Gaetan Barrette obtient finalement le ministère de la santé au Québec en date de ce jour et ce pour les quatres prochaines années ou les québécois ont décidé de refaire confiance aux Libéraux
Mais une question se pose à savoir si le peuple connait son nouveau ministre dont un procès pénal pour avoir mené une activité de lobbyiste sans avoir été enregistré au registres est présentement devant la Cour du Québec.
Et si nous regardions les démêlés de votre nouveau ministre devant la justice ?
Commençons un peu par regarder le caractère de celui qui sera responsable de votre santé.
500-17-053564-095
[11] Bien que crus, il importe de reprendre les termes qu’utilise Barrette à son arrivée à cette assemblée, puisque ceux-ci constituent, assurément, l’un des germes de la discorde à venir : « Ma gang de crisses…. ».
[12] Tous ceux qui témoignent, sauf Berthiaume, se disent froissés, pour dire le moins, par ce genre de commentaire assurément désobligeant.
[..]
[16] Ainsi en janvier 2009, lors d’un dîner entre associés, Barrette tient des propos désobligeants à l’égard de Pauline Daigle (« Daigle »), une collègue radiologiste. Cela provoque son départ en pleurs du repas. Elle quittera la SORAD et HMR le 1er septembre 2009. Berthiaume, bien que présente, affirme qu’elle ne participe pas à cet événement et qu’on ne peut lui attribuer les paroles de son conjoint.
[..]
[28] Dans un deuxième temps, en fin de soirée le même jour, Barrette rappelle Filion et, selon ce dernier, le menace de «tout faire pour nuire au département», «d’attaquer personnellement tous les associés» et de les « détruire un à un » indiquant qu’il se «fout des dommages collatéraux» que cela pourrait causer.
[..]
[40] Elle invoque aussi des agissements illicites à l’égard de son conjoint Barrette, notamment quant à la révision des dossiers diagnostiques et le coulage de cette information dans les médias, pour conclure que le harcèlement de son conjoint vise à lui nuire et participe à l’ostracisme à son endroit, ce qui aggrave son préjudice. Soulignons qu’elle se désiste alors de sa demande de dissolution de la SORAD.
[..]
[57] Tous les défendeurs, à l’exception de Pistono, plaident que le comportement de Berthiaume et Barrette, qu’ils qualifient de dénigrant, intimidant et harcelant, explique la détérioration des relations entre les parties.
[58] Ils ajoutent que les deux conjoints utilisent une stratégie d’intimidation judiciaire dans le but de faire pression indûment sur eux afin de se positionner avantageusement dans leurs relations et négociations au sein de la SORAD.
[..]
[77] Ugolini témoigne que Berthiaume et Barrette tiennent des propos désobligeants à l’égard de leurs collègues du département. Quant à la réunion du 19 mars 2008, elle se déroule, selon elle, dans une atmosphère cataclysmique empreinte de colère et de rancœur. Elle dit apprendre à cette occasion la situation de Berthiaume et ses demandes relatives à des heures travaillées pendant les vacances.
[..]
[85] Pour le même sujet, Barrette invite Blais à son bureau à la fin septembre et, selon lui, tient des propos dénigrants notamment à l’endroit de Filion, Carignan et Gougeon. Barrette évoque aussi la possibilité d’engager des radiologistes français pour remplacer les membres du département qui quitteraient HMR.
[86] Le témoignage de Rousseau, qui quitte la SORAD le 24 novembre 2011, illustre bien cette dynamique. Il affirme que le climat devient malsain à partir de septembre 2009. Il déclare que les employés se sentent terrorisés par Barrette, que ce dernier et Berthiaume se révèlent imprévisibles et, à la limite, harcelants pour des gens proches d’eux, notamment parce qu’ils utilisent un langage offensant et méprisant.
[..]
[119] Point besoin de disserter longuement pour réaliser que la présence de Barrette à cette rencontre ne pouvait raisonnablement s’envisager. En effet, comment peut-on affirmer, dans le contexte dans lequel baigne le département, notamment à cause des propos de Barrette et des gestes qu’il pose pour résoudre le problème de rémunération de sa conjointe, qu’on se devait de l’inviter à cette rencontre?
