Magazine Cinéma
Glauquissime le début est
glaçant et plusieurs personnes sont sorties... dommage car
ensuite du lien se crée le film s'humanise sans pour autant
rassurer! Olivier Rabourdin est remarquable : ce taiseux nous
bouleverse et peu à peu nous redoutons avec lui le sort qui
sera réservé à Marek ; et cette fois le happy
end est bienvenu. Ce film âpre, dérangeant, mais aussi
« sociopoétique » pour reprendre le terme d'une
critique a été largement salué comme une
réussite cinématographique, et il le vaut bien (ma critique suivante parlant à nouveau d'un film glauque j'essaye d'adopter un ton léger...)