imaginez ce qu’on a pour se défendre au Québec.
Les moyens de résistances sont inexistants. Je n’irai certainement pas en vacances à pied ou à vélo cet été. Baie-Comeau-Montréal à vélo, avec mon talent de cycliste, j’en ai pour le reste de ma vie.
Sans parler de la planète qui souffre de chaque baril vendu et utilisé.
Il ne me reste que ce petit montage.