[..]
[238] Souvenons-nous que cette réunion s’ouvre sur les propos suivants de Barrette : « Ma gang de crisses… ». Elle se sent troublée, terrorisée, apeurée et ne pense qu’à quitter les lieux. Depuis lors, elle n’a plus aucun contact avec Berthiaume.
Pour lire le jugement: 500-17-053564-095
Espérons que le docteur Barette ne dira pas aux citoyens du Québec « Ma gang de crisses…. » quand le système de santé continuera d’avoir des airs ridicules…..
________________
Les dispositions du Code des professions relatives à la discipline sont claires à l’effet qu’il s’agit là de la mission du syndic d’un Ordre professionnel
En bref dans un autre dossier, votre nouveau ministre de la santé à réussis à se sortir du pétrin car ce fut un collègue et non un syndic ne faisant pas son travail qui avait porté plainte.
Malgré tout, le dossier nous démontre la soif de pouvoir $ de votre ministre
Je, Paul Clifford Blais, domicilié en la Cité de Dorval, province de Québec, affirme solennellement et dis : que le docteur Gaétan Barette (85314) médecin radiologiste et président de la Fédération des Médecins Spécialistes du Québec, un professionnel membre du Collège des médecins du Québec, exerçant sa profession
à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont située au 5415 boulevard de l’Assomption, Montréal, province de Québec et comme président de la F.M.S.Q. au 2 Complexe Desjardins bureau 300, Montréal, province de Québec a commis des actes dérogatoires à l’honneur et à la dignité de la profession médicale :
1. Le ou vers le 22 novembre 2006 le docteur Gaétan Barette a recommandé à ses membres dans le document FMSQ NÉGO daté du 22 novembre 2006, de cesser tout enseignement non rénuméré.
2. Le mot d’ordre du docteur Gaétan Barrette alors président de la FMSQ, cité au paragraphe 26 de la transcription du Conseil des Services essentiels du Québec tenu ce 8 décembre 2006, qui décrit qu’il n’y aura aucune négociation tant que la loi spéciale ne sera pas retirée et les ententes antérieures appliquées, donc cette année, pas de négociation : pas de remboursement assuré, ce qui amena la présidente de l’association des obstétriciens et gynécologue, la docteure Diane Francoeur à écrire une lettre à l’Hôpital St-Justine décrivant que tous les membres de son département ne renouvelleront pas leur assurance responsabilité professionnelle à partir du 1er janvier 2007 et ne seront donc plus en mesure d’assister à un accouchement ou de pratiquer une césarienne.
3. Le 10 décembre 2006 à la suite de l’ordonnance du Conseil des Services essentiels, le docteur Gaétan Barette en conférence de presse a enjoint ses membres médecins spécialistes qui sont mal rénumérés ou non rénumérés à ne plus donner d’enseignement aux étudiants de première et deuxième année en formation à nos facultés de médecine au Québec. Il ajouta : «S’il faut que ça soit pendant les cinq prochaines années, ça sera pendant les cinq prochaines années ». Selon les propos rapporté dans le journal La Presse du lundi 11 décembre 2006 par le journaliste M. Mario Girard.
Ces actes contreviennent aux articles 2, 3, 4, 5, 8, 13, 14, 15, 41, 71, 88 du Code de déontologie des médecins du Québec.
En conséquence, vu ce qui précède, je porte la présente plainte contre le docteur Gaétan Barrette.
Pour lire le jugement: 24-07-00656
4 longues années s’annoncent
Il serait important que les québécois prennent soin de leur santé car le docteur Barrette nous démontre ou sont ses préoccupations principales.
- Le salaire de sa conjointe
- Insulter les gens
- Dénigrer les gens
- Harceler les gens
- Utilisé le système judiciaire dans le but de nuire
- Sacrer après les gens
- Terroriser les gens
- Remplacer, congédier ceux qui ne sont pas de son avis
- agissements illicites
Ça promet mais vous avez voté Libéraux